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Critiques de J. R. Ward (876)
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La confrérie de la dague noire, tome 9 : L'am..

J’ai été un peu moins charmée par ce neuvième tome. Il est intéressant et par certains côtés, j’ai apprécié ma lecture mais je dois avouer que le côté érotique de ce tome a une place beaucoup plus importante que dans les autres (ou alors, j’ai une mémoire de poisson rouge). Ce n’est pas non plus trop gênant mais j’aurais préféré un travail plus important sur certains personnages. Bon, je sais que c’est avant tout une saga classée « sexy » mais J. R. Ward m’a tellement habituée depuis un moment à un travail fourni sur son univers que cette petite baisse de niveau m’a chagrinée. C’était un peu comme si ces nombreuses scènes n’étaient là que pour étoffer le tout.



Ce neuvième volume se concentre sur Payne et Manny. Je lis la version originale donc les prénoms vont quelque peu différer. J’étais assez curieuse de découvrir Payne. On ne l’a aperçu que peu de temps et de façon plutôt détournée. Son confinement en fait un personnage assez décalé et naïf. Elle est à part à bien des niveaux. Déjà parce que c’est une guerrière en plus d’une élue, ensuite parce que c’est la fille de la Vierge Scribe, sans compter qu’elle n’a aucune expérience de la vraie vie. Un mélange assez détonant. Et pourtant, en un sens avec ce qu’on connaissait d’elle, je m’attendais à autre chose. Elle m’a semblé moins « guerrière », moins en colère. Elle reste un personnage féminin fort mais comme les autres dans la saga, sa partie douce et féminine prend beaucoup plus d’ampleur. Ce n’est peut-être pas plus mal en un sens car cela est plus crédible face à son côté naïf. Je regrette par contre le fait que J. R. Ward n’ait pas passé plus de temps à exploiter ce personnage. Manny prend beaucoup plus de « place », alors qu’en un sens pour moi, Payne était censée être le personnage principal.



Parlons d’ailleurs de Manny. Un personnage qu’on avait pas eu trop le temps de découvrir mais qui m’avait laissé un très bon souvenir. Le revoir a donc été un réel plaisir. Son côté humain et surtout complètement à l’ouest avec ce qu’il découvre le rende encore plus attendrissant et drôle. J’ai beaucoup aimé cette approche. Il prend les choses plutôt bien mais sa méconnaissance du monde vampire rend plus crédible ses réactions. Et puis, il est raide dingue amoureux, donc, on imagine que cela aide à relativiser. Son côté humain apporte aussi beaucoup au personnage. Déjà, on a pas trop cette impression de valeureux guerrier avec son code d’honneur médiéval. Attention, je n’ai rien contre, j’adore les Frères, mais un peu de changement fait du bien. L’auteur a aussi choisi de faire en sorte que Manny soit très respectueux, apprécie le fait que sa compagnon soit plus forte que lui, ne flanche pas face à son manque de force physique ou de capacités hors normes. Ce manque total de jalousie était vraiment super. L’auteur a de toute façon toujours fait en sorte que ses personnages masculins soient au top.



Difficile de parler de Payne sans parler de Vishous, son jumeau. Du coup, on a eu une part belle de Jane et de Butch au passage. Vishous m’a toujours un peu dérangé vis-à-vis de son comportement. J’aime bien le personnage mais il n’est pas mon préféré. Cependant, le fait de vouloir exploiter plus le personnage et de le rendre encore plus abouti était plutôt chouette. L’évolution du personnage m’a beaucoup plu malgré des passages que je n’ai pas tellement appréciés. J’espère que si jamais il revient sur le devant de la scène, l’auteur ne cherchera pas à démolir ce qu’elle a construit ici. Sa relation avec sa sœur jumelle a aussi été un vrai plaisir. Loin de la tourmente qu’on a pu avoir avec Z et Phury. Et puis, ce côté grand frère va à ravir à V.



Qhuinn apparait aussi un peu dans ce tome. Sûrement pour préparer son futur volume personnel (que j’attends avec impatience !). Sa relation avec Layla est plutôt intéressante. J’ai vraiment apprécié que le vampire s’ouvre plus face à l’Elue et qu’il se trouve une confidente. Il est depuis un moment très isolé. C’est donc une très bonne chose et j’ai aussi hâte de voir ce que cela va donner.



Plusieurs romances et amitiés misent en avant ici, de façon toujours intéressantes et plus complexes que ne le laisse présager la catégorisation de la saga. Payne et Manny étaient vraiment adorables à voir évoluer. Une douceur plutôt apaisante même s’il y a pas mal d’inquiétudes, mais après John et Xhex, j’avoue que cela fait du bien. Les Eradicateurs sont un peu laissés de côté, même si ils ont leur part à jouer. Pour moi, ce n’est pas plus mal. Je lis de toute façon les passages qui les concernent en diagonale depuis le début. L’arrivée d’une autre menace est par contre une petite bouffée d’air frais. Je ne pense pas qu’on est beaucoup à craindre, du moins, je l’espère mais cela donne encore une autre dimension à l’univers de J. R. Ward. Une légère baisse de niveau pour moi mais j’ai encore passé un excellent moment avec nos guerriers vampires.
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La confrérie de la dague noire, tome 8 : L'am..

Ô rage, ô désespoir, j'ai replongé tête baissée et avec un plaisir coupable dans les nouvelles aventures des guerriers de la mystérieuse Confrérie de la Dague Noire. Série phare et sans surprise de chez Milady, elle met en scène des guerriers vampires vivant à l'insu des humains et fightant le mal.

Dans la saga, J.R. Ward applique toujours la même bonne vieille recette. Un farouche guerrier au lourd passé -abandon, malédiction, amoureux de la femme de son jumeau, cochez la case correspondante- doté d'un physique étourdissant -regard d'obsidienne, corps musculeux, sexe sur-dimensionné- et looké Armani, rencontre une belle jeune femme. Oui, jeune, car passés 25 ans, l'héroïne de romance paranormale n'est plus côtée à l'Argus. Et solitaire aussi, car elle attend l'amour, le vrai. Reconnaissant en elle son âme soeur, le vampire lutte contre cette passion naissante. Beau mais malheureux, impitoyable au combat mais dévoué aux siens, dur à l'extérieur mais moelleux à l'intérieur (on finit d'ailleurs par le visualiser sous la forme d'un camembert, celui qui est rustique), le combattant a peur d'aimer. Il se résout tout de même à céder à ses sentiments, comprenez à lui faire l'amour, et là, c'est l'extase. L'héroïne bouleversée n'a jamais connu un tel plaisir, ce qui est finalement logique avec un partenaire âgé de quelques centaines d'années, car comme pour le Nutella, 30(0) ans d'expérience feront toujours la différence.

MAIS, car il y a un MAIS, le destin s'en mêle, c'est à dire l'Omega, le fils de l'Omega, la Société des Eradiqueurs, la Glyméra... Et ils sont séparés. Le vampire opiniâtre aidé de ses frères d'armes et de son roi la retrouve et la venge. Puis il se fait tatouer son prénom dans le dos au cours d'une chouette cérémonie et l'épouse. Fin du volume.

