Igal Shamir

fan du violoniste depuis longtemps, me voilà devenue fan du romancier !!! Un vrai jeu de piste à travers l'Europe, plein de surprises et de rebondissement. Encore un polar que l'on a du mal à poser avant la fin.

Heureusement, je viens de voir qu'il y en a un suivant, et pas certaine d'avoir la patience d'attendre jusqu'en septembre pour l'acheter, surtout que mon libraire m'a invité à une dédicace d'un autre auteur pour le 1er juin...
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Pourquoi Hithler a-t-il ordonné un soir, à l’issue d’un concert, l’exécution de Gustav Schultz ? violoniste célèbre dans l’armée allemande, celui-ci aurait été détenteur d’un prodigieux secret qui aurait provoqué la rage du Furher …

Paris de nos jours, ancien agent israélien, le violoniste Gal Knobel voit son passé le rattraper lorsqu’un mystérieux cardinal lui propose de découvrir ce qui a déclenché la colère d’Hitler.

Pourquoi Hitler a-t-il ordonné un soir, à l'issue d'un concert, l'exécution de Gustav Schultz ? Violoniste enrôlé dans l'armée allemande, celui-ci aurait été détenteur d'un prodigieux secret qui aurait provoqué la rage du Führer.

Ancien agent israélien spécialisé dans la traque des criminels nazis, le violoniste Gal Knobel devra parcourir l'Europe au péril de sa vie, aidé d'un mystérieux cardinal , pour découvrir ce qui a déclenché la colère d'Hitler. Du Vatican à Venise, Paris et Genève, du XVIIe siècle à notre époque, en passant par la dernière guerre , l'auteur nous fait découvrir les dessous et les enjeux de la création musicale .

Les mélomanes et les fans de romans historiques se régaleront avec cette traque haletante des secrets enfouis dans les sous-sols du Vatican,et de ceux qui sont chargés de les protéger.

L 'auteur : Violoniste de renommée internationale, Igal Shamir a été pilote dans l'armée israélienne. Avec le Violon d'Hitler, il signe un thriller palpitant qui mêle à l'histoire la plus sombre du XXe siècle, le mystère de la création artistique.

Lorsque Gustav Schultz violoniste engagé dans la Wehrmacht, qui a été envoyée à Paris en cette fin d'année 1940 est requis pour jouer lors d'une soirée organisée pour les hauts dignitaires allemands, il ignore où et devant qui il devra se produire.

C'est en fait dans un château de la Nièvre réquisitionné par les allemands qu'il fera office de soliste devant un parterre des plus hautes autorités et notamment à sa très grande stupéfaction… Hitler lui-même.

Mais si le concert a été un succès au-delà de toutes les espérances de Gustav Schultz, la soirée va très vite virer au drame pour lui et Hitler le fera exécuter immédiatement.

Mais pourquoi ?

50 ans plus tard à l'issue d'un concert, Gal Knobel violoniste de rénommée internationale et ancien agent israélien ayant notamment aidé les services dans la traque des plus grands criminels nazis, est accosté par un cardinal, qui lorsqu'il était enfant vivant dans ce château de la Nièvre en 1940 a assisté caché derrière les rideaux a toute la scène.

Et depuis 50 ans, il est hanté par cette terrible soirée.

Il va donc demander à Gal Knobel d'enquêter sur ce qui s'est passé, et pourquoi Hitler n'a pas hésité à entrer dans une furie telle qu'il a fait perdre à l'Allemagne toute chance d'une signature de paix entre son pays et les Etats-Unis dont un émissaire était présent lors de cette funeste soirée.

L'enquête de Gal Knobel va révéler bien des surprises et l‘envoyer jusque sur les traces d'un musicien juif de Venise mystérieusement disparu au 17ème siècle.

Mais, il semblerait que des forces bien sombres se mettent en travers de la route de Gal, et que son enquête ne réveille un passé obscur liant le Vatican et les nazis en fuite à la fin de la guerre, à moins que ce passé ne soit en réalité encore bien actuel.

Un bon roman même si on sait d'avance qui sont les gentils qui vont gagner et les méchants qui vont perdre, à moins que….

