...il n'est personne en ce monde que n'habite quelque regret à propos d'un disparu et qui ne se soit dit : ah ! s'il pouvait revenir une fois, une seule fois, que je l'embrasse ( mais quelque chose m'empêche alors de l'embrasser); même si cela ne peut jamais advenir ni adviendra jamais dans les siècles des siècles et c'est là une des plus grandes tristesses en ce bas monde, tristesse qui continuera de l'envelopper comme la brume jusqu'à son extintion.