Mon "moi" cartésien se dit qu'il ne voit pas l'intérêt de s'attarder sur cette daube emballée dans une couverture moche qu'on ne peut lire dans les lieux publics au risque de passer pour une analphabète souffrant de carence affective ni devant sa moitié de peur de se faire vanner jusqu'à l'année prochaine. Hélas, trois fois hélas, ce "moi" est phagocyté par une niaise rose bonbon, celle qui pleure à chaque diffusion de Sur la route de Madison et qui peut regarder un navet juste parce que Jeffrey Dean Morgan y incarne un pompier. Et cette niaise lacrymale, qui a un gros béguin pour Viszs (tome 5), réclame à corps et à cri les nouvelles aventures de la BDB (Black Dagger Brotherhood, pour les initiés). Et elle a adoré ce tome 8 et la romance entre John Matthew (la réincarnation de Audazs pulvérisé dans le tome 1) et Xhex, la guerrière sympathe. Une fois la dernière page tournée avec la frénésie des mordues de la bit-lit, la niaise a trépigné en criant "La suite, la suite!" et a filé illico consulter les forums pour connaître le nom du prochain héros de la saga. Elle a même frémi en lisant que Viszs, le geek vampire au "regard de diamant" (c'est pas moi qui le dis, c'est Ward) à cause duquel elle n'a plus jamais regardé une salle de bain de la même manière, serait bientôt de retour. La cartésienne quant à elle, a juré de suivre un programme de désintoxication en 7 étapes: "Bonsoir, je m'appelle Pecosa et je suis BDB Addict depuis fin 2010."
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Anges déchus, tome 1 : Convoitise

Addict à la confrérie de la dague noire, il était impératif que je me lance dans cette nouvelle saga que l'auteur nous dévoile. Ça ne parle plus de vampire mais d'anges ! L'impatience au bout des doigts, j'ouvre ce petit livre dont je n'ai même pas fait attention à la couverture et je commence très vite ma lecture ... Le sourire aux lèvres, je lis, je lis et je lis ... D'habitude, je lis extrêmement vite mais là, une lenteur s'installe et mon esprit n'a plus envie de suivre. On s'arrête, on se pose des questions et la conclusion tombe très vite. Et quelle est donc cette conclusion ? Ce n'est pas la confrérie de la dague noire ! Débuté ce livre avec dans l'objectif de retrouver le même engouement n'était certainement pas la meilleure idée ! Et de loin car je ne l'ai même pas finit, presque déçue. Il y avait quelques apparitions de personnages, qui justement se trouvaient dans la confrérie mais ce n'était pas la même chose. Les endroits nous ramenaient à eux, mais encore une fois, ce n'était pas la même chose.

Je trouve cela dommage qu'elle ait justement fait le rapprochement avec ma saga Milady favorite, je voulais du changement. Je voulais que cette nouvelle histoire me prenne comme l'autre l'avait fait mais pour moi, avec ce livre, c'est complètement ... raté.
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Les prisonniers de la dague noire, tome 1 :..

Cette nouvelle série se rattache à l’univers des guerriers de la Confrérie de la dague noire. Pour ceux et celles qui ne la connaissent pas, il s’agit d’une série sur des vampires qui vivent en marge de la société des humains, qui n’ont pas besoin de les attaquer pour se nourrir. Par contre ils ont un ennemi redoutable qu’ils combattent depuis déjà 18 tomes au moins et comme on commence à tourner en rond (du moins à mon avis), J.R.Ward essaie sans doute de retrouver un souffle avec des séries paranormales annexes.

Cette série a l’originalité de s’intéresser à des vampires dits civils-comprenez des gens comme vous et moi qui travaillons pour vivre- qui vivent loin du Roi et de ses guerriers. Nyx (c’est une femme) vit à la campagne avec son grand-père et sa sœur cadette. Un soir, alors qu’elles sont en voiture, elles heurtent un jeune trans (un jeune vampire qui n’a pas fait sa transition), comme il est blessé, elles le ramènent chez elle et apprennent de lui qu’il a réussi à s’échapper de la prison de la glymera (aristocratie vampire). Cette prison existe depuis toujours et sa location est cachée mais persuadée de pouvoir la retrouver car le jeune trans ne peut pas avoir erré trop longtemps, Nyx décide de la retrouver pour sauver sa sœur aînée, condamnée injustement trente auparavant pour un meurtre et qui y croupit depuis ce temps. Nyx se lance alors dans une quête dangereuse qui va l’amener dans cette prison pour y découvrir une vérité stupéfiante.

L’intrigue se tient, le rythme est bon : il y a de l’action, des rencontres superbes, un couple charismatique et des coups de théâtre, en veux-tu, en voilà. Un premier tome prometteur pour une nouvelle série.



Challenge Cœur d’artichaud 2022

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La confrérie de la dague noire, tome 8 : L'am..

Après la fin du tome sept, j’avoue que j’avais eu quelques sueurs froides concernant l’avenir (ou le non avenir) du couple Xhex/John. Non pas que l’auteur ne se soit pas montrée jusqu’à présent plutôt sympathique avec ses héros de vampires question romance, mais on ne sait jamais avec les romanciers… Oui, ce sont des sadiques qui jouent avec nos petits cœurs, c’est bien connu. Bref, j’ai mis quelques temps avant de lire le tome huit, histoire de me ménager.



Ce que j’apprécie grandement avec J.R. Ward, c’est qu’au fil des temps, son univers s’enrichie de plus en plus et qu’elle arrive à faire en sorte que tous les événements qui se déroulent dans les différents tomes finissent par être liés les uns aux autres. D’une part, je salue l’auteur, car ce n’est pas évident, et d’autre part, je trouve cela vraiment excitant en temps que lecteur. Dans ce tome huit, nous nous retrouvons donc à suivre six trames différentes, dont quatre sont liées et deux qui nous préparent aux prochains tomes. Personnellement, et comme à chaque fois que je lis un tome de la saga, les chapitres concernant les Eradicateurs passent à la trappe. Je les lis en diagonale, pour éviter de manquer quelque chose, mais franchement, je ne leur trouve pas vraiment d’intérêt. Surtout que depuis l’avènement de Flhéau, il m’est encore plus difficile de m’y intéresser, le personnage étant un… (je cherche un mot pas trop vulgaire… non, je trouve pas)… disons qu’il est plus qu’antipathique. L’autre trame que j’ai plus ou moins zappée est celle des « détectives du paranormal ». J’avoue qu’au début, je ne voyais absolument pas pourquoi l’auteur s’était encombrée de cela. Je me suis dit qu’il y avait bien entendu une raison, mais il faut attendre pratiquement les dernières pages pour comprendre. Et là encore, si vous n’accrochez pas, vous pouvez éviter ces passages sans soucis.