Avec "Le violon d'Hitler", je vous propose cette fois-ci un roman qui m'a fait penser à ceux de Dan Brown (ce qui est un compliment tant je les dévore). C'est pourtant Igal Shamir, violoniste connu dans le monde entier, ancien pilote de l'armée israélienne, qui tient la plume avec une connaissance remarquable du sujet. Ce petit bijou parle en effet de musique, de lutte entre deux religions et du nazisme.

Au fil des pages, on traverse tant les continents que les siècles à la recherche de ce qui a mis Hitler en furie, lors d'une soirée passée dans un château français. Pourquoi a-t-il exigé l'exécution de ce violoniste militaire allemand ? Tout cela serait resté dans l'oubli si la scène n'avait été vue par le jeune châtelain, caché derrière les rideaux. C'est évènement s'est gravé dans sa mémoire et le tourmente depuis lors. En poste au Vatican, le petit garçon devenu cardinal va poursuivre sa quête malgré les attaques de ses pires adversaires qu'il croise tous les jours autour de lui. C'est avec un violoniste internationalement connu, ancien agent israélien spécialisé dans la trac des nazis ayant trouvé refuge à l'étranger à la fin de la guerre, que les choses vont s'accélérer.

Suspens et rebondissements sont là, tout au long du roman, jusqu'à une fin pas si évidente que cela...

Emballée ,j'ai été emballée par ce livre!!! Nous naviguons dans la musique baroque ,nous traversons les époques allant de l'Allemagne nazie,repassant par l'Italie du XVIème siècle et nous reprojetant de nos jours....Tout ça pour trouver pourquoi un jeune violoniste engagé dans l'armée allemande ,ami d'un gradé au sein de la Wehrmarcht a été fusillé (par ce même ami d'ailleurs...) après avoir fait un concert et après avoir montré des papiers ( conservés dans une sacoche), papiers qui mettent Hitler dans un état de rage épouvantable...





Cette recherche est confiée à Gal Knobel par un cardinal français qui,à 10 ans ,avait assisté à cette scène incroyable ,ce qui l'avait incité à faire ses propres recherches sur les anciens nazis protégés et envoyés dans d'autres pays par des membres puissants de l'Eglise (il y est fait allusion d'ailleurs à Pie XII,ce qui fait bizarre quand on songe à la polémique actuelle ...)

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Pourquoi Gal Knobel? Et bien parce qu'il est violoniste et surtout ancien agent chargé de la traque des nazis ,avec donc un réseau lui permettant d'aller plus loin dans ses recherches...Et coincidence extraordinaire il a ,à son repertoire,des oeuvres de Salomone Rossi ,tout comme Gustav Schultz qui a été tué pour avoir fait aussi des recherches et abouti à des conclusions manifestement top secret

Suite sur mon blog
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Thriller plaisant à lire. Mais non ce qui se fait de mieux en la matière.

Et voilà le 2ème volet des aventures du violoniste Gal Knobel dont on a fait la connaissance dans le Violon d'Hitler.Violoniste et ancien agent chargé de la traque des anciens nazis.



Une fois de plus nous démarrons très vite dans l'action :Gal Knobel est sur scène devant un parterre de mélomanes.Il a pratiquement fini son concert ...Dans l'ombre,dans les coulisses ,un homme l'épie tout en l'écoutant...Pris par les sons que produit le violon de Gal il recule et ne peut se résoudre à exécuter ce pour quoi il est là:tuer le musicien...Qu'à cela ne tienne ,il l'attendra dans sa loge...



Au même moment un vieil homme arrive au théâtre,résolu à voir le musicien...Le tueur et lui vont se retrouver au même endroit et bien sûr ,il y en a un de trop...



Quand Gal arrive dans sa loge il n'a que le temps de recueillir de la main même du vieillard un papier (avec ces mots :Solo et nudo(niche) resto prigion d'un cor di vertu armato soit: Seul et nu (niche) je reste prisonnier d'un corps armé de vertu" (22ème vers du 42ème poème de Michel -Ange) et entendre dans un dernier souffle:"le secret,le secret du violon".



