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Critiques de Hiroto Ooishi (16)
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La cité des esclaves, tome 1

Grâce à un accessoire révolutionnaire, le SCM, abréviation de Slave Control Method, chaque personne peut contrôler à sa guise un esclave. Seulement pour cela il faut avoir le SCM dans sa bouche (l'appareil est une sorte de dentier qui est relié directement au cerveau et qui permet de contrôler une personne) et mettre au défi un individu qui en porte un également. Tout types de défi sont acceptés, le gagnant endosse le rôle de maître et le perdant celui d'esclave. L'esclave dès lors est entièrement sous le contrôle du maître et celui-ci peut lui faire faire tout ce qu'il souhaite, à condition que cela n'entraîne pas la mort de l'esclave. On suit à chaque chapitre un individu différent et ceux-ci ont tous un lien entre eux relié directement au SCM qui est au centre de tout.

À la recherche de piquant, une envie de domination ou même une vengeance à accomplir tous ont au fond d'eux l'irrésistible envie de faire de quelqu'un son esclave. Mais à trop chercher à dominer, certains pourraient se retrouver être la proie et non le prédateur… Une course dangereuse et folle qui ne laissera personne indemne. Des personnages aux motivations distinctes tous détenteurs d'un appareil qui changera à jamais leur destin.



Un premier tome vraiment prenant et original. J'ai adoré l'intrigue et l'idée du SCM. Un manga assez hard et psychologique qui nous emporte dans un monde ou mensonges, duperies et violence sont présents à foison. Des personnages malsains, des scènes matures, je trouve que ce manga est vraiment destiné à un public mûr. Il nous mène aux limites des instincts humains, prêt à tout pour garder sa liberté et par la même occasion pouvoir dominer et faire de quelqu'un son jouet.

Une série à suivre que je conseille à partir de 15-16 ans.

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La cité des esclaves, tome 3

J'ai enchaîné les 3 premiers tomes de la série et je regrette avec ma moitié qu'on n'ait pas emprunté directement le reste ^^" C'est tellement glauque qu'on a envie d'enchaîner et d'en finir. En même temps, les auteurs ont tout de même réussi à rendre l'histoire intéressante et très bien ficelée. Dans ce tome, l'identité de l'inconnu, maître de plusieurs esclaves par juxtaposition, est révélée. J'étais choquée car le personnage sort d'un chapeau et est propulsé comme le Mal incarné. On est obligé d'accepter la proposition sans trop comprendre... Ce tome est pourtant moins orienté vers le sexe et les déviances humaines. Bilan mitigé pour moi, affaire à suivre, il reste 7 tomes.
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La cité des esclaves, tome 8

Ce tome éclaire bien la situation de Zero/Kiyo, c'est intéressant comme choix de scénario et ça a rendu un tout petit peu la série humaine. C'est touchant comme situation et on comprend mieux les raisons poussant Marie à s'impliquer dans cette bataille de SCM. Nous n'oublierons pas l'arrivée d'Eia voulant asservir petite-fille et le grand-père mafioso avec une stratégie folle pour réaliser son plus grand rêve altruiste. Les auteurs ont une tendance à surprendre en premier lieu puis attendent le volume suivant pour nous expliquer leurs choix inattendus. Un schéma qu'ils sont en train de répéter tome après tome. Je m'approche de la fin.. enfin !
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La cité des esclaves, tome 7

Marie et son disciple. N'importe quoi. Encore des nouveaux personnages qui pointent le bout de leur nez pour mettre le bazar dans les guerres de clans. Alors que l'avantage semblait être du côté de Ryuo, l'étoile est venue semer la zizanie et on en connaît la raison dès à présent. Cette série est un vrai mélange de tous les affres humains avec des perdus, des dérangés, des illuminés et des pervers. Mettez tout dans le shaker et je vous sers la cité des esclaves !
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La cité des esclaves, tome 5

Un 3eme porteur maître est apparu dans le scénario. Encore un fou qui se fait nommer "une case en moins". Après moults manipulations changeant le statut des uns et des autres, Eia en a marre de son partenaire qui n'est qu'en quête de pouvoir et de frisson.. elle doit être la seule humaine du lot car le reste des personnages me semblent bien tous perchés du ciboulot. Le tome se termine sur l'affrontement entre la team Ryuo et Une case en moins. Qui va avoir l'ascendant sur l'autre ?
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La cité des esclaves, tome 2

Notre duo sympathique tente de créer son réseau d'esclaves mais sans trop d'entraves tandis qu'ils veulent retrouver l'inconnu à la tête d'un réseau plus macabre et violent. C'est tordu, glauque et cet inconnu semble vraiment intelligent pour aussi bien tirer les ficelles des personnages à ses ordres. Ces derniers semblent être enclins à être esclave de ce maître terrifiant en cruauté... On découvre ainsi de nouveaux personnages, des liens entre eux. Les auteurs ont poussé le scénario assez loin dans la toile.
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La cité des esclaves, tome 9

Nous voilà suivant durant tout un volume, l'étoile, le détenteur du J-SCM. J pour Judgement. Voulant contrôler tous les porteurs, il se retrouve à la merci des plus fous car évidemment, l'humain cherche vengeance dans cette série. Quand tout partait déjà en vrille, on ne pouvait imaginer pire. Les auteurs vont trop loin dans leur dérive. Vivement le dernier que je retourne au calme avec mon thé et mon tricot..
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La cité des esclaves, tome 1

SCM. Ces 3 lettres sont synonymes d’esclave et maître. Cet appareil est une sorte de dentier qui a une emprise sur le cerveau. La règle est simple : toute personne équipée de cet appareil peut disputer des duels contre d’autres porteurs. Si vous gagnez le duel, vous êtes le maître, si vous le perdez, l’esclave du gagnant.