Parlons maintenant de ce que j’ai aimé dans ce tome. L’histoire de Xhex et John, bien entendu. Cela fait déjà plusieurs tomes que l’on voit se profiler une histoire entre ces deux-là, mais l’auteur ne cessait de leur mettre des bâtons dans les roues. Et le tome sept avait atteint un niveau où j’avais presque perdu espoir pour eux. Les deux personnages sont présents depuis un moment dans la saga et si John n’a plus vraiment de secret pour nous, Xhex, elle, avait de quoi nous surprendre encore. La sympath n’a pas eu un passé calme et serein, loin de là, et les derniers événements font qu’elle est bord d’un gouffre qui pourrait la faire sombrer à jamais. Elle est torturée mais ne trouve aucune échappatoire, et elle repousse tout ce qui pourrait lui apporter un peu de lumière. John, et c’est là que j’ai trouvé son personnage encore plus intéressant, se montre patient, compréhensif mais ne cache pas non plus à la femme qu’il aime et qui la repousse qu’il est un peu irrité par son comportement. Tout est en balance. On sent la jeunesse de John mais en même temps son passé en temps que Audasz lui donne un recul suffisant. La relation entre la sympath et le vampire, même si elle est évidente pour nous, se construit petit à petit. Elle est fragile et on se rend compte qu’un rien pourrait la voir voler en éclats. Le manque de communication de Xhex est le plus gros problème, mais on comprend aussi aisément qu’elle ne puisse pas s’épancher en un claquement de doigt. J.R. Ward a encore une fois bien su mener cette romance, même si je dois avouer que la fin est très guimauve.



L’autre point très intéressant de ce tome est le récit d’Audasz et de Thorment. On le suit en parallèle, et il est clair que cette trame est liée à une autre, mais là encore tout se déroule petit à petit. Je trouve ce genre de récit frustrant, car voir Audasz, le connaître encore plus, et savoir qu’il est John sans que lui-même le sache est assez irritant. Mais je comprends le choix de l’auteur de ne pas faire fusionner ces deux personnages. Surtout après ce récit. Ce que nous découvrons à partir de ce passé commun est très enrichissant à de nombreux niveaux, et encore une fois j’ai beaucoup apprécié voir Thorment aussi complice avec son mentor, surtout quand on voit la relation qu’il a avec John. Les choses s’arrangent d’ailleurs entre les deux vampires. John en sort grandi et j’avoue que je ne supportais pas trop de les voir brouillés ainsi. Ils forment un très bon duo que j’ai hâte de revoir en action.



Souffrhance fait aussi son retour dans ce tome. Je n’arrive pas trop à m’attacher à la vampire mais elle met en avant certaines choses très profondes concernant la culture vampire. Elle nous permet de voir une autre facette encore de cette société très complexe, un peu comme Elena dans le tome sept. Et au final, j’ai tout de même envie d’en apprendre plus sur elle, ce qui est une bonne chose. Nous avons aussi la « non-histoire » entre Blay et Vhif… Ah ces deux-là sont vraiment embêtants, surtout Vhif. Je les apprécie beaucoup, je dis plutôt cela de façon attendrissante, et je trouve aussi subtile la façon dont l’auteur traite cette relation. J’ai juste du mal à les voir souffrir tous les deux, alors qu’il est clair qu’ils s’aiment.



Un tome très riche donc où J.R. Ward arrive toujours autant à me charmer par la complexité de son œuvre et aussi ses romances passionnées. Les sujets traités le sont avec subtilité et délicatesse ce qui rend la saga très riche et addictive, encore une fois.
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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Il ne faut pas se fier à la couverture( qui fait vraiment Harlequin) ,non ce livre est vraiment sympa !

Six vampires protègent leur espèce contre la société des éradiqueurs ,sortes de nazis sans âmes . Dans ce livre on suit l'aventure de Kolher ,le chef ,chargé d'aider la fille d'un ami ,Beth,lors de sa transformation .On découvre en même temps que Beth l'univers des vampires ,plutôt original par rapport aux autres livres sur le même sujet .

Chaque tome s’intéresse à un vampire donc le personnage principal change à chaque tome . J'ai beaucoup aimé le choix de leur nom ,qui représente leur caractère ( Fhurie/Zadisque/Rhage...).

C'est bien écrit ,pas niais comme on pourrait le penser pour ce genre de littérature et assez violent. J'ai vraiment passé un bon moment .
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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Je suis tombée sur la saga de "La confrérie de la dague noire" par hasard, elle date de quelques années. J'ai téléchargé les différents tomes sur ma liseuse puis je les ai oubliés.

J'ai commencé ce premier tome et je me suis complètement laissée embarquer par l'histoire.

J.R. Ward revisite l'univers des vampires avec cette communauté qui vit en parallèle avec les humains, même si dans ce premier tome, ceux-ci, appelés les « civils » sont peu présents.

La confrérie de la dague noire est une fratrie de vampires guerriers qui comprend sept vampires. Kolher, le chef de cette confrérie, Rhage, Zadiste, Vizcs, Tohrment, Fhurie et Audazs. Tous plus charismatiques les uns que les autres, dangereux et protecteurs à la fois, liés par un amour fraternel qui ne laisse pas indifférent.

Les vampires sont inconnus des civils et doivent le rester. Ils se nourrissent de sang mais le sang humain n’est pas celui qu’ils préfèrent. Les vampires sont une espèce à sauvegarder. Leur ennemi sont les éradiqueurs qui ont été humains mais ne le sont plus. Ils ont leur propre langage même s’ils parlent couramment la langue des humains d'où le nombre de termes nouveaux qui font l'objet d'un lexique au début du livre.



Chaque tome s'attarde sur l'histoire d'amour d'un des guerriers. Ce premier conte l'histoire de Kholer et de sa « Shellane » Beth. L'histoire d'amour suit un schéma classique : rencontre, difficultés qui s'aplanissent progressivement et pas mal de scènes sensuelles.

C'est une histoire rythmée sans temps mort où l'auteur nous livre les révélations au rythme où Beth les apprend. Tout le livre est écrit à la troisième personne mais change régulièrement de protagoniste.

Ce livre est un savant mélange de romance et d'action complètement addictif.





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La confrérie de la dague noire, tome 17 : L'a..

Ce 17ème tome de la série « La Confrérie de la Dague noire » voit le retour d’un frère dont on a entendu parler de temps en temps dans la saga. Il était notamment évoqué dans le tome 8 quand John Matthews partait à la recherche de Xhex, cette redoutable tueuse mi-vampire mi-sympath, enlevée par les Lesseners. Sans revenir sur cette histoire, il est quand même utile de préciser que Xhex racontait en partie à John une partie de son passé et notamment ses amours compliquées avec Murhder, un vampire de la confrérie devenu fou et banni de l’Ordre.



Le voilà donc de retour, ce vampire considéré comme dangereux et incontrôlable. Il est d’ailleurs accueilli fraîchement par la garde rapprochée du Roi qui le voit comme un baril de poudre prêt à exploser. La requête de Murhder a de quoi surprendre : il veut payer une dette. Vingt ans auparavant, il avait échoué à sauver une femme vampire enceinte, détenue dans un laboratoire. Le regard de cette femme réclamant de l’aide le poursuit depuis, d’autant qu’il a reçu une lettre d’elle lui expliquant qu’après avoir eu un enfant, elle était parvenue à s’évader mais en laissant son fils. Et ce qu’elle demande est simple : Murhder doit retrouver son fils car sa transition approche. Parallèlement, une veuve, docteure spécialisée dans la recherche sur le cancer, découvre que son mari a laissé des dossiers troublants, démontrant que dans le laboratoire où il travaillait, on inoculait des maladies mortelles à un être humain. Enfin, au cours d’une mission, John est mordu par un vampire qui a été attaqué par ces ombres étranges crées par Throe. Et sa morsure prend une très vilaine tournure.



