Une main en coupole sous le menton, l’autre lestée d’une cigarette et le regard venimeux, tu siffles que c’est de ma faute si tu en es arrivée là. L’air se fige. L’espace devient pierre, le café amer. Tu écrases ta cigarette à côté du cendrier, te lèves. La porte claque. Je suis sonnée.