« Quatre jours déjà que je me promène dans Rangoun.
Je traîne dans des quartiers où je ne suis jamais allée, arpente des rues dont j’ignorais jusqu’à l’existence , marche, marche à en perdre la pensée.
Les rues sont pleines de vie.
Partout des gens marchent , se parlent , rient .
Pourquoi donnent -ils l’impression d’être plus vivants que les Parisiens ? »