Hope Tarr

Pas mal du tout !



Si le style au début est un peu plat et mou, le fond le relève beaucoup. Un roman où les héros sont une militante pour le droit de vote des femmes et un photographe aux origines douteuses, c’est pas courant. Si on ajoute à cela des références historiques en tête de chaque chapitre, ça titille les esprits, le mien pour le moins.



L’auteure super bien documentée sur son sujet aborde le combat féministe d’abord d’une manière toute idéologique et passe après à la réalité sordide qui a pu échappé dans un premier temps aux activistes qui étaient généralement des femmes éduquées et qui avaient de l’argent. Passer par le biais d’un photographe qui à l’œil pour nous décrire le côté souvent malsain de la politique, c’est pour le coup bien vu.



Il ne manque qu’un brin d’humour pour en faire un petit coup de cœur car les personnages sont attachants et surtout humains avec des défauts et des qualités si communs :-) Bon, à la recherche des deux tomes suivants maintenant ;-)

Ben, toujours un tantinet déçue…



J’adore retrouver des personnages récurrents et c’est le cas ici. Moins de rouge clinique avec juste une petite phrase qui revient toutes les deux pages en rapport au désir fulgurant, je peux encore gérer. L’histoire du troisième orphelin de Roxbury House est intéressante et démontre qu’il est possible d’avoir une seconde chance. Un récit qui aborde en plus le mépris marqué, peut-être encore maintenant, de la noblesse désargentée et qui snobe le travail face à un homme marqué qui fait tout pour réussir, ça devrait être génial. Et pourtant, il manque quelque chose, de l’humour certainement, de la poésie aussi et pour moi, les personnage sont trop figés et les dialogues un peu trop construits pour être réalistes.



En conclusion, une auteure qui se lit bien même si je ne vais pas la suivre, il y en a de bien meilleures ;-)

Un peu déçue…



Bien contente de retrouver nos trois orphelins qui sont restés amis et proches envers et contre tout. Dans cet opus, on retrouve Gavin, celui qui est parti assez vite de l’orphelinat, son grand-père paternel est venu l’y récupérer après plusieurs mois de recherche. Commence alors pour lui une vie plutôt stricte qu’il illumine par le souvenir de son amie d’infortune, la petite Daisy. Adulte, avocat renommé, le souvenir est toujours vivace et voilà qu’il la retrouve dans un cabaret sous le nom de Dalida du Lac. Et l’aventure commence alors.



Si l’histoire est belle et bien menée, si on découverte avec plaisir le monde des cabarets et du théâtre, l’héroïne est présentée comme une nymphomane expérimentée, c’était pas vraiment utile pour rendre le récit intéressant. De plus l’auteure use et abuse de scènes de sexe crûment décrites sans poésie aucune, un travers que je remarque de plus en plus chez les jeunes auteures du genre. C’est un livre rouge bon sang, pas un roman porno, ce n’est pas la même cible.



Je vais bien sûr terminer la trilogie mais je suis un peu attristée de voir cette dérive pour lecteurs avertis sans avertissements :-p

Un joli petit Chick-lit. Cela fessait un moment que je n'avais pas lu ce genre-là. Et pourtant, il a été mon genre préféré pendant un moment. Et j'avoue que cela fait du bien de le lire. Pas trop de prise de tête, il se lit rapidement et vous savez d'avance que vous allez passer un bon moment. J'ai bien aimé ma lecture, le final prévisible certes, mais surtout mal fait … On retrouve notre Couple qui est composé de Macie et de Ross. Deux personnages assez différent eu premier abord, mais qui par la suite seront trouver des points communs et comme on le sait parfaitement par finir ensemble. J'avoue que, je me laisse souvent avoir et que je dévore le livre pour savoir le pourquoi du comment. Comme souvent, je m'attache rapidement aux personnages et je vis souvent l'histoire avec beaucoup d'intensité, beaucoup moins maintenant, mais je reste ancrée dans ma lecture. On voit évoluer nos personnages au fil du texte et au contact de l'un et de l'autre. C'est assez sympa, surtout que l'on a les deux points de vue internes, ce qui me paraît assez rare dans les Chick-lit. Une fin que j'attendais avec impatience sans trop de surprise.





