Toujours heureux de retrouver son visage, sa paupière lourde et son oeil décalé par la fatigue, sa bouche étroite et charnue craquelée par le tabac, là où je ne l'attends pas : dans le portrait de Horst par Bérard, parmi les pages de l'album que je feuillette, dans ces photos de Buster Keaton, intercalées dans ses Mémoires que je lis pour fuir la noire complication de Faulkner.