Je devrais te remercier, en fait. J'apprécie pleinement la liberté et l'amour parce que tu m'en as privée. J'en suis assoiffée, Atara. Assoiffée. Et tu n'as rien qui puisse me contraindre à renoncer à tout ça. Je ne me sens plus redevable de quoi que ce soit. Tu voilais que je revienne ? Me voici. J'espère que tu apprécies ta nouvelle fille.