Je jetais un oeil dans les livres de morale, qui ne parlaient que de la vanité des choses de ce monde, et c'est pourquoi je les haïssais. Ce qui m'attirait, c'étaient les jeux, la liberté des champs, le soleil, le vent et l'eau, les gamins. Le monde n'était pas vain, mais d'une beauté inouïe et plein de joie.