En conclusion, je sais pertinemment à quoi m'attendre avec ce genre littéraire là. Et comme souvent je ne suis pas déçue et je passe souvent un bon moment. Je m'attache facilement aux personnages, le fait d'avoir les deux points de vue internes aide beaucoup. Je suis un peu déçue que l'auteur n'ait pas joué un peu plus sur la double identité de Macie. Mais l'essentiel, c'est que j'ai passé un bon moment sans prise de tête.

C'est mimi, c'est exactement l'histoire convenue auquel on s'attend. Le ton est moderne et les petits clins d'oeils à Cendrillon ne sont que tous petits (quasi rien en faite), c'est plus un état de fée (roh elle était facile) : la disillusion des contes de notre enfance.



Les personnages sont attachants avec leurs doutes et leurs histoires propres. Il y a parfois un gros manque dans le développement de scènes ou dans certains dialogues, et la fin tellement facile ne met pas ce petit bout de roman à la place qu'il aurait pu avoir. Parce que l'histoire est vraiment sympathique digne d'une comédie romantique, avec la double narration Macie & Ross.



Bref, idéal pour la petite lecture entre deux gros pavés.

Pour partir en vacances j'avais envie de lecture simples et sans prise de tête. C'est pourquoi j'ai emmené quelques Milady avec moi dans ma liseuse, et celui-ci en faisait partie.

Et on peut dire que ce roman a rempli sa part du contrat, car en effet j'ai eu affaire à une lecture légère et sympathique, même si elle ne casse pas trois pattes à un canard.



Il faut dire que le pitch était assez simple: la jolie journaliste démocrate et plus que libérée qui a envie de se venger du beau gosse républicain et conservateur qui lui a fait une mauvaise pub sur son dernier article, et qui du coup va se faire passer pour une gouvernante dans le but de trouver quelque chose de croustillant pour briser l'image du bellâtre.



Alors oui, les personnages sont des plus stéréotypés, allant de la rédactrice en chef frigide au meilleur ami coiffeur et gay en passant par le scénario plus que convenu, mais on passe tout de même un bon moment de lecture. Le tout c'est de ne pas trop en attendre.

Après tout, ce roman c'est de la chick-lit pure et dure !



Malgré cela, j'ai eu un petit coup de cœur pour Samantha, la fille de Ross. La jeune fille détonne un peu dans l'univers trop parfait de son père étant donné qu'elle est son exact opposé. Elle refuse l'autorité et prend la mouche à la moindre remarque, mais on sent qu'il y a quelque chose de fragile en elle, quelque chose qu'elle n'a pas envie de montrer.



Cependant le personnage de Macie est tout de même assez attachant. Elle est vive et drôle et elle va amener un peu d'ambiance et de chaleur dans le foyer de Ross qui en manque cruellement.



Le style d'écriture de Hope Tarr est agréable sans être transcendant. On est rapidement pris par l'histoire et les événement s’enchaînent assez rapidement, pour arriver sans grande surprise au Happy End tant attendu et que l'on pressentait depuis les premières pages. Avec ce genre de roman le Happy End -légèrement- mièvre est une valeur sûre, et Opération Cendrillon ne déroge pas à la règle.



En conclusion je dirai que je n'ai pas été surprise par la tournure de ce roman, mais qu'une fois de plus le côté chick-lit de chez Milady fonctionne plutôt bien.

Pas de surprise donc, mais une petite romance bien sympa, à lire au bord de la piscine en sirotant un petit cocktail, histoire d'être dans l'ambiance.
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Ayant apprécié le tome 1 de cette série Contes de filles, je me suis laissée de nouveau emporter par la plume de Hope Tarr. Et encore une fois je n’ai pas été déçue.



