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Citations de J. K. Rowling (4433)


J. K. Rowling
«Il est impossible de vivre sans ne jamais échouer, sauf si tu fais tellement attention, que tu ne vis pas du tout. Dans ce cas, tu échoues par défaut.
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" - Pourquoi faut-il qu'elles se promènent en troupeaux? dit Harry à Ron en voyant passer devant eux une douzaine de filles qui pouffaient de rire. Comment on fait pour en prendre une à part et lui demander si elle veut venir au bal?
- Essaie avec un lasso, suggéra Ron."
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Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? Tu crois que nous ne nous souvenons pas d'eux plus clairement que jamais lorsque nous sommes dans la détresse ? Ton père vit en toi, Harry, et il se montre davantage lorsque tu as besoin de lui. Sinon, comment aurais-tu pu créer ce Patronus en particulier ? Cornedrue est revenu la nuit dernière.
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" E pour Effort Exceptionnel, dit George. D'ailleurs, j'ai toujours pensé que Fred et moi aurions dû avoir un E dans toutes les matières parce que le simple fait de nous présenter aux examens constituait en soi un effort exceptionnel."
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J'espère que vous êtes contents de vous, on aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher.
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- Eh voilà, mon garçon, dit-il. La voie 9 est ici, la voie 10 juste à côté. J'imagine que la tienne doit se trouver quelque part entre les deux, mais j'ai bien peur qu'elle ne soit pas encore construite.
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La bravoure n'excuse pas la bêtise.
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C’était Ginny. Ron s’immobilisa brusquement mais Hermione le prit par le bras et l’entraîna avec elle en haut des marches. Un peu inquiet, Harry suivit Ginny dans sa chambre.
Il n’y était encore jamais entré. Elle était petite mais lumineuse. Une grande affiche des Bizarr’ Sisters ornait l’un des murs et une image de Gwenog Jones, capitaine de l’équipe exclusivement féminine des Harpies de Holyhead, était accrochée au mur d’en face. Il y avait un bureau devant la fenêtre ouverte qui donnait sur le verger où, l’année précédente, Ginny et lui avaient joué au Quidditch en double, avec Ron et Hermione. L’endroit était maintenant occupé par un grand chapiteau d’un blanc nacré. L’étendard doré qui flottait à son sommet était au niveau de la fenêtre.
Ginny regarda Harry dans les yeux, prit une profonde inspiration et dit :
- Joyeux anniversaire.
- Ouais… merci.
Elle le fixait sans ciller. Lui, en revanche, avait du mal à soutenir son regard. C’était comme s’il avait une lueur éclatante devant les yeux.
- Jolie vue, dit-il d’une voix faible en montrant la fenêtre.
Elle ne prêta aucune attention à sa remarque et il ne pouvait lui en vouloir.
- Je ne savais pas quoi t’offrir, dit-elle.
- Tu n’es pas obligée de me faire de cadeau.
Cette fois encore, elle ignora sa réponse.
- Je ne savais pas ce qui te serait utile. Rien de trop grand parce que tu ne pourrais pas l’emporter avec toi.
Il se risqua à lui jeter un regard. Elle n’avait pas les larmes aux yeux. C’était l’une des nombreuses et merveilleuses qualités de Ginny, elle pleurait rarement. Souvent, il se disait que le fait d’avoir six frères avait dû l’endurcir.
Elle s’avança d’un pas vers lui.
- J’ai donc eu l’idée de t’offrir quelque chose pour que tu te souviennes de moi, au cas, par exemple, où tu rencontrerais une Vélane pendant que tu seras parti faire je ne sais quoi.
- Pour être franc, je ne crois pas que j’aurai beaucoup d’occasions d’inviter des filles à dîner, là où je serai.
- C’est l’espoir que j’avais, murmura-t-elle.
Elle l’embrassa alors comme jamais elle ne l’avait embrassé auparavant, et Harry lui rendit son baiser, se laissant envahir par une délicieuse sensation d’oubli que jamais le whisky Pur Feu n’aurait pu lui procurer. La seule réalité qui comptait au monde, c’était elle. Ginny. Il la sentait contre lui, une main au creux de son dos, l’autre caressant ses longs cheveux au parfum suave.
Derrière eux, la porte s’ouvrit soudain à la volée. Ils sursautèrent, s’écartant l’un de l’autre.
- Oh, dit Ron, fort à propos. Désolé.
- Ron !
Hermione était juste derrière lui, légèrement essoufflée. Il y eut un silence tendu puis, d’une petite voix, Ginny lança.
- En tout cas, joyeux anniversaire, Harry.