La mention « public averti » est tout à fait justifiée. Le manga fait vraiment dans le sordide, notamment les viols. Je n’ai pas compris les motivations de tous les joueurs, d’autant plus qu’en général, ils savent ce à quoi ils s’exposent. Parfois la soif de vengeance explique cette motivation mais les prochains tomes sauront-ils renouveler les thèmes ? Concernant le dessin, rien à dire, il est irréprochable.

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La cité des esclaves, tome 1

Trash, malsain, violent, bienvenue au pays de l'expérience extrème... Le ton est sombe, les dessins de très bonne qualité. Trop dérangeant pour moi, je n'ai pas pu aller jusqu'au bout de la lecture de ce manga. Je reconnais qu'il est toutefois très accrocheur ! Pour les amateurs du genre, ne passez pas à côté !
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La cité des esclaves, tome 10

Enfin ! Enfin, je suis libérée de cette série. J'ai investi du temps et de l'énergie dans les méandres sordides des êtres humains. On va suivre dans cet ultime volume, Shinnosuké, le rasta crête de lion dont on entend parler depuis le tome 1. Les auteurs ont tenté de boucler une boucle imaginaire qui pour moi, n'est pas du tout sensée mais bon, comme on dit, quand la série entière est du wtf, il ne faut plus être surpris de quoi que ce soit. Je termine une série en ce début d'année, c'est tout ce que je retiens ! XD
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La cité des esclaves, tome 6

Ca doit être le tome le plus wtf que j'ai pu lire de la série sachant qu'elle est déjà à un rang élevé en fou-fou dans ma panoplie de lecture.. Entre la révélation de Julia (à quoi ça sert ? Ça m'a choquée), le mystérieux porteur étoile qui lorsqu'il apparaît on sait de suite qu'il est l'étoile et toutes les cartes qui sont finalement rebattues avec le clan bidule sous les ordres du clan machin. Tome qui m'a agacé et qui m'a semblé anecdotique. Affaire glauque à suivre.
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La cité des esclaves, tome 1

Voilà un titre que je n'ai pas du tout choisi dans mon barda de lectures ... un titre que j'ai tendu directement à mon cher et tendre "tiens c'est bien pour toi ce délire" qu'il a fini par me redonner avec un "c'est pas mal, ça peut te plaire, j'aurai du emprunter toute la série". Quand ma moitié dit ça, c'est du lourd : la quantité de livres que je lis en une semaine est son quota sur un semestre voire un an. Ni une, ni deux, mais qu'est-ce que cette histoire a pu faire pour retourner son esprit ? En effet, c'est bien glauque comme je l'avais prévu, très orienté sexuel et moins vers la psychologie. Quoi que... Chaque chapitre est sur un personnage différent mais au fur et à mesure, on remarque que la toile se tisse et tous sont liés les uns aux autres. L'histoire est originale, spéciale mais on ne peut s'empêcher de vouloir comprendre jusqu'où la nature humaine est capable d'aller, en espérant secrètement que les scènes à venir ne seront pas trop dures à supporter. Ca m'a happé mais attention, ce n'est pas pour autant que je conseillerai de mettre le SCM et la série entre les mains de n'importe qui. Pour public averti, je vous le confirme !
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La cité des esclaves, tome 10

La cité des esclaves est un manga en 10 tomes, où ils nous en ont fait un anime de 12 épisodes. C’est une histoire qui a un postulat puissant, et à ne pas mettre entre toutes les mains. Comparé à d’autres de ce genre que je peux lire ou j’ai lu, je la mets dans le haut du panier. C’est vraiment une série qui vaut le coup d’être lu si la thématique vous intéresse, que votre coeur est assez solide. Pour public mûr et averti.

Le graphisme est agréable aussi.



La fin conclue notre histoire, mais elle ouvre en fait plus largement, donc c’est une fin sans en être totalement une, mais relativement correcte.



Le tome 10 ne va pas juste enchaîner les combats. Il va décider de montrer qu’une partie. La partie la plus intéressante et difficile.



Pour ma part, il y a deux personnages que j’ai beaucoup aimé dès notre rencontre, jusqu’à la fin. Ils ne sont pas décevants ^^. J’ai bien dit personnage.



Le manga a une édition convenable, mais rien de transcendant. Les pages ont un grain et une couleur agréable. Rien vraiment sous la jaquette. Et aucune page couleur. Son prix n’est pas des plus sympathiques (8,45€).



