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L'iceberg de Hugo Girard
Pour être honnête, mettre mon parcours sur papier, je trouve ça un peu arrogant. C’est comme si je me donnais en exemple. Mais personne n’est obligé de me lire, hein? Mon but avec ce livre n’est pas de vous apprendre à devenir l’homme le plus fort du monde, parce que… tout le monde ne veut pas devenir l’homme le plus fort du monde. En fait, je vise plus large que ça. Mon but est d’influencer les gens en les aidant à optimiser leurs capacités physiques et mentales, parce que selon moi, la réussite dépend de soi et de sa propre volonté d’agir. J’ai découvert ça à travers mon parcours. J’ai découvert, j’ai compris, puis j’ai appliqué. Et j’applique toujours. Dans ce livre, je partage les différentes façons que j’ai développées pour me réaliser, pour me réinventer, pour vaincre des obstacles, pour relever les défis que je me suis lancés et me relever des coups durs que la vie a mis sur mon chemin. Tout le monde n’a pas besoin de ce qu’il contient et tout le monde n’a pas besoin d’Hugo Girard! Je le sais très bien. Mais je pense aussi qu’il y a des gens pour qui cette lecture pourrait être un déclencheur, et faire la différence entre renoncer et poursuivre. Dans L’iceberg, j’expose mes principes de vie et ce que j’appelle ma méthode. Ils sont simples, mais ils sont exigeants justement parce qu’ils paraissent simples. Les choses se complexifient quand vient le temps de les appliquer aujourd’hui, demain, après-demain, jour après jour, tous les jours. Mais selon moi, il n’y a qu’une façon d’avancer et c’est de travailler. Rien, absolument rien n’arrive sans effort. Sur papier, c’est tellement simple qu’on pourrait dire que c’est simpliste. Jusqu’à ce qu’on décide de se retrousser les manches pour de bon. Ce que je veux livrer ici, c’est le processus, la réflexion derrière toute cette « simplicité ». Il n’y a rien de sensationnaliste ni de croustillant dans les pages qui suivent, c’est seulement du concret, du pratique. De l’utile. Parce que même s’il n’est jamais trop tard pour apprendre et pour changer, avoir su plus jeune ce que j’ai découvert par moi-même au fil du temps m’aurait aidé à aller plus vite, plus loin. Il me reste encore beaucoup trop à accomplir, beaucoup trop à apprendre, pour faire le point. L’iceberg n’est donc pas mon autobiographie. Mais ça l’est quand même un peu. + Lire la suite |