Depuis que j'avais également un animal domestique, du moins une créature qui s'en approchait, je me sentais plus charitable envers les propriétaires privés de leurs compagnons à quatre pattes. Il y avait peut-être matière à créer une association qui porterait un nom comme "Jamais sans ma moitié à poils !" et qui aurait le poids nécessaire pour modifier durablement le manuel du savoir-vivre en société à la section traitant des bals.