Ici nous suivons l’histoire de Francesca, souvenez-vous l’ex femme British de Ross et la mère de Samantha dans le premier opus. Fran est un photographe de mode réputée en freelance dont la côté de popularité à chutée suite à fiasco. Elle devait prendre en photo Gregory Knickerbocker, un grand milliardaire en informatique pour un article du magasine QG. Mais ce dernier s’est joué d’elle en refusant de faire la photo pour elle. Quatorze mois plus tard, c’est le calme plat au niveau professionnel, c’est le désert depuis sa rupture avec Freddie et sa relation avec sa fille n’est pas au beau fixe. Cette dernière ayant décidait de vivre en permanence chez son père à Washington. Ayant besoin d’argent pour prendre des vacances avec sa fille, Fran va accepter de devenir coach dans une émission de téléréalité : Projet Cendrillon. Elle devra coacher les candidats au niveau mode et devra prendre une photo d’eux à la fin. Mais dès son arrivée, tout se complique. Elle se retrouve face à sa rivale : Deirdre, qui aura la même mission que Fran. Et ce n’est pas tout, le célèbre geek multimilliardaire Greg participe aussi à l’émission mais en tant que candidats. La situation ne peut être pire. Suite à un pari qu’elle n’a pu refuser face à sa rivale, elle va se rapprocher de Greg et tout faire pour que celui gagne l’émission. Mais qui sera le grand gagnant elle ou lui ?



En lisant ce livre, j’ai passé quatre-vingt pourcent de mon temps à rire. En effet, le duo Fran et Greg c’est le jour et la nuit. Ils sont diamétralement différents, ce qui rend leur relation encore plus attachante et passionnante.



Fran est totalement différente de ce qu’elle était dans « Opération Cendrillon ». Si dans le premier opus de la série je ne l’ai pas appréciée, dans ce deuxième j’ai changé d’avis. C’est une femme sensible et qui est malheureuse. Car elle se reproche d’être une mauvaise mère et avoir pris de mauvaises décisions. Elle va tout faire pour y remédier. Le fait qu’elle se remette en question m’a émue. Ainsi il s’avère qu’elle ait un côté doux et non froid.



Greg, lui je l’ai adoré. C’est un véritable geek aux lunettes et tout ce qui va avec, un grand fan du groupe ABBA, qui a réussit dans la vie mais dont la vie amoureuse est catastrophique. Il s’est fait plaqué plus d’une centaine fois. Il participe à l’émission pour affronter sa timidité et trouver enfin l’âme sœur. Ce mec est un vrai phénomène. On ne s’ennuie pas avec lui grâce à ses répliques sarcastiques. Bref, il peut être à la fois drôle mais aussi charmant.



Grâce à la plume fluide et simple de l’auteur, j’ai passé un agréable moment. Même s’il a un côté cliché, ce roman m’a beaucoup plus. J’espère que le dernier tome de cette série sera toujours aussi captivant.
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Premier tome d'une série de romance contemporaine avec un soupçon de conte de fée.



Dans ce premier "conte", nous nous intéressons à Macie, journaliste plutôt féministe et à Ross Mannon très (trop ?) conservateur. En apparence, deux personnages qui n'ont comme seul point commun que de défendre leur valeur avec conviction !



En effet, au-delà de la romance entre les deux personnages, il s'agit ici de la confrontation entre deux modes de pensée et également deux modes de vie opposés. Ainsi, tout d'abord, sans s'en rendre compte, les héros vont commencer à comprendre la pensée de l'autre pour, peut-être, l'accepter, car tel est l'enjeu ici.



La romance est ponctuée de quelques clins d'oeil très discrets au conte de fée Cendrillon. Ce qui est paradoxale puisque notre héroïne n'y croit plus depuis longtemps ! En effet, au fur et à mesure des pages, on va comprendre pourquoi Macie est une jeune femme en lutte perpétuelle contre elle-même se refusant d'être la personne qu'elle voudrait être.



