C'est la malédiction de la richesse, pensa Fredrik. La première génération gagne de l'argent, la deuxième gère la fortune amassée et la troisième la dépense. Rien d'étonnant, au fond. C'est difficile d'apprécier à sa juste valeur ce qu'on n'a pas eu besoin d'acquérir à la sueur de son front.