Kalgan était donc, à la satisfaction évidente de sa clientèle, perpétuellement au service des dandys efféminés de la cour impériale et de leurs dames flamboyantes et lascives ; des rudes seigneurs de la guerre qui dirigeaient d'une main de fer les mondes qu'ils avaient conquis par le sang et de leurs hétaïres dévergondées et lubriques ; des hommes d'affaire gras et prospères de la Fondation et de leurs maîtresses luxurieuses et perverses.
Aucune discrimination, car tous étaient abondamment pourvus d'argent.