Le nom de cet homme:Vittorio Goffriller,descendant d'une lignée de grands luthiers,Matteo et Francisco ,contemporains de Stradivari (..Et c'est ainsi qu'on se retrouve sur le terrain familier d'Igal Shamir)



Et c'est le début d'une course folle à la recherche d'un trésor dont le violon de David serait la pièce maitresse car révélatrice du secret de fabrication des Stradivarius plus tard...Énigme donc écrite sur le fameux bout de papier remis par le vieillard assassiné ,fille de cet homme très belle et elle même luthière dont Gal ne tarde pas pas à se sentir attiré (ce que la lectrice romantique que je suis lui souhaite car ce qui s'est passé dans Le violon d'Hitler a laissé bien des cicatrices) ,de nouveau l'intervention du Vatican (décidément il cache bien des secrets au plus profond de ses archives..) ,Mafia Italienne ,Gouvernement Russe,Israéliens extremistes,CIA ...Bref cette fois tout le monde s'en mêle pour des raisons plus ou moins valables,Gal est obligé de courir de Paris à Venise ou encore à Rome pour finir en Israel



Mais quel est donc ce trésor tant convoité? Et où donc peut il être s'il existe? Pour ça il faut remonter en Egypte ancienne avec des récits ayant trait à la sortie du peuple hébreu d'Egypte...Et c'est avec une compilation des recherches effectuées par le vieux luthier Vénitien sur tout le pouvoir du son des instruments dont celui des Stradivarius que Gal va commencer ses recherches avec lui,un seul but en tête ,retrouver le violon de David et enfin connaitre le pourquoi des sons extraordinaires jamais égalés même de nos jours par ces violons. exceptionnels...



Recherches semées d'embuches,faites de dangers car toutes les organisations sont là pour lui créer quelques problèmes..



Recherche aussi du secret de l'éternité par l'intermédiaire d'un vers de David,d'oeuvres de Michel Ange....Quels points communs entre les Stradivarius et les fresques de la Chapelle Sixtine?



Alors qu'en ai je pensé? J'ai en fait apprécié dans son ensemble car j'ai été baignée dans ce monde merveilleux de la musique et des instruments...Les faits relatifs à l'Antiquité ( David jouait bien de la harpe ,ainsi qu'il est rappelé dans le livre..Ouf:pas d'entorse véritable au récit biblique ..) ,Michel Ange dont j'ai découvert qu'il était aussi poète,les courses poursuites haletantes,le secret du son des Stradivarius: va t on enfin le connaitre? le personnage de plus en plus attachant de Gal ,bref tout ça à contribué à mon plaisir..



Mais peut être y a t il un peu trop de protagonistes en jeu ,ce qui ne rend pas toujours la lecture aisée....
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Un avis mitigé sur ce roman. L'intrigue est plutôt bien amenée: lors d'une soirée dans un château français, un violoniste allemand interprète quelques morceaux. A l'issue du concert, il adresse un requête à un SS; Hitler étant présent il est mis au courant et il entre dans un fureur terrible qui le mène à ordonner l'exécution immédiate du violoniste. Autant dire que le mystère est total. 50 ans plus tard, deux personnes essaient de comprendre ce qu'il s'est passé. Il y a beaucoup de mystère, on comprend qu'il y est question de l'étrange disparition d'un musicien du XVIIème siècle. Les deux enquêteurs improvisés remuent des informations que certains, notamment au Vatican ne souhaitent pas voir ressortir. Bref, tous les ingrédients sont là. Et pourtant, j'ai été un peu déçue par la fin qui fait un peu pshiit je trouve: les deux dernières preuves tant recherchées tombent un peu comme ça entre les mains de l'un des protagonistes et les révélations qui y figurent ne m'ont pas paru si extravagantes.

Donc, une lecture pas désagréable, mais pas transcendante non plus.

Igal Shamir produit là le second opus des aventures de Igal Shamir. Toujours agréable et plaisant à lire. Mais cela manque un peu de densité par rapport aux maîtres que sont Robert Ludlum ou Tom Clancy, pour ne citer qu'eux...