Une mission de secours, une rencontre entre un vampire et une humaine et un frère blessé grièvement sont donc les ingrédients de cette nouvelle aventure de la saga que j’ai lue comme toujours avec beaucoup de plaisir. J’ai apprécié de découvrir Murhder, ce frère perdu de la Confrérie, qui, depuis vingt ans, lèche ses plaies dans une demeure perdue. S’il est hanté par le poids de son passé, il n’est pas fou, il a subi des moments terribles au moment de son histoire avec Xhex (je ne dirai rien de plus pour ne pas dévoiler l’intrigue) et il a préféré se taire et disparaître. Son retour c’est l’occasion de se racheter aux yeux de la Confrérie mais aussi à ses propres yeux. Ses retrouvailles avec Xhex sont émouvantes et John, passé un court moment de jalousie, va pouvoir apprécier l’aide inespérée de ce frère.



J’ai remarqué encore une fois que JR Ward, comme elle le fait depuis quelque temps, évite les digressions. L’intrigue se concentre sur ce quatuor, Murhder/Sarah et John/Xhex et sur les événements graves qu’ils vivent. Quelques allusions seulement aux Lesseners qui n’en finissent pas de disparaître et plus curieux encore, la menace représentée par Throe et ses ombres est liquidée en trois coups de cuillère à pot ! J’en suis restée stupéfaite et presque inquiète : s’il n’y a plus de méchants, alors il n’y a plus besoin de confrérie… D’ailleurs pour la première fois depuis le début de la saga, JR Ward ne sème pas d’indices pour un éventuel tome supplémentaire. Ou si peu que je ne sais pas si c’est une piste ou un cul de sac. A vous de voir. Bonne lecture !

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Anges déchus, tome 1 : Convoitise

Ayant beaucoup aimé La Confrérie de la dague noire, j’étais curieuse de découvrir cette autre série de J.R. Ward. Bon il faut dire que La Confrérie de la dague noire est une série tellement réussie que du coup j’avais peur que celle-ci ne soit pas à la hauteur, sans parler des quelques avis plutôt mitigés que j’ai lu par-ci, par-là. Finalement je dois dire que pour moi ça a été une belle découverte et je voudrais à ce propos remercier Aurian pour me l’avoir si chaudement recommandé ! L’action se déroule à Caldwell, c’est-à-dire dans la même ville que la Confrérie mais cette fois-ci il n’est pas du tout question de guerriers vampires ou encore d’éradiqueurs mais d’anges et de démons. J’ai beaucoup aimé cet univers parallèle à celui des humains et des vampires, une autre facette de Caldwell qui décidément se révèle être dans les récits de J.R. Ward une ville pleine de surprises.



Dès le prologue le ton nous est donné, on nous explique en quelque sorte les « règles du jeu » car il s’agit bel et bien d’un jeu auquel se livrent le bien et le mal. Un jeu dont l’issue déterminera le sort de l’Humanité. Un seul homme peut faire pencher la balance tant d’un côté comme de l’autre : Jim Heron. Un ex-militaire au passé obscur, un homme capable du meilleur comme du pire. Pour que le bien l’emporte, Jim doit sauver l’âme de sept personnes, dont celle de Vin DiPietro, un constructeur immobilier pour qui il travaille depuis peu en tant que charpentier. Ce premier tome constitue donc sa toute première mission. Reste à savoir quel camp Jim choisira d’autant plus que le démon auquel il devra faire face fera tout pour qu’il échoue... Lire la suite sur le blog.
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La Confrérie de la dague noire, tome 16 : L'A..

« The Thief » est le 16ème tome de la série « La Confrérie de la dague noire » et si je l’ai lu en anglais, c’est que je n’ai pas pu attendre la traduction. Pour ceux qui ne connaîtraient pas la série (comment ? Est-ce possible ?...), la Confrérie de la dague noire est une série paranormale qui met en scène deux mondes : celui des vampires luttant depuis la nuit des temps contre des tueurs redoutables , les Eradiqueurs et celui des humains qui ignorent complètement qu’ils existent. Et entre ces deux mondes, une confrérie à laquelle appartiennent des guerriers redoutables chargés à la fois, de tuer leurs ennemis et en même temps d’éviter que les humains comprennent ce qu’il se passe. Dans ce 16ème tome, la menace des Eradiqueurs a fortement baissé, ils sont remplacés par une menace plus grande, celle qu’incarne Affhres, ancien soldat de Xcor, qui joue à l’apprenti sorcier après avoir découvert un livre, une sorte de grimoire maléfique. Grâce à un sort, il peut produire des ombres gigantesques capables de tuer et qui n’obéissent qu’à lui. Son but ? Tuer des vampires civils, semer le chaos pour prendre la place du roi Kolher. Mais je ne crois pas qu’il maîtrise complètement ce phénomène maléfique, la preuve en est lors d’un épisode où V et Jane se retrouvent confrontés à un vampire civil qu’ils pensaient mort. Je n’en dirais pas plus sur la scène mais elle surprend et permet de comprendre qu’Affhres ne maîtrise pas vraiment ses ombres. Toujours est-il que cette menace reste encore secondaire dans le roman, JR Ward consacrant son intrigue à deux couples qui sont Ahssaut/Sola et V/Jane. Au début du roman, tout va mal pour les deux couples : Ahssaut est toujours à l’hôpital de la confrérie et il est même agonisant. Son médecin, Jane est même persuadée qu’il faut l’aider à mourir, ce qu’elle ignore c’est que son état s’explique en partie depuis qu’Ahssaut a vu partir la femme qu’il aime, Sola. Il ne pouvait pas faire autrement, Sola est une humaine. Mais devant sa mort imminente, les cousins d’Ahssaut persuadent Sola de venir le voir, mentant sur ce qu’il a et surtout ce qu’il est. La réapparition de Sola permet effectivement à Ahssaut de se remettre rapidement mais ne résoud pas le dilemme qui le taraude. Comment garder Sola et vivre avec elle sans lui révéler ce qu’il est ? Parallèlement à l’histoire entre Ahssaut et Sola, JR Ward revient sur son couple favori V et Jane. La lutte contre les Eradiqueurs, celle contre la bande de Bâtards mais surtout la disparition de la Vierge Scribe que V prend comme une offense personnelle, font que les deux amants se sont éloignés. Jane est accaparée par son métier, V obsédé par les ennemis qui les entourent et bien plus marqué qu’il ne l’admet par le décès de la Vierge (qui je le rappelle est sa mère). Ils ne se comprennent plus et l’on voit avec effroi venir le spectre de la séparation. Je vous rassure mais sans rien divulguer, tout s’arrange. Ne dit-on pas : « On a vu souvent rejaillir le feu de l’ancien volcan qu’on croyait trop vieux » !