Nous avons de nombreux retournements de situations, et de surprises. La psychologie est également très présente, et donne sa force au titre, qui ne se contente pas d’aligner des batailles.



Ils ont utilisé un élément bien connu : l’esclavage, et le plaisir malsain d’avoir quelqu’un sous ses ordres pour faire tout et n’importe quoi, avec quelques limites (cf avis tome 1). Entre Arslan, et la cité des esclaves, vous avez une bonne réflexion sur l’esclavage.



Nous allons également revenir par moment sur certains points du passé de la vie des protagonistes.



La plupart vont être gris, ni vraiment blanc ou noir. C’est compliqué, et les sentiments humains par moment aussi.



Par là, comme à leur accoutumé, ils nous parlent aussi de fort et de faible, mais certains peuvent-ils encore se regarder dans la glace ?



Une autre grande force et aussi quelque chose de terriblement glauque, horrible, c’est que vous pouvez très bien ne pas vouloir jouer le jeu, ne pas vouloir d’esclaves, mais vous retrouvez sans savoir comment dans ce jeu pervers. Vous pouvez devenir esclave sans vouloir vous battre pour avoir un esclave.



Nous allons également découvrir comment a été crée et détourné le SCM.



Une série aussi glaciale qu’intéressante. Accrochez-vous bien !
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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La cité des esclaves, tome 4

Est-ce que j'aurai vraiment du lire ce tome avant de dormir ? La toile d'araignée s'étend avec les relations de maîtres à esclaves de plus en plus complexes avec un étrange troisième maître se profilant dans les parages. Dans ce tome, on touche à l'origine du SCM et la raison pour laquelle Zushiomaru, le chien, en a un ainsi que la relation entre Julia et son maître. L'auteur s'attache toujours à traiter du sexe dès qu'il peut, c'est toujours des scènes qui donnent la chair de poule voire l'envie de vomir. L'histoire reste convaincante pour être poursuivie bien que glauque et malaisante.
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La cité des esclaves, tome 1

J'ai vu ce manga, je l'ai directement acheté...Et j'ai bien fait (bon, par contre je reconnais qu'il mérite bien sa mention "pour public averti", hein^^) car il est maintenant mon deuxième manga préféré. J'ai beaucoup leurs guerres de stratégies et je trouve que l'histoire change un peu des survivals "habituels" (Doubt, Judge, King's Game, Darwin's Game...). J'aime beaucoup les traits du dessin.
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La cité des esclaves, tome 1

En ce moment j'ai soif d'histoires bizarres (mais gentille encore, hein!) du type Judge, Doubt, Reset, Dud's Hunt, King's Game, Darwin's Game... enfin d'histoires qui changent un peu du 'et ils vécurent heureux'...



Alors quoi de mieux que cette nouvelle série? Pour tout vous dire, la lectrice - facile - que je suis s'est un peu faite harceler par diverses publicités et en faisant un détour sur Paris, voir même à la Fnac pour être précise (mais totallement par accident...) j'ai fini par craquer car le style graphique (qui est très important pour moi) ne me dérangeait pas, au contraire, mais également que le résumé me paraissait plus que tentant.



J'ai également vu pas mal de mauvaises notes sur ce manga, ce qui m'étonne car j'ai totallement adoré ce premier tome... Comme j'ai dit à ma petite soeur au moment de refermer cette lecture, c'est que pour moi ça m'a fait penser à un king's game, mais version plus "psychologique" et moins gore. L'idée est sympas mais peut être un peu réchauffée, mais l'appareil SCM est plutôt original ainsi que le concept. De mémoire, l'histoire commence avec une fille qui se lamente auprès de sa copine car son homme l'a trompé... avec un autre homme, et que par conséquent son couple n'existe plus. La copine, qui s'ennuie un peu dans sa petite vie rangée, décide de vérifier par elle même que l'ex est bien devenue gay. Par la rencontre organisée, elle montre un esprit logique et un certain culot, qui plait à l'ex qui lui propose alors en apparté, de s'associer pour tester les limites du SCM.



En parallèle, on croise plusieurs protagonistes qui ont chacun été poussés à bout et qui décident d'avoir recours au SCM pour parvenir à leur fin, ou tout simplement se venger. La façon dont cet appareil fonctionne m'a pas mal intrigué, sur le principe c'est assez intéressant. Les façons de défier l'autre porteur du SCM, voir même de pousser son rival à porter l'appareil m'ont bien plu. Pour le final, ce n'était pas un final à couper le souffle comme dans Erased, mais plutôt une ouverture montrant que la ville de Tokyo a bien plus de porteurs de SCM qu'on ne peut le penser, et qu'au final il y aura plus de bataille pour asservir le plus de monde qu'on ne pouvait le supposer. Du moins, c'est le genre de fin qui me permet de me faire des films pour la suite.



Pour le style graphique, c'est plutôt pas mal, du moins ça ne m'a pas dérangé. J'ai vraiment apprecié cette lecture, et j'ai hâte d'en lire la suite, en espérant ne pas être déçue.
Lien : http://pimhaz.blogspot.fr/20..
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