Nationalité : Canada
Biographie :
Hilary Davidson a débuté en journalisme en 1995, lorsqu’elle a déménagé à New York pendant cinq mois pour un stage au magazine Harper’s.
Lorsque Hilary est revenue à Toronto, elle s’est jointe à l’équipe du magazine Canadian Living en tant que secrétaire de rédaction. Elle a aussi commencé à écrire à la pige pour des journaux tels que le Globe and Mail et le National Post.
Elle s’est mise sérieusement à l’écriture en 2006. Sa première nouvelle, « Anniversary », a été publiée par le magazine Thuglit, en juin 2007.
En 2010, Hilary Davidson a publié son premier roman, « The Damage Done » (Le mal que tu m'as fait), pour lequel elle a reçu le Anthony Award for Best First Novel 2011.
Hilary a grandi à Toronto mais elle vit maintenant à New York depuis octobre 2001.
site:
http://www.hilarydavidson.com/Home.html
+ Voir plusHilary Davidson a débuté en journalisme en 1995, lorsqu’elle a déménagé à New York pendant cinq mois pour un stage au magazine Harper’s.
Lorsque Hilary est revenue à Toronto, elle s’est jointe à l’équipe du magazine Canadian Living en tant que secrétaire de rédaction. Elle a aussi commencé à écrire à la pige pour des journaux tels que le Globe and Mail et le National Post.
Elle s’est mise sérieusement à l’écriture en 2006. Sa première nouvelle, « Anniversary », a été publiée par le magazine Thuglit, en juin 2007.
En 2010, Hilary Davidson a publié son premier roman, « The Damage Done » (Le mal que tu m'as fait), pour lequel elle a reçu le Anthony Award for Best First Novel 2011.
Hilary a grandi à Toronto mais elle vit maintenant à New York depuis octobre 2001.
site:
http://www.hilarydavidson.com/Home.html
Source : http://www.quebecrime.com
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La chronique de Jean Edgar Casel - le mal que tu m'as fait - Trophée - le sang de la coupe pers_le-mal-que-tu-mas-fait_2014-297x400 le mal que tu m'as fait de Hilary Davidson aux éditions Télémaque Lily pensait venir enterrer sa sœur. Elle se trompait. Claudia est morte noyée...
Citations et extraits (17)
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Claudia était une menteuse. Comme tous les junkies. Et elle détestait qu’on l’ignore. Or, depuis le mois de septembre, j’avais gardé mes distances avec elle. Devenir la cible de la pire plaisanterie au monde était peut-être le prix à payer pour ces quatre mois de silence.
Quand on est la fille de son père, on l’est pour toujours.
Je me souviens aussi m’être fait la réflexion qu’elle avait beaucoup de livres dans son appartement, alors qu’elle ne semblait pas être une grande lectrice. J’ai pensé qu’elle était l’exemple parfait de l’axiome d’Anthony Burgess, selon lequel l’achat d’un livre se substitue à la lecture.
Sarah Lyons ne réagit pas de la même manière quand c’est Norah qui l’interroge ou quand c’est moi. C’est une réaction assez typique dans notre boulot. Les gens se sentent plus à l’aise pour parler à un inspecteur plutôt qu’à un autre. Parfois, c’est juste une histoire de sexe, de race ou d’âge. Il existe un tas de préjugés inconscients qui influencent les gens quand on les interroge.
- Que vous êtes toutes les deux des camées. Le problème de ta sœur... Je sais qu'elle en a beaucoup, mais écoute ce que je vais te dire...elle, elle est accro à l'héroïne, toi à la douleur. Vous souffrez, vous vous engagez, mais vous en redemandez toujours.
- Tu ne peux pas comparer l'amour à une drogue illégale.
- Si. Je peux. C'est juste une prestation différente.
- Tu ne peux pas comparer l'amour à une drogue illégale.
- Si. Je peux. C'est juste une prestation différente.
Les mots ne peuvent pas exprimer à quel point je suis fier de toi, fier de ce que tu as accompli en si peu de temps. Tu es aussi forte que le phénix qui renaît de ses cendres, une femme d’une beauté, d’un esprit et d’une intelligence hors du commun.
Si tu penses que pleurer est idiot, alors je suis le roi des imbéciles.
C'était comme si l'année que je venais de passer en Espagne n'existait plus et que je me retrouvais à la case départ, un an plus tôt, quand je me rongeais les sangs nuit et jour pour Claudia.
— Ah oui ? Alors c’est quoi au juste, un mauvais parent ?
— Un parent qui ne se préoccupe pas de savoir si son enfant a ou non à manger tant qu’il a sa bouteille de gin.
— Un parent qui ne se préoccupe pas de savoir si son enfant a ou non à manger tant qu’il a sa bouteille de gin.
Elle disait qu’elle allait changer de vie, le genre de connerie que tous les junkies balancent quand ils voient la lumière au bout du tunnel, juste avant de replonger.
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