On parle donc beaucoup d’amour dans ce tome, mais aussi de confiance et de loyauté. Il ne suffit pas de se mettre en couple une fois qu’on s’est déclaré un amour absolu pour que tout aille bien dans le meilleur des mondes. Jane et V en font l’amère expérience. On ne peut pas aimer et taire sa personnalité au risque de dépérir comprend Ahssaut, qui se retrouve obligé de se révéler à Sola bien qu’il sache qu’il peut tout perdre. J’ai beaucoup aimé ce tome plus court que d’ordinaire (seulement 462 pages), plus concentré sur quelques personnages. On dirait une pause avant que la guerre reparte avec son lot de souffrances. Et les nouveaux ennemis, ces ombres, sont flippants, il faut bien le dire. Certes, on râle un peu parce qu’on ne voit pas beaucoup les autres guerriers et leurs compagnes mais, comme pour nous narguer, l’auteur en fait réapparaître un, un ancien guerrier de la Confrérie devenu fou et qu’on avait vu dans le 8ème tome (consacré à John et Xhex) Mheurtre et qui, à mon avis, sera plus présent encore dans le prochain tome comme semble l’indiquer la visite que lui fait Saxton. Au risque de me répéter, j’ai beaucoup aimé et je ne me lasse pas de cette Confrérie. J’attends le prochain avec impatience.




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La confrérie de la dague noire, tome 4 : L'am..

Bon, soyons franc je risque de faire assez court parce que dans ce quatrième opus des aventures des guerrier aux canines un peu longues, on reste dans le même schéma. Le héros est seul, désoeuvré quand il rencontre une belle héroïne alors qu'en toile de fond la guerre entre vampires et éradiqueurs fait rage. Un gros point positif pourtant : Butch, le guerrier de ce tome, n'est pas vraiment un membre de la confrérie, et pour cause, il est humain. Et pas du genre méga plein d'avenir puisque c'est un ancien flic qui noie sa solitude dans l'alcool. Finalement ce n'est pas tellement la romance de ce tome qui m'a intéressée. Ce qui fait le charme de L'Amant révélé, c'est le lien entre Viszs et Butch. Leur « relation » n'a pas cessée de me fasciner au fil des pages. En même temps, le personnage féminin, Marissa, m'a aussi beaucoup plu. Sa place dans l'aristocratie vampirique, la pression qu'elle subit en tant que femme, tout est teinté de féminisme et non dénué de militantisme. Bref un tome sympathique, un petit roman de Bit-lit divertissant...
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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Une fois lancer, on y plonge l'esprit ouvert avec une envie féroce que d'en arriver au bout.



Ce qui est intéressant dans ses livres, c'est l'évolution des personnages. Dans un cadre basique, c'est à dire que sur 6 "guerriers", un est consacré par tome, l'histoire est répétitive.



[] Soucis personnels - Rencontre amoureuse - amélioration du personnage - idylle parfaite et problème résolu.





Vous allez dire que c'est un peu chiant que tout soit fait de la même façon, faut l'avouer. Or, il y a un petit coté exceptionnel à ces livres, c'est que chaque personnage a un caractère bien précis, envers lequel on ne peut s'empêcher que de s'accrocher avec l'espoir qu'il ira mieux.



Une psychologie bien présente avec une évolution très précieuse. C'est un peu dans le style de "nora roberts" et ses trilogies fantastiques. Attachant, du suspens, une écriture formidable.



Bref, il faut le lire pour comprendre ce que je dis et je vous joins - si vous avez du temps - à vous y plonger, ils en valent réellement la peine.



Ps: Par contre, ne soyez pas choquer des scènes un peu crues. Il y en a à la pelle ...
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La confrérie de la dague noire, tome 4 : L'am..

Je dois bien avouer que même si j'aimais beaucoup la présence de Butch au sein de la Confrérie de la Dague Noire, je me demandais réellement si cela valait la peine de lui consacrer un tome... Ce n'est pas que je ne trouve pas le personnage intéressant, loin de là, mais n'étant pas vampire son histoire d'amour avec Marissa semblait plutôt vouée à une très très courte durée (Butch n'étant pas "immortel"). Et puis, je me suis dite que jusque là, je n'avais pas été déçue par les choix de J. R. Ward et que le titre "L'amant révélé" laissé sous-entendre quelque chose (du moins pour moi). Donc je me suis lancée dans la lecture du tome quatre.



Comme les autres tomes, je l'ai lu en deux jours. J'ai heureusement en ma possession le tome 5 et 6 et je viens de commander le guide officiel, en attendant que le tome 7 sorte en format poche (en décembre 2012 pour info) ! Pourquoi, je vous raconte cela, et bien tout simplement parce que j'ai encore très très bien accroché avec ce tome quatre. L'histoire de Butch et Marissa étaient tout à fait à la hauteur des autres, et j'ai trouvé fort sympathique l'évolution des deux personnages au fil des pages.



Tout d'abord grâce à Marissa. Il faut dire que depuis que le personnage est entré dans la saga, on avait une image d'elle qui pouvait ne pas être très positive. Fille de l'aristocratie, elle ressemblait assez à ses poupées de porcelaine fragile et sans réelle personnalité, accablée par la glymera et ses idées préconçues et vieillottes. Et puis, Marissa évolue. A cause de Havers, son frère, elle se retrouve face à un mur et doit agir d'elle-même, et c'est le déclic. Elle qui était si vulnérable par rapport aux autres compagnes des guerriers devient une femme forte et soudain elle nous apparaît vraiment. On découvre un personnage attachant, intelligent, naïf mais en même temps très fort. Du coup, comparé à Butch, c'est le jour et là nuit. Je ne dis pas que Butch n'est ni attachant, ni intelligent... mais le flic est depuis un moment montré comme un homme fort, dur, que la vie a beaucoup malmené et qui n'a pas toujours fait les bons choix. Il s'améliore d'ailleurs beaucoup grâce à Marissa, et en plus des découvertes que l'on fait sur lui et des gros changements que sa vie prend, il devient réellement un personnage à part entière et pas seulement le pote des guerriers.



La seule chose qui me fait un peu peur, ce sont la révélation de l'épilogue et une phrase que l'Oméga dit à Butch... Je crains fort que cela ne soit de nouveaux obstacles pas très sympathiques pour notre flic préféré, mais je me trompe peut-être.



Pour le reste de ce tome, on garde toujours un œil sur les autres personnages (ce que j'adore vraiment, car cela évite l'overdose du couple mis en avant). John, par exemple, que l'on voit pas mal évoluer dans ce tome et qui est de plus en plus intégré dans la confrérie. Zadiste qui se montre très paternel avec John, justement, et cela nous permet de voir une facette tout autre de ce personnage brutal. Mais aussi Beth que j'adore vraiment et qui est vraiment l'incarnation même de la Reine que l'on pouvait rêver. On en apprend aussi pas mal sur Viszs. Ce personnage est vraiment énigmatique. Je n'arrive toujours pas à le comprendre réellement, sans parler de son don et de sa relation avec Butch... A voir dans le tome cinq qui lui est consacré si cela éclairera plus mes lanternes !



