Alice, en rentrant de l’école, faisait maintenant ses devoirs en s’appliquant de son mieux. C’était austère. Fernande, malgré toute sa bonne volonté, ne parvenait pas à l’aider. La pauvre regrettait plus que jamais de n’avoir jamais appris à lire. Mais il était écrit qu’Alice avait de la chance. De façon improbable, elle découvrit l’attrait de la perfection, qui transforma son pensum quotidien en occasions renouvelées de satisfaction.