Seuls les riches – « les riches » : ceux qui ne meurent pas de faim, et non pas ceux qui disposent de magots cachés à l’intérieur de belles maisons impossibles à imaginer – pouvaient se payer le luxe de s’intéresser à leur généalogie, soit pour se flatter d’y trouver des célébrités, soit pour se vanter d’avoir donné une si belle branche, la leur, celle de la réussite, à partir d’un tronc pourri.