On retrouve toujours le langage cru et la dose d'humour qui arrive toujours à me faire rire à chaque fois. Le tome se lit très rapidement et il est difficile de lâcher prise. Et encore une fois, j'ai zappé les passages sur M. X et compagnie (jusque là, je n'ai rien perdu donc bon).



Seule chose qui m'a un peu fait tiquer : la paternité de Zadiste. Je croyais dur comme fer que Nalla était déjà née car j'avais le souvenir de Zadiste la prenant dans ses bras et là Bella est toujours enceinte. Donc si vous êtes comme moi, sachez que l'épilogue du tome trois étaient de vingt mois plus tard ! Donc, rien d'anormal même si c'est un peu perturbant si on ne se souvient pas de ce détail !
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L'Héritage de la dague noire, tome 3 : Rage d..

Bloody fury est le troisième tome de la série « The Black dagger legacy » qui permet à J.R.Ward de développer des histoires annexes à sa série principale. Les personnages que nous croisons à travers les pages nous sont familiers mais on les retrouve dans d’autres contextes, l’occasion de pouvoir passer encore un moment auprès d’eux et de mieux les connaître. Ce tome est meilleur que le précédent car j’avais été déçue par le couple Rhage et Mary, devenus bien mièvres avec leur histoire d’adoption. Ici, JR Ward choisit de s’intéresser à deux couples encore : l’un formé par Peyton et Novo, deux nouvelles recrues de la Confrérie, l’autre par Saxton, notre juriste favori, toujours pas remis de sa rupture avec Blay (on le saurait à moins !) et Ruhn, l’oncle de Bitty, la fille adoptive de Rhage et de Mary.

Quelque que soit le couple, tout les oppose au départ. Peyton appartient à l’aristocratie, il est volontiers cynique, narcissique, un beau gosse plein de fric, habitué à mettre dans son lit toute jeune vampire qui passe à sa portée. Il en pinçait d’ailleurs pour Paradis mais son regard sur elle a changé et il est de plus en plus attiré par Novo. Elle, c’est une civile, une dure à cuire qui a été abandonnée de la plus cruelle des manières par son ex, un certain Oskar, qui n’ a rien trouvé de mieux que de se précipiter dans les bras de Sophy, la propre sœur de Novo. Alors les hommes du genre Peyton peuvent bien aller se rhabiller, hors de question de succomber à une figure d’ange même s’il est bien roulé ! Du côté de Saxton et de Ruhn, on ne peut pas dire non plus au premier abord qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Saxton est un aristocrate, raffiné et cultivé tandis que Ruhn est plutôt du genre rustre, illettré, embarrassé de lui-même et taiseux.

Bien évidemment les circonstances vont amener chacun des couples à se rapprocher. Pour Peyton et Novo, c’est une mission qui tourne mal, Novo est blessée très grièvement au cours d’un affrontement contre les ennemis de toujours de la Confrérie. Pour Saxton et Ruhn, c’est l’obligation de travailler ensemble : le roi charge Ruhn de protéger Saxton , le temps qu’il règle un problème de harcèlement envers une dame âgée vampire dont la propriété est convoitée par des humains peu scrupuleux. Ces événements vont obliger chacun des protagonistes à ouvrir les yeux sur leur passé et à reconsidérer ce qui est essentiel dans la vie.

Encore une fois, c’est un tome qui laisse de côté l’action principale à savoir l’affrontement avec les Eradiqueurs pour se recentrer sur les vies de 4 vampires qui se retrouvent confrontés à des choix. Puis-je faire confiance de nouveau en un être que je découvre et que j’aime ? Est-ce que j’ai le droit d’être aimé, moi qui suis si différent, en qui on ne croit pas ? Ce sont les questions qui traversent ce roman que j’ai trouvé plus émouvant que le précédent. Certains pourraient considérer que l’absence d’actions entraîne un essoufflement dans le rythme et dans l’intérêt. D’autres prendront du plaisir à découvrir ou à redécouvrir (je pense à Saxton) des personnages qui prennent du relief et de la chair et qui viennent s’ajouter à la galerie déjà bien remplie de la famille de la Confrérie. A noter que J R Ward n’oublie pas l’essentiel d’une relation amoureuse à savoir le sexe. Nous avons droit à quelques scènes torrides, les plus belles revenant à Saxton et à Ruhn comme si depuis le tome sur Blay et Vhif, JR Ward avait laissé ses réserves de côté. Enfin, je trouve que ce tome nous adonne un avant- goût du prochain roman qui sortira en avril et qui reviendra sur Ahssaut, pour le moment il gît dans un lit du centre d’entraînement de la Confrérie et semble en très mauvaise condition.




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La Confrérie de la Dague Noire, Tome 12 : L'A..

Parfois je me demande vraiment ce qui me pousse à lire cette série, moi qui déteste ses couvertures tout droit sorties du mauvais goût, qui refuse de tomber dans les lectures commerciales érotiques en vogue, qui déteste quant il y a trop de scènes de sexe et de langage cru dans un roman... Qui ne cesse de critiquer ce type de roman aux titres évocateurs qui laissent clairement entendre ce qui se trouve à l'intérieur.

Sauf qu'avec La confrérie de la dague noire, il y a une magie qui s'opère. Et je trouve réellement que les couvertures et les titres ne reflètent en rien la qualité de l'intrigue. En effet, à chaque tome l'auteur me captive, m'envoûte, et je n'arrive jamais à décoller de ma lecture, je me retrouve chaque fois lire le pavé d'une traite, comme si j'avais été possédée. J'ai beau trouver ça complètement caricaturé, tellement "too much" de romantisme, avec ces mâles hyper amoureux et attentionnés... cette possessivité exacerbée, ces clichés sur le monde de la nuit, je suis quand même fan de cette série. Toujours pas déçue par ce dernier tome. L'auteur use d'un style fin, jamais vulgaire, elle semble un peu lâcher cette fâcheuse habitude à évoquer les marques. Elle manie de mieux en mieux l'entrelacement des intrigues et les destins des différents personnages. Si bien qu'on se retrouve dans une véritable saga, suivant l'évolution de toute une famille, ne perdant jamais trop de vue chacun des personnages, précédemment héros d'un tome. J'ai trouvé que les scènes hot se faisaient plus rares plus espacées dans le récit pour laisser beaucoup plus de place à des intrigues qui s'écartent des histoires d'amour. elle ne sont que plus appréciables à la lecture, à mon sens.

Mais surtout, le tout passe si bien, car on est vraiment dans de la fiction, un univers imaginaire avec son fonctionnement et sa mythologie créés de toutes parts. La sexualité y a un rôle prédominant, mais là encore, cela s'inscrit dans les relations propres à ce monde. Ainsi, il n'y a aucune impression d'invraisemblance, que je reproche souvent aux romances érotiques qui remporte du succès, puisque nous lisons de la fiction pure, de la véritable bit-lit.