Ross n'est pas en reste, puisqu'il mène une vie en dissonance avec ce qu'il prône. Pour commencer il ne connaît presque pas sa fille et ne sait pas comment "construire un pont" vers elle. Par ailleurs, il se refuse également au bonheur, de peur de reproduire les erreurs du passé.



Le dénouement s’essouffle très légèrement avec deux rebondissements assez semblables coup sur coup chacun concernant un des deux personnages principaux.



Dans ce roman, on fait la connaissance de quelques personnages secondaires telles l'ex-femme de Ross ou la meilleure amie de Macie qui vont devenir, à tour de rôle, les héroïnes des deux prochains tomes de la série.



Une romance rafraîchissante et drôle avec un début d'intrigue original, un vrai conte moderne !


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Ross Mannon, sociologue aux idées bien arrêtées sur la famille et la sexualité, décide de descendre un magazine très huppé lors d'une émission radio. Macie Graham, la rédactrice de l'article en question, n'apprécie pas d'être la cible de cet homme qui met en péril sa carrière. Pour se venger, elle est prête à tout, y compris de se faire passer pour une gouvernante aux idées en totale contradiction avec sa propre personnalité.

J'ai tout de suite été attirée par la couverture : ce rose très féminin m'a plu. Mais l’apparence ne fait pas tout. Ross Mannon est un trentenaire divorcé assez buté, conservateur par excellence. L'arrivée de sa fille chez lui va bousculer sa tranquillité et il va se mettre en quête d'une personne pour l'aider : une jeune femme bien sous tout rapport, capable de cuisiner, faire le ménage... Un peu sexiste le monsieur. Et très caricatural pour le coup. L'héroïne est une jeune femme à la personnalité changeante et inventive : tantôt blonde, tantôt rousse, elle change de peau dès que cela est nécessaire.

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... Que ça va être difficile de vous parler de ce roman. Déjà cela a été terrible de le noter, j’ai longuement hésité entre 3, 3.5 et 4, jusqu’à la dernière minute, avant de finalement me décider pour le 3.5). Pourquoi tant d’indécision ? Parce que j’ai beaucoup apprécié ma lecture mais que d’un autre côté, je ne l’ai pas trouvée extraordinaire non plus. J’ai comme un petit goût amer de déception, il m’a manqué quelque chose pour que ce soit une meilleure note. Je ne vous referais pas un résumé, je pense que celui du livre suffit largement. Je vous parlerais à la place un peu plus longuement des personnages.



Macie Graham décide donc de se venger de Ross Mannon. Pour cela elle a l’idée de se faire engager comme gouvernante chargée de surveiller sa fille adolescente. Un comble quand on sait que Macie ne sait absolument pas cuisiner, a un sens du ménage bien particulier (voire inexistant), et une conception de l’éducation diamétralement opposée à celle de Ross. Mais par magie elle va s’en sortir haut la main (c’est surtout grâce à son amie restauratrice et à une entreprise de ménage…). Et surtout grâce à ses bonnes marraines les fées (qui sont masculines) et vont complètement la changer pour qu’elle devienne méconnaissable. Et vont lui offrir une magnifique paire de chaussures rouges ayant tout un passé (car bien sûr qui dit Cendrillon, dit paire de chaussures ! ;) ). Que dire de plus sur Macie ? Elle est vraiment sympathique, drôle, et cache bien des choses mais après c’est tout. Une héroïne qui change quand même bien vite d’avis et qui ne m’a pas fait plus impression que ça. ...
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Après Macie dans le tome 1 et Starr dans le tome 1.5, c’est au tour de Francesca d’avoir son conte de fée. Pour rappel, Francesca est l’ex femme de Ross, le héros du tome 1. La jeune anglaise et photographe de mode et c’est dans le cadre de son travail qu’elle rencontre pour la première fois Greg, jeune prodige de l’informatique. Leur première rencontre va très mal se passer et ils se séparent, bien décidés à ne jamais se revoir. C’est sans compter sur la magie et sur “l’ange” qui veille sur les jeunes femmes de cette série. Par l'intermédiaire de Starr, Francesca reçoit la fameuse paire d’escarpin qui permet à chaque femme de trouver l’homme de sa vie. Sitôt les chaussures en sa possession, la voilà embauchée dans une émission de téléréalité. Le but de l’émission: transformer des ringards en fashions victims et leur permettre de trouver l’amour. Francesca fait partie du jury/coach. Et parmi les candidats elle va retrouver Greg. Commence alors un relookage dont tous les deux ne sortirons pas indemnes.



