Aussi loin qu'il [Trokic] se souvienne, son pays avait toujours été un endroit sûr par rapport au reste du monde. Quand il était petit, sa mère verrouillait rarement au moment de partir faire les courses, et pourtant ils habitaient dans un ghetto. La confiance entre les Danois était alors relativement bonne. Mais cette certitude s'était émoussée, chez lui comme chez les autres.