Ce tome m'a réellement captivée, car nous ne suivons plus sur des pages et des pages les affreux méchants, les éradiqueurs. Mais nous enchaînons les chapitres, passant d'un personnage à un autre. Les chapitres alternent, nous faisant suivre un point de vue puis un autre, ce qui donne un petit suspense. C'est ainsi que je me suis retrouvée suspendue aux pages, voulant continuer au plus vite pour connaître l'évolution de chacun des personnages.



En effet, dans ce tome ce n'est pas un couple que nous suivons, mais 5 couples. Je les ai trouvés tous très attachants, chacune de leur histoire a réussi à m'embarquer.

Certes nous sommes principalement focalisés sur Beth et Kholer. Nous découvrons combien Beth a envie d'un enfant et combien Kholer, terrifié par l'idée de la perdre, s'y refuse. Entre dispute et réconciliation, le couple aura à faire avec les manigances de la glyméra. Entre les pages, nous découvrons l'histoire des parents de Kholer, depuis la rencontre et le véritable coup de foudre de ceux-ci, jusqu'à la naissance de leur fils. Pareil, ces deux-là auront à faire avec des trahisons et des luttes.

Enfin, nous retrouvons Layla et Xcor. C'est un véritable jeu du chat et de la souris. Leur relation n'est pas encore établie, mais chacun souffre du désir qu'il éprouve pour l'autre. J'ai hâte de savoir comment leur histoire va évoluer. J'aime bien ces deux-là. Et l'auteur semble nous faire languir depuis déjà trois tomes sur leur romance.

Nous suivons Trez, l'Ombre, tombé sous le charme d'une Elue, Séléna. Pareil pour eux, une relation en dents de scie. Un dilemme entre l'attirance et la raison, qui fait de leur relation une histoire assez touchante mais compliquée et frustrante qui n'a pas dit son dernier mot... Cela nous permet de continuer à suivre I'am, le frère si dévoué qui offre à Beth quelques secrets, dont je me doute qu'ils feront l'objet d'une nouvelle histoire.

Pour finir, la petite nouvelle, Sola, apparue dans le tome précédent, tombée sous le charme du bel Assault. Une relation passionnée et passionnante, entre la jeune voleuse et le vampire malfrat.

Toutes ces histoires se terminent sans véritable fin, et j'ai vraiment très envie de tous les retrouver dans le prochain tome afin de savoir comment chacune de leur romance va se terminer.



Pour ma part ce fut un tome très riche, j'aime réellement le fait que l'auteur s'intéresse à de nouveaux personnages et quitte le couple phare. J'ai trouvé chaque couple attachant, chaque romance touchante, mais frustrante car désormais l'attente va être difficile jusqu'au prochain volet.



Un très bon tome pour moi, un nouveau coup de coeur pour une série qui continue de m'étonner !


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Anges déchus, tome 2 : Tentation

J’attendais cette suite d’Anges Déchus avec beaucoup d’impatience. En effet, j’avais adoré le premier tome, Convoitise et j’avais hâte de retrouver Jim et ses acolytes pour une nouvelle mission. Je dois dire que je n’ai pas été déçue.



L’histoire débute deux jours après les événements du tome 1. Jim, Adrian et Eddie quittent Caldwell pour se rendre à Boston. C’est là-bas que Jim doit accomplir sa deuxième mission : sauver l’âme d’Isaac Rothe. Ce dernier gagne sa vie en se livrant à des combats clandestins. Mais lors d’une descente de la police, il est arrêté. Pour s’en sortir, il doit s’en remettre à Grier Childe, l’avocate qui lui a été commise d’office.



Je dois dire que dans l’ensemble j’ai beaucoup aimé. Fini les petites allusions à la Confrérie. Si Convoitise constituait un avant-goût de ce nouvel univers, avec Addiction, on peut dire qu’on entre carrément dans le vif du sujet et que cette fois, le combat entre le bien et le mal est bel et bien engagé. Ici la mission prend une tournure bien plus personnelle car Jim et Isaac se connaissent. Ils sont tous les deux des anciens membres des commandos XOps, une organisation ultra secrète dirigée par Matthias. Isaac a déserté les XOps, or le seul moyen de quitter cette organisation c’est dans un cercueil. Jim devra donc non seulement lutter pour sauver l’âme de son ami mais aussi affronter son ancien patron, Matthias qui est déterminé à se débarrasser d’Isaac.



Comme le tome précédent, Addiction est un peu long au démarrage mais une fois passé les premiers chapitres, en entre à fond dans l’histoire. L’intrigue est toujours aussi bien menée... Lire la suite sur le blog.
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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Premier volet de la série La Confrérie de la dague noire. Dans les rues sombres de Caldwell, à l’insu des humains, une guerre fait rage entre les vampires et la Société des éradiqueurs. Cette-dernière n’a qu’un seul objectif : éliminer tous les vampires. Afin protéger leur espèce, six guerriers vampires se sont regroupés et ont ainsi formé la Confrérie de la dague noire.



Le tome 1 est consacré au premier de ces guerriers : Kolher. Kolher est le guerrier le plus craint et le plus respecté de tous car il est leur roi. Cependant il refuse de régner car il se sent incapable d’assumer une telle responsabilité. La peur d’échouer et celle de mener son peuple à sa perte font qu’il préfère son statut de « guerrier tueur d’éradiqueurs » (job qu’il maîtrise à la perfection). Lorsqu’un de ses guerriers (Audazs) fait appel à lui afin qu’il sauve sa fille Beth, qui est sur le point de subir sa transformation (ou transition) en vampire, son premier réflexe est de refuser. Mais Audazs se fait assassiner par les éradiqueurs. Son décès bouleverse Kolher au point qu’il décide finalement d’accomplir la mission qu’Audasz lui a confiée. Beth est une très jolie jeune femme, mi-humaine, mi-vampire et journaliste au CCJ. Elle ignore tout de sa véritable nature et c’est donc à Kolher qu’il incombe de lui faire découvrir ce qui l’attend. En effet, la transition en vampire est un moment très critique à passer : elle survient vers l’âge de 25 ans et certains n’y survivent pas. L’attirance entre ces deux personnages est immédiate ce qui donne lieu à des scènes assez torrides. Kolher est l’archétype du héros musclé, brutal et macho. J.R Ward le décrit au début comme un personnage terrifiant. Mais au fil des pages, on assiste à son évolution : sa rencontre avec Beth finira par l’adoucir.



Les personnages secondaires sont aussi très présents. On apprend beaucoup de choses sur les autres guerriers : Rhage, Thorment, Viszs, Fhurie et Zadiste. Ce sont tous des êtres torturés, affligés et qui ont chacun leurs problèmes (excepté peut-être Thorment, le plus équilibré d’entre eux). On retrouve aussi d’autres vampires : Marissa et son frère Havers, un médecin qui consacre tout son temps à faire des recherches. De nombreux passages sont également consacrés au leader de la Société des éradiqueurs (le mystérieux M. X) ainsi qu’à Butch (policier violent, dépressif et ami de Beth), sans oublier Fritz (le majordome toujours aux petits soins pour Beth et les autres vampires).