Francesca n’apparaissait pas forcément sous son meilleur jour dans le tome 1. Ici c’est une nouvelle femme que nous retrouvons. Fraîchement célibataire, elle veut à tout prix passer plus de temps avec sa fille. C’est pourquoi l’argent gagné avec l’émission lui permettrait de prendre des vacances. Très sûre d’elle au premier abord, on découvre vite qu’il s’agit d’une façade. J’ai pris plaisir à découvrir la vraie Francesca.



Greg est un geek qui collectionne les ruptures depuis un moment. Il ne fait absolument pas attention à son look et n’a pas pour habitude de se laisser dicter sa loi. Il est charmant, sympa, mais je n’ai pas succombé à son charme.



C’est vraiment un conte de fée que l’on lit. On retrouve les héros, un peu à la manière de la Belle et la Bête (sans le côté malédiction), les bonnes fées qui donnent un coup de main pour réunir notre couple. Juste qu’à la fin qui fait très conte de fée.



Dans cette série, je préfère largement les héroïnes aux héros qui ont tendance à me laisser de marbre.







Lecture sympa, agréable. J’ai passé un bon moment. C’est toujours un plaisir de lire des romances sans prise de tête.


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J’avais adoré le premier tome, Opération Cendrillon, et je me suis tout autant régalée dans cette suite que nous sert Hope Tarr. L’histoire est ici recentrée sur Francesca, l’ex-femme de Ross – que l’on avait suivi dans le premier tome.



Fran est une photographe de mode très réputée, jusqu’à un article raté pour GQ sur Gregory Knickerbocker, un grand PDG milliardaire qui lui a refusé de se faire prendre en photo. Sa vie est un grand vide, étant célibataire et sa fille l’ayant quittée, préférant vivre avec son ex-mari et sa nouvelle femme. Elle accepte donc de participer comme « coach » à la nouvelle émission de téléréalité Projet Cendrillon, une émission où trois filles et trois garçons vont suivre des séances de relookage afin de prétendre à rencontrer leur âme-sœur. Sauf que tout ne va pas se passer selon ses plans, et elle va y retrouver Gregory « Greg » Knickerbocker qui y participe en tant que candidat, ainsi de sa plus grande rivale dans le milieu.



Ce que je retiendrai principalement de ma lecture, c’est ô combien j’ai ris !



Greg est l’archétype même du geek que l’on imagine et que l’on rencontre souvent dans les séries américaines, riche à milliards grâce au réseau social qu’il a développé. Mais après s’être fait plaqué par ses cent petites amies précédentes, il décide de participer à l’émission pour trouver son âme sœur. Il n’a que deux buts dans la vie : coder, et vivre avec la personne qui lui est destinée. Il donne parfois l’impression de croire qu’il existe un manuel, une recette pour trouver cette personne (comme porter un parfum sensé attirer les filles ..?). Dès qu’il prend la parole, ou dès qu’on passe à sa narration, je rigole comme pas possible. Un personnage vraiment frais, drôle et si naïf qu’il en devient véritablement mignon !



Quant à Francesca, j’ai mis un petit moment à m’attacher à elle... Elle paraît tellement froide, insensible et obnubilée par son travail que nos premiers contacts furent rudes. Mais petit à petit elle révèle une véritable sensibilité, ainsi que la douleur de sa solitude qui lui pèse, et elle devient très touchante. La présence de Gregory va aussi lui faire découvrir qu’elle n’a pas besoin de ressembler autant à un requin, et elle va petit à petit s’adoucir, pour mon plus grand plaisir.



