« Non, pensa Arcade, il n’est pas riche, ce pays, il ne frappe ni par la fertilité de son sol, ni par la diligence de ses habitants; il ne doit pas, non, il ne doit pas rester dans cet état, des réformes sont indispensables…mais comment les réaliser, comment s’y prendre?…»
Ainsi méditait-il… et tandis qu’il méditait, le printemps, lui, s’en donnait à cœur joie.