C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé le violoniste Gal Knobel, héros du précédent roman d’Igal Shamir.



Dans ce nouvel opus, l’auteur entraine son héros à Venise, le Vatican, Milan ainsi qu’en Israel sur les traces du violon du roi David. En effet, ce dernier serait détenteur d’un fabuleux secret.



Quel est ce secret ? Le mieux est de lire, de dévorer, de toute urgence, ce passionnant polar.

L’intrigue est bien ficelée, voire même tordue à souhait. L’auteur distille, sème des indices au compte goutte afin de tenir en haleine ses lecteurs jusqu’à la dernière ligne du roman.



Un petit conseil. Il est préférable de lire Le Violon d’Hitler avant Via Vaticana car l’auteur y fait, constamment, de nombreuses allusions, et, j’ai, aussi, l’impression que Via Vaticana est en quelque sorte une suite du Violon d’Hitler.

D’après moi, certains faits, certains comportement du héros ne peuvent être compris que si l’on a lu Le Violon d’Hitler.

C’est un polar qui m’a beaucoup plu même si il touche un sujet sombre de l’histoire de l’Allemagne contemporaine : le nazisme.

L’action débute en plein cœur de la 2eme guerre mondiale, mais, se déroule surtout 50 ans après les faits, et, l’on s’apperçoit que, malheureusement, le nazisme n’a pas disparu de la circulation avec le suicide d’Hitler et la chute de son régime. Il existe toujours grâce à des opuscules, des sociétés secrétes implantés un peu partout, y compris au Vatican (le Vatican a même a flirté avec le régime hitlérien, et, a aidé certains nazis à s’enfuir après la guerre).

En fait, tout tourne autour d’un violoniste allemand assassiné sur l’ordre d’Hitler. Celui çi aurait découvert un incroyable secret, que de nombreuses personnes cherchent à enterrer pour diverses raisons, à commencer par Hitler et le Vatican.

C’est ce que va découvrir, 50 ans après les faits, le héros, violoniste, et, surtout ancien agent secret israélien, en s’interessant aux liens unissant ce violoniste à Monteverdi et à, un violoniste vénitien d’origine juive, Salomon Rossi.

Appréciant énormément la musique classique, ce thriller m’a captivé tout au long de sa lecture, même si il présente un Claudio Monteverdi sous les traits d’un «véritable escroc », comme quelqu’un avide de gloire, de reconnaissance, utilisant, ce jeune violoniste Salomon Rossi, comme nègre, voire même comme esclave, à des fins personnels, et, le faisant trimer à composer des œuvres que lui-même était incapable de composer … …

Pour la petite histoire, l’auteur Igal Shamir est lui-même violoniste virtuose ainsi que ancien agent des Services Secrets israélien. Il sait de quoi il parle quand il s’agit de retrouver les anciens nazis, et, lorsque la musique reprend le dessus, il laisse transparaitre l’émotion que peut ressentir un muscisien tout à son art, tout en essayant de transmettre la passion de la musique à ses lecteurs. En gros, on peut dire que le héros, Gal Knobel, est tout simplement l’auteur …

Excellent roman policier que je recommande vivement.

Livre coup de cœur, du vrai ! Un méga super génial roman d’espionnage !

Un roman d’espionnage avec un violoniste ? J’achète sans me poser des questions !

De quoi ça parle ? « Igal Shamir a plusieurs cordes à son arc. Les 4 premières sont celles de son violon : il est en effet violoniste de concert. Peut-être avez-vous vu les affiches annonçant ses récitals, à Londres, Berlin, Vienne, Milan ou Paris…

Il possède une cinquième corde, et qui joue d’une autre musique : celle du renseignement, de l’espionnage, comme disent les journalistes. »

J'ai adoré, kiffé, surkiffé ! Ce roman est une claque !

La plume est délicieuse, magnifique. Jamais je n'avais ressenti un besoin aussi omniprésent de surligner des passages. Le style est délicieux, les répliques dignes d'Audiard (je parle aux cinéphiles).

L'histoire : comment les agences de renseignements se débrouillent pour avoir des renseignements ? En plaçant des pions passe partout ! Quelqu'un d'aussi attirant qu'inoffensif qu'un violoniste (un peu fouineur).