J’ai vraiment beaucoup, beaucoup aimé cette romance qui ne ressemble à aucune autre. Cette revisite du conte de Cendrillon m’a envoûtée, et j’ai adoré les deux personnages que nous propose ici Hope Tarr. Je ne sais pas ce qu’elle nous réserve pour la suite, mais jusque là c’est un sans faute pour moi pour cette série !
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Il s'agit du premier tome d'une trilogie sur trois amis orphelins.



J'ai beaucoup apprécié le fond historique sur le droit de vote des femmes en Angleterre ainsi que le côté politique même s'il aurait pu être encore un peu plus approfondi. On apprend également beaucoup de choses sur les conditions de vie de l'époque et les différents statuts sociaux.



Il est cependant dommage que la traductrice est sautée quelques lignes p.114, même si cela ne gêne pas la compréhension globale du livre, cela reste très frustrant au moment de la lecture de ce passage.



En ce qui concerne les personnages principaux, la narration se fait à la troisième personne mais alterne les points de vue entre Hadrien/Harry et Caledonia. J'ai eu un peu de mal à apprécier ces personnages surtout Caledonia. En effet, ils sont un peu trop stéréotypé et pas assez approfondis pour vraiment s'attacher à eux. C'est également le problème des personnages secondaires qui pour certains sont vraiment très intéressants mais qu'on ne fait que survoler au final.



Enfin, les circonstances qui conduisent nos deux héros à se rencontrer et surtout à se rapprocher sont un peu téléphonées ce qui est vraiment dommage car, par la suite, leur histoire fonctionne bien.



En outre, plus le dénouement approche, plus nous assistons à nombre de rebondissements (peut-être un peu trop?) et retournements de situations relativement imprévisibles. Rourke et Gavin sont un peu plus présents vers la fin, nous donnant envie d'en apprendre plus sur eux tout comme sur Sally qui semble bien cacher son jeu !



Ce livre est très intéressant et agréable à lire.
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Un roman hybride entre une romance et un feel-good. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire. Il y a de l'alchimie dans l'air, mais aussi de l'humour. On peut lire ce roman très rapidement grâce à la plume fluide de l'auteure.

Les personnages sont attachants, même s'ils ont des défauts. L'univers est bien pensé et construit. La fin a été un peu trop rapide à mon goût, je suis restée un peu sur ma faim.

Au vu du titre du livre, je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire... C'est aussi ça, les surprises avec les liseuses : le résumé n'étant pas accessible, quand on choisi un livre dans sa bibliothèque, on ne mise que sur le titre et la couverture... Rose, en l'occurence pour le challenge Bookineurs en couleurs ! ;)



Pour le coup, je ne pense pas pouvoir dire que j'ai aimé ce livre : c'est trop cliché pour moi et je ne suis pas sûre d'être en accord avec les valeurs du bouquin. Pour tout dire, je ne suis même pas certaine de pouvoir dire clairement ce qu'elles sont. J'ai eu l'impression que pour l'auteure, les démocrates, la religion et l'image d'une famille parfaite étaient importantes et qu'elle avait tendance à diaboliser les modes de vie plus libérés. Ce sont toutes ces petites remarques dites à demi-mots qui m'ont agacée : sérieusement, la tolérance est un chouette truc !

Pour en revenir avec le titre et son rapport avec l'histoire, je suis également un peu échaudée... Pour moi, le seul rapport s'exprime par une paire de chaussures - les chaussures de Cendrillon - dont nous entendons parler seulement trois fois dans le bouquin. Un peu léger pour figurer dans le titre, non ?

