- La mort a pris ma petite Sarah. Son corps s'est mélangé à la terre, mais son âme est restée libre, elle s'est envolée au pays des ancêtres.
Et pointant l'endroit du cœur sur sa chemise, il s'est donné un coup de poing violent, comme pour se faire mal, comme pour empêcher les larmes qui voilaient ses yeux de couler. Et il a prononcé ces mots :
- Elle vit ici, pour toujours.