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Lors du banquet de début d'année, Harry avait senti que le professeur Rogue ne l'aimait pas beaucoup. A la fin du premier cours de potions, il se rendit compte qu'il s'était trompé : en réalité, Rogue le haïssait.
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Il est nécessaire de comprendre la réalité avant de pouvoir l'accepter et seule l'acceptation de la réalité peut permettre la guérison.
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S'ils sont d'accord, renvoie-moi Coq avec ta réponse illico presto et on viendra te chercher à cinq heures de l'après-midi dimanche prochain. S'ils ne sont pas d'accord, renvoie-moi Coq illico presto et on viendra quand même te chercher à cinq heures de l'après-midi dimanche prochain.
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- Je suis profondément navrée d'avoir à vous contredire, Minerva, mais si vous lisez bien mon petit mot, vous verrez que les résultats de Harry dans ma classe ont été très médiocres...
- J'aurais du me montrer plus explicite, dit le professeur McGonagall en se tournant enfin vers Ombrage pour la regarder droit dans les yeux. Il a obtenu des notes élevées aux examens de Défense contre les forces du Mal chaque fois qu'il a eu affaire à un professeur compétent.
Le sourire du professeur Ombrage s'effaça aussi soudainement qu'une ampoule qui grille.
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- C’est votre exemplaire du Manuel avancé de préparation des potions, n’est-ce pas, Potter ?
- Oui, répondit Harry, qui n’avait pas encore repris haleine.
- Vous en êtes bien sûr, Potter ?
- Oui, affirma Harry, avec une nuance de défi.
- C’est l’exemplaire que vous avez acheté chez Fleury et Bott ?
- Oui, répéta Harry d’un ton ferme.
- Dans ce cas, pourquoi, demanda Rogue, le nom de Roonil Wazlib est-il inscrit à l’intérieur de la couverture ?
Harry eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre.
- C’est mon surnom, expliqua-t-il.
- Votre surnom, répéta Rogue.
- Oui… c’est comme ça que m’appellent mes amis, dit Harry.
- Je sais ce qu’est un surnom, répliqua Rogue.
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Par un étrange phénomène, plus on redoute un événement, plus le temps qui nous en sépare prend un malin plaisir à passer le plus rapidement possible, alors qu'on donnerait n'importe quoi pour qu'il ralentisse.
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Harry sentit comme une onde glacée à la surface de sa peau. Il aurait voulu hurler dans la nuit, il aurait voulu que Ginny sache qu'il était là, qu'elle sache où il allait. Il aurait voulu qu'on l'empêche de continuer, qu'on le ramène en arrière, qu'on le renvoie chez lui...
Mais il ÉTAIT chez lui. Poudlard était le premier foyer qu'il ait connu, le plus accueillant. Lui, Voldemort et Rogue, les garçons abandonnés, avaient tous trouvé un foyer ici...
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Si tu veux savoir ce que vaut un homme, regarde donc comment il traite ses inférieurs, pas ses égaux.
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Il n'y a pas de bien ni de mal, il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher...
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Voyez-vous, Monsieur le Ministre, il y a bien des sujets sur lesquels je suis en désaccord avec Dumbledore... Mais il faut lui reconnaître qu'il ne manque pas de style.
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Severus Rogue : Qu'est-ce que votre tête pouvait bien faire à Pré-au-lard, Potter ? Votre tête n'a pas le droit de se rendre là-bas. Aucune partie de votre corps n'a reçu l'autorisation d'aller à Pré-au-lard.
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Aux temps anciens lorsque j’étais tout neuf
Et que Poudlard sortait à pein’ de l’œuf
Les fondateurs de notre noble école
De l’unité avaient fait leur symbole
Rassemblés par la même passion
Ils avaient tous les quatre l’ambition
De répandre leur savoir à la ronde
Dans l’école la plus belle du monde
« Ensemble bâtissons et instruisons ! »
Décidèrent les quatre compagnons
Sans jamais se douter qu’un jour viendrait
Où la destinée les séparerait.