On entre ici dans un monde totalement différent mais en même temps parallèle au notre, avec ses propres coutumes et ses mœurs (le lexique au début du livre permet de mieux comprendre cet univers). L’histoire est assez sombre : certaines scènes sont très violentes et les affrontements entre les deux camps très sanglants. Le langage est familier voire même assez cru, ce qui n’arrange rien. Autre petit bémol : les changements de nom des personnages dans la traduction française (Kolher au lieu de Wrath, Audazs au lieu de Darius etc…). A mon avis ça aurait été plus simple de garder les prénoms originaux (Audazs est appelé D. à plusieurs reprises par ses frères et du coup le livre contient pas mal d’erreurs). Mais malgré tout, ce livre est très prenant et c’est avec bonheur que j’ai plongé dans cet univers. C’est un bon roman qui se dévore assez rapidement, malgré ses 576 pages. J’attends donc la suite avec impatience.

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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Pratiquement 10 ans plus tard, j’ai eu une subite envie de reprendre la confrérie de la dague noire, alors me voilà en mode relecture de la série pour arriver à mes tomes non lus.

Ce fut un énorme coup de cœur à l'époque et il le reste encore.

Quel plaisir de retrouver tous nos guerriers de la confrérie de la dague noire.

Ce 1er tome est consacré au roi aveugle “Kolher”, l’histoire se met en place doucement tout en nous présentant les différents guerriers, et ce monde lugubre et sanglant où finalement les vampires ne sont peut être pas les plus monstrueux.

Beth, journaliste, est la fille cachée d’Audazs, (Un des guerriers tué lâchement dans l’explosion de sa voiture) K va alors la prendre sous son aile et lui faire comprendre ses origines. Son père l’ayant abandonné pour qu’elle ne soit pas la proie des éradiqueurs, elle ne connaît pas ce monde vampirique et ne sait pas d'où elle vient.

Kolher n’arrivera pas à retenir ses pulsions, il va se sentir terriblement attiré par cette jeune femme, mais il ne pourra pas s’en eloigner car son changement approche, et elle a besoin de lui pour sa transformation.

Une relation intense va naître entre eux, une attirance incontrôlable va nous donner des scènes de possessivité magnifiques.

Une romance paranormale avec beaucoup d'action et de suspense. Une bonne dose d'humour, de romance et d'érotisme.

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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

J'ai découvert cet ouvrage grâce à quelqu'un qui s'en débarrassait gratuitement. Aimant la Bit-Lit, j'ai donc sauté sur l'occasion... Sauf que j'ai laissé mon acquisition prendre la poussière dans ma PAL. C'était sans compter le hasard qui a voulu que Smoochybooks, une blogueuse que je vous conseille d'aller découvrir, possède elle aussi ce roman dans sa PAL. Nous avons donc réalisé une lecture commune. Merci à elle pour ces échanges très sympathiques qui nous ont permis d'apprendre à nous connaître et à partager nos ressentis vis-à-vis de cette lecture. Cette dernière nous a laissé un avis assez mitigé...



En effet, si le début du récit est prometteur, il s'essouffle assez vite au profit d'une romance plutôt niaise et peu crédible... Pourtant, l'intrigue partait bien : l'héroïne avait un quotidien relativement banal, un homme étrange l'espionnait, elle faisait chavirer quelques coeurs, tandis qu'un étrange meurtre avait lieu du côté des vampires. Ajoutons à cela une prochaine transformation capable de tuer notre jolie brunette... Il y avait vraiment une belle situation initiale qui s'annonçait captivante et dynamique ! Hélas, tout a commencé avec la rencontre aussi fusionnelle que charnelle des deux protagonistes. J'ai été rapidement sceptique, car j'imaginais mal une jeune femme coucher avec un psychopathe la surveillant depuis deux jours derrière sa vitre. Pour ma part, j'aurais paniqué et n'aurais certainement pas réagi comme elle. Autant dire que je ne me suis réellement pas identifiée à Beth.



Sa relation avec le beau et ténébreux Kolher (que j'imagine maintenant comme un catcheur grâce à Smoochybooks^^) m'a exaspérée. Ce n'est pas le sexe qui m'a dérangée, car je l'ai trouvé assez soft, non violent et pas grossier contrairement à d'autres sagas comme "La meute du Phénix". Par contre, je ne conçois pas que l'on puisse tomber amoureux en deux voire trois journées consécutives. Au bout de quatre parties de jambes en l'air, les deux tourtereaux ont avoué qu'ils n'étaient rien l'un sans l'autre, puis ont opté pour s'unir à jamais... Non seulement j'ai trouvé que c'était cliché, mais en plus je n'y ai pas cru. Il aurait fallu espacer davantage le récit dans le temps. Après une semaine dans un petit cocon d'amour, j'aurais pu concevoir la naissance de sentiments très forts. Hélas, ce n'est pas le cas. de plus, on ne parle pas non plus d'âmes sœurs, concept assez récurrent dans la Bit-Lit que je peux considérer comme un argument. Néanmoins, cette union est bien trop rapide et donc, à mes yeux, peu plausible.



Heureusement, la plume de J. R. Ward est assez simple à suivre. C'est fluide, les chapitres s'enchaînent assez vite et on est curieux de voir comment cette histoire va se terminer. L'auteure a même réussi à me surprendre avec le handicap de Kolher. J'étais donc contente de ma lecture durant une centaine de pages. Cependant, j'ai vite réalisé que la romance avait pris le dessus sur le scénario. L'histoire est finalement assez peu développée : je m'attendais à plus de rebondissements, à du suspense autour du dénommé M. X, à l'avancée de l'enquête (que l'on finit par oublier), à un véritable apprentissage de ce qu'est être un vampire ou à des informations sur la fameuse Confrérie de la dague noire ! Finalement, on ne sait pas grand chose dessus... J'ai même eu la sensation d'être face à une "bande de potes vampires" pas vraiment méchants, qui montrent simplement les crocs pour impressionner. Les autres membres méritent d'être développés, cependant, j'ai vu sur internet que chaque tome raconte l'histoire de l'un des garçons qui trouve l'amour. Ils seront donc développés plus tard, chacun leur tour.



C'est donc un avis très partagé avec une pointe de déception que j'ai le regret de vous proposer. Je pense que j'avais des attentes trop importantes vis-à-vis de cette série qui fait beaucoup parler d'elle en bien sur la toile. On dit même que c'est une référence en matière de Bit-Lit érotique... Mais je dois avouer que ce premier tome m'a laissé un petit goût amer. J'avoue être rassurée : mon avis est plutôt similaire à celui de Smoochybooks... Voire celui de L_Bookine, qui m'a récemment avoué avoir également été déçue. Dommage !

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La confrérie de la dague noire, tome 1 : L'am..

Beth, une jeune femme ordinaire, va apprendre qu'elle va faire face à une transition et devenir une vampire. Elle va tomber follement amoureuse de Kolher, le roi désigné des vampires, qui fait partie de la confrérie de la dague noire avec 5 autres vampires afin de défendre leurs congénères face aux éradiqueurs.



Entre passion, haine, violence, vengeance... un livre de bit-lit tout à fait remarquable, une des meilleures histoires de ce genre que j'ai lu jusqu'à présent... bref, une seule envie, continuer la saga le plus rapidement possible.



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