Sinon, je dois dire que je me suis tout de même prise au jeu de l'histoire. Elle est classique, vue et revue dans les téléfilms qui passent l'après-midi à la télé, mais elle fonctionne plutôt bien ! C'est plutôt amusant, on s'attache assez facilement aux personnages et on a envie de découvrir cet affreux secret (qui est très loin de l'être). La fin se devine, mais, encore une fois, c'est ce que l'on avait envie de lire.

L'autre point positif, c'est que le côté puritain du livre m'a évité les scènes de sexe à la pelle et sans intérêt qui m'agacent dans les bouquins du genre.



J'ai trouvé Macie plutôt attachante bien qu'elle soit clichée. Au début, on la rencontre terriblement ambitieuse et perdue pour la retrouver, à la fin du bouquin, en petite femme parfaite. Du coup, c'est vraiment l'entre-deux que j'ai apprécié : ce moment où elle n'était ni vraiment l'un, ni vraiment l'autre... Quand elle se posait des questions et était tolérante, elle était plutôt chouette.

Ross m'a assez laissée de marbre. Il a peut-être tout pour plaire mais ses idées arrêtées m'ont vraiment dérangées.



C'était la première fois que je lisais Hope TARR et, franchement, je ne suis pas totalement convaincue... Entre ces valeurs loin des miennes et son histoire déjà-vue, je n'ai pas eu tellement d'atomes crochus avec son univers. Peut-être qu'il en serait différemment avec un autre de ses romans ?

Une lecture qui m'a laissée de côté...
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Bonne petite lecture qui se lit très rapidement et sans prise de têtes.



Le début est assez prometteur, Macie est prête à tout pour se venger de celui qui a critiqué son dernier article. Quel moyen plus seul que de se faire passer pour une gouvernante irréprochable ? Et pourtant, très vite, elle tombe dans son propre piège.



Les choses évoluent assez rapidement, peut être même un peu trop d’où le fait que je n'ai pas eu de coup de coeur, mais cela restait tout de même une bonne petite romance.



Un peu plus de profondeurs dans les moments clés n'auraient pas été de refus !
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Pour partir en vacances j'avais envie de lecture simples et sans prise de tête. C'est pourquoi j'ai emmené quelques Milady avec moi dans ma liseuse, et celui-ci en faisait partie.

Et on peut dire que ce roman a rempli sa part du contrat, car en effet j'ai eu affaire à une lecture légère et sympathique, même si elle ne casse pas trois pattes à un canard.



Il faut dire que le pitch était assez simple: la jolie journaliste démocrate et plus que libérée qui a envie de se venger du beau gosse républicain et conservateur qui lui a fait une mauvaise pub sur son dernier article, et qui du coup va se faire passer pour une gouvernante dans le but de trouver quelque chose de croustillant pour briser l'image du bellâtre.



Alors oui, les personnages sont des plus stéréotypés, allant de la rédactrice en chef frigide au meilleur ami coiffeur et gay en passant par le scénario plus que convenu, mais on passe tout de même un bon moment de lecture. Le tout c'est de ne pas trop en attendre.

Après tout, ce roman c'est de la chick-lit pure et dure !



Malgré cela, j'ai eu un petit coup de cœur pour Samantha, la fille de Ross. La jeune fille détonne un peu dans l'univers trop parfait de son père étant donné qu'elle est son exact opposé. Elle refuse l'autorité et prend la mouche à la moindre remarque, mais on sent qu'il y a quelque chose de fragile en elle, quelque chose qu'elle n'a pas envie de montrer.



Cependant le personnage de Macie est tout de même assez attachant. Elle est vive et drôle et elle va amener un peu d'ambiance et de chaleur dans le foyer de Ross qui en manque cruellement.



Le style d'écriture de Hope Tarr est agréable sans être transcendant. On est rapidement pris par l'histoire et les événement s’enchaînent assez rapidement, pour arriver sans grande surprise au Happy End tant attendu et que l'on pressentait depuis les premières pages. Avec ce genre de roman le Happy End -légèrement- mièvre est une valeur sûre, et Opération Cendrillon ne déroge pas à la règle.