A partir des petites anecdotes de la double vie de cet espion violoniste, on commence à tisser une trame, on l'accompagne en mission et on subit avec lui les conséquences.

Ici il n'y a pas de grand méchant mégalomane comme dans un James Bond, mais des hommes de l'ombre, des Etats, des intérêts politico-commerciaux. En revanche, comme dans un bon James Bond, on droit aux gadgets (un micro appareil photo, un émetteur GPS de l'époque !) et des femmes (pas très) fatales.

Le suspense réside à voir comment notre espion va se débrouiller pour obtenir des informations, parvenir à ses fins, alors qu'il possède des informations très vagues.

Ce récit est autobiographique, ça lui donne un autre aura, c'est dingue ! J'ai aimé la place de la musique comme les aventures, les questionnements existentiels et la nonchalance du protagoniste. Mais par dessus tout : son sens de la répartie m'a subjuguée !

Le livre est sorti en 1971. Shamir a écrit 2 autres bouquins... 30 ans plus tard ! Pour une fois que je trouve un auteur qui me touche, plouf ! il ne fait que 3 livres, pff !!! La vie n'est pas juste !! Les 2 autres : Le violon d'Hitler et Via Vaticana sont déjà dans ma PAL.

L'auteur est encore vivant, si vous le connaissez, dites-lui que je suis fan !!!!!

Petite anecdote ou l'info qui ne sert à rien : aussi incroyable que cela puisse paraître, ce livre a inspiré (très, très, très, très librement) l'excellent film "Le grand blond avec une chaussure noire". J'aurais préféré un film qui reprend le bouquin !


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En lisant le résumé du livre, à la bibliothèque, je me suis dit que ce livre avait tout pour me plaire: des personnages musiciens, un mystère et une enquête qui nous entraîne dans l'Histoire et à travers l'Europe. Sauf qu'il y a plusieurs choses qui ont fait que je n'ai finalement pas accroché.



Premièrement, l'intrigue. L'idée de base était bien et ça aurait pu donner une histoire vraiment chouette. Sauf que ça traîne en longueur et on a l'impression de ne jamais apprendre de nouvelles choses. Très honnêtement, j'avais l'impression que Gal découvrait toujours la même chose, peut-être à un détail près, et ça n'avançait pas. Je suis allée au bout de ce livre uniquement pour connaître le pourquoi du comment (ou le comment du pourquoi, c'est vous qui voyiez) et j'ai été carrément déçue. Ce n'était pas, pour moi, un secret à en faire vaciller l'histoire.



Deuxièmement, les personnages. Je n'ai jamais été aussi peu emballée par des personnages dans un livre. Gal Knobel est plat. Je n'ai pas franchement d'autre mot. Je l'ai trouvé tellement mou que dans ma tête il ressemblait à l'inspecteur Derrick (et autant vous dire que c'est pas une flèche). Pareil pour les autres personnages d'ailleurs. J'avais l'impression qu'ils n'avaient aucune émotion.



Et enfin, le style d'écriture. Je ne sais pas si c'est le fait que le récit ait été écrit au présent ou simplement le style de l'auteur mais je n'ai vraiment pas aimé le style du tout. Comme pour les personnages, c'était plat. Ça manquait d'énergie et de quelque chose pour nous faire accrocher à l'histoire. Même quand l'auteur, violoniste lui-même, écrivait à propos de la musique. Etant musicienne moi-même, ça aurait du me parler, m'entraîner. Mais non.



Même si on sent que l'auteur a fait des recherches pour faire son intrigue et les étapes de l'enquête, j'ai trouvé que c'était quand même une bien pâle copie des livres de Dan Brown (oui, c'est pas facile de passer après Dan Brown, faut bien reconnaître). Il n'a pas su insuffler dans son livre la passion et les détails nécessaires. Dommage...
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Aurait pu être distrayant, malheureusement l'auteur véhicule plusieurs poncifs historiques et colporte de la désinformation historique. La collaboration pleine et entière du Vatican avec les Nazi, le soutien personnel de Pie XII à Hitler, les nazi à deux doigts d'avoir la bombe atomique. Faux, faux et archi-faux. Vu le titre du second roman de Mr Shamir il va être encore question du Vatican et sans doute pas en bien. C'est dommage. Mr Shamir devrait rester dans son domaine de compétence : la musique.