Toujours amis à la vie à la mort
Tels étaient Serpentard et Gryffondor
Toujours amies jusqu’à leur dernier souffle
Tell’s étaient aussi Serdaigle et Poufsouffle.
Comment alors peut-on s’imaginer
Que pareille amitié vienne à sombrer ?
J’en fus témoin et je peux de mémoire
Vous raconter la très pénible histoire.
Serpentard disait : « Il faut enseigner
Aux descendants des plus nobles lignées »,
Serdaigle disait : « Donnons la culture
À ceux qui ont l’intelligence sûre »,
Gryffondor disait : « Tout apprentissage
Ira d’abord aux enfants du courage »,
Poufssoufle disait : « Je veux l’équité
Tous mes élèv’s sont à égalité. »

Lorsqu’apparur’nt ces quelques divergences
Elles n’eur’nt d’abord aucune conséquence
Car chacun ayant sa propre maison
Pouvait enseigner selon sa façon
Et choisir des disciples à sa mesure.
Ainsi Serpentard voulait un sang pur
Chez les sorciers de son académie
Et qu’ils aient comme lui ruse et rouerie.
Seuls les esprits parmi les plus sagaces
Pouvaient de Serdaigle entrer dans la classe
Tandis que les plus brav’s des tromp’-la-mort
Allaient tous chez le hardi Gryffondor.
La bonn’ Poufsouffl’ prenait ceux qui restaient
Pour leur enseigner tout ce qu’ell’ savait.
Ainsi les maisons et leurs fondateurs
Connurent de l’amitié la valeur.
Poudlard vécut alors en harmonie
De longues années libres de soucis.

Mais parmi nous la discorde grandit
Nourrie de nos peurs et de nos folies.
Les maisons qui comme quatre piliers
Soutenaient notre école et ses alliés
S’opposèrent bientôt à grand fracas
Chacune voulant imposer sa loi.
Il fut un temps où l’école parut
Tout près de sa fin, à jamais perdue.
Ce n’étaient partout que duels et conflits
Les amis dressés contre les amis
Si bien qu’un matin le vieux Serpentard
Estima venue l’heur’ de son départ.
Et bien que l’on vît cesser les combats
Il laissait nos cœurs en grand désarroi.
Et depuis que les quatre fondateurs
Furent réduits à trois pour leur malheur
Jamais plus les maisons ne fur’nt unies
Comme ell’s l’étaient au début de leur vie.

Maintenant le Choixpeau magique est là
Et vous connaissez tous le résultat :
Je vous répartis dans les quatr’ maisons
Puisque l’on ma confié cette mission.
Mais cette année je vais en dir’ plus long
Ouvrez bien vos oreilles à ma chanson :
Bien que condamné à vous séparer
Je ne peux pas m’empêcher de douter
Il me faut accomplir ma destinée
Qui est de vous répartir chaque année
Mais je crains que ce devoir aujourd'hui
N’entraîne cette fin qui m’horrifie
Voyez les dangers, lisez les présages
Que nous montrent l’histoire et ses ravages
Car notre Poudlard est en grand péril
Devant des forces puissantes et hostiles
Et nous devons tous nous unir en elle
Pour échapper à la chute mortelle
Soyez avertis et prenez conscience
La répartition maintenant commence.

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