En conclusion je dirai que je n'ai pas été surprise par la tournure de ce roman, mais qu'une fois de plus le côté chick-lit de chez Milady fonctionne plutôt bien.

Pas de surprise donc, mais une petite romance bien sympa, à lire au bord de la piscine en sirotant un petit cocktail, histoire d'être dans l'ambiance.
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Voilà une petite romance contemporaine très agréable à lire. En soi, elle n’a rien d’exceptionnelle mais elle réussit son rôle parfaitement : passer un moment agréable de lecture sans prise de tête.

Très rapidement, on sait où l’auteure va nous emmener. On retrouve les codes de la romance, l’un des personnages est attiré mais pas l’autre puis c’est l’inverse. Finalement, tout s’arrange, ils passent d’agréables moments ensemble jusqu’à ce qu’un couac vienne mettre le bazar dans l’idylle. Pas de panique, tout va s’arranger, et oui, il s’agit d’une romance, le conte de fée pour les grandes filles...



Dans ce second tome de cette saga où ce sont des chaussures la star, nous retrouvons Francesca, l’ex-femme de Ross. J’ai été surprise par cette jeune femme, je m’attendais à une personnalité totalement différente. Bien qu’en apparence, elle ne ressemble pas à la femme lambda, ses aspirations sont les mêmes que les nôtres. Elle veut être une mère parfaite pour sa fille, elle veut du temps pour elle et pour trouver l’amour…

Face à elle, un nouveau personnage masculin. Un geek, qui a très bien réussi côté vie professionnelle. Par contre, côté vie privée, ce n’est vraiment pas la même chose… Il faut le dire, il n’est pas doué avec les filles… Pourtant, il a tout du prince charmant même si pour le moment, il ressemble plus à la grenouille. J’ai beaucoup aimé Greg, un personnage optimiste, qui n’a pas sa langue dans sa poche.



J’ai aimé l’idée de départ du roman. Un mélange entre Un nouveau look pour une nouvelle vie et un genre des Chti à Los Angeles (ou quelque chose dans le genre). Non seulement, l’auteure nous emmène dans les coulisses de la télé-réalité mais en plus, elle nous offre une histoire avec de l’humour et de l’amour…



Pour conclure, j’ai passé un très bon moment de détente. Une petite romance sympathique à lire.
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J'avais apprécié le premier tome de cette série, qui n'était pas sans me rappeler ces comédies romantiques américaines du type Ce que veulent les femmes. Et l'épilogue du premier tome laissait à penser que ce serait la patronne de Macie l'héroïne et pourtant on s'intéresse à Francesca...bon passons.



Après avoir fait beaucoup de mal à la carrière de Francesca (et de ses collaborateurs) Greg se retrouve à devoir partager les semaines à venir avec la photographe de mode ! En effet, il a décidé de changer son image et de s'inscrire à une émission de télé-réalité où des candidats se métamorphosent en princes et princesse et trouveraient l'amour.

Francesca est devenue coach suite à une manipulation d'un "ami" - qu'on déteste immédiatement - et se retrouve à faire un pari fou : elle doit faire gagner Greg.



Evidemment, c'est une romance chick-lit très cliché, donc évidemment, Francesca et Greg vont être attirés l'un par l'autre alors qu'ils feront tout pour le nier. Jusqu'à ce que l'ennemie jurée de Francesca vienne mettre son grain de sel dans l'histoire.



Une chose pourtant que j'ai beaucoup apprécié et l'inversion des rôles mise en place par l'auteur. En effet, ce n'est pas un prince sur son blanc destrier qui vient transformer la jeune fille en princesse, mais plutôt l'homme qui a besoin de conseil pour se "révéler" et en cela aidé par sa marraine :)



Et pourtant, bien que pleine de clichés et de facilités, on passe un bon moment avec cette histoire. Certes, elle est moins bonne que le premier tome, pourtant on passe un agréable moment en compagnie des personnages. On rit, sourit et s'émeut, et parfois on n'en demande pas plus :)
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