Gal Knobel, violoniste et agent secret, lancé à la recherche du secret de fabrication des Stradivarius, se trouve mêlé, une fois de plus, à un imbroglio que seule l’imagination d’Igal Shamir saurait concevoir et son talent d’exposer de manière limpide.



A l’image de son créateur, Gal Knobel est d’abord un homme multiple, curieux et prêt à I’ imprévisible. Parce que tout de même découvrir, à la fin de son récital, dans sa loge, le cadavre de sieur Goffriller, le descendant des célèbres facteurs de violon, en scotcherait plus d’un. Que nenni ! Et voilà notre héros sur la piste des Stradivarius. S’en mêle la Mafia, normal nous sommes en Italie. Mais que vient faire dans cette histoire le Vatican ? Et les services secrets israéliens?



Paris, Jérusalem, Rome, Venise, Naples…voilà un thriller tour-opérateur reposant sur une documentation solide, un scénario ficelé et une écriture dynamique.



Je regretterai pour ma part la monomanie de l’auteur qui fait, avec le plus grand sérieux, du ̏Vatican, un repaire de sympathisants du Troisième



A propos d’Igal Shamir : né en Palestine, pilote de chasse, agent secret, il est un violoniste de renommée internationale.


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Un soir de 1940, un violoniste de la Wehrmacht est invité à animer une soirée spéciale avec Hitler et un émissaire américain. Enhardi par le succès de son récital, le musicien fait une demande au Fürer qui, fou de rage, le fait exécuter.



Un enfant est témoin de la scène. Devenu adulte et cardinal au Vatican, il n’a rien oublié et veut percer le mystère. Lorsqu’il écoute le violoniste Gal Knobel jouer la même mélodie, il lui demande de l’aider à découvrir la vérité, car il sait que cet ancien agent du Mossad a les moyens de retrouver les survivants du drame.



J’avais lu du même auteur « La cinquième corde » et j’avais beaucoup aimé les aventures de ce violoniste-espion. Une vingtaine d’années plus tard, l’auteur a pris la plume pour nous raconter une fiction tirée des faits réels et de son vécu.



C’est ainsi que se mêlent plusieurs choses dans cette intrigue complexe comme une poupée russe. Ou comment la quête sur l’assassinat d’un violoniste pendant l’Occupation va dévoiler la disparition inquiétante d’un autre violoniste quelques siècles plus tôt, et percer un réseau d’anciens nazis protégés par une filière du Vatican.



Ce roman parle d’une enquête historique, une sorte de chasse au trésor à la « Da Vinci Code », mais avec un fond musical et violonistique. C’est d’ailleurs ce que j’ai apprécié le plus dans ma lecture : les références et surtout le ressenti du héros, Gal Knobel, son rapport à la musique et sa relation avec ces musiciens assassinés. On a droit aussi à une chasse aux nazis avec des méthodes musclées et une fin qui nous laisse présager d’une suite. La suite existe, d’ailleurs, et je vous conseille vivement de la lire dans la foulée : Via Vaticana
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De l'histoire, de la musique, des voyages à travers le temps et l'espace pour retrouver la trace de deux violonistes dont l'issue finale fut violente et fatale.

La musique, et l'art en général, peuvent-ils fonder une civilisation ? Voilà la question posée dans ce thriller historique par Igal Shamir, violoniste virtuose et ancien pilote de l'armée israélienne. Ou comment un musicien du XVIIè siècle aurait pu faire trembler le nazisme sur ses bases. Original.
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ouf !!!!! terminé !!!!! et bien je m'y suis accroché pas par envie mais par devoir ;-) ;-)

pour ma part je n'ai pas aimé, une écriture laborieuse, une énigme tirée par les cheveux et à la fin on se dit, ou plutôt je me dis, tout ça pour ça !!!!

bref bien évidemment, personnellement, je ne recommande pas