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Citations de Jaci Burton (64)


—C’est Jenna ? demanda Tara.
— Oui.
— Elle est magnifique !
— Oui, mais ne lui dis pas. Elle a déjà un ego démesuré.
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Les journalistes semblaient se satisfaire de harceler les acteurs et actrices en représentation, et les laissaient tranquilles.
— Tu dois regretter de ne pas être venu accompagné de quelqu’un de connu, dit-elle, enfin capable de parler après avoir rempli son estomac.
Mick prit une boisson gazeuse, puis haussa les sourcils.
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Parce que les journalistes nous ignorent plus ou
moins. Si tu étais venu au bras d’une actrice sexy, tu aurais été plus en vue.
Il éclata de rire.
— Chérie, je ne suis pas venu ici pour me faire photographier. Dieu sait que j’en ai plus l’opportunité que nécessaire. Je t’ai amenée ici pour que tu passes un bon moment.
— Oh ! (Elle baissa son regard sur ses genoux, se sentant stupide pour ce qu’elle venait de dire.) Je suis désolée.
Il l’attrapa par le menton.
— Ne sois pas désolée. Mais ne te trompe pas sur les raisons pour lesquelles nous sommes ici. Je ne t’utilise pas pour une séance de photos, Tara. Je t’ai amenée ici ce soir parce que je voulais que tu t’amuses. Pas d’arrière-pensées.
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Les doigts de Michael qui commençaient a remonter lentement le bas de sa robe la brulaient, il pressa son sexe contre sa hanche.
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Toutefois, ses pieds se trouvaient sur ses genoux, et il lui offrait un délicieux massage qui lui donnait des picotements dans la poitrine et faisait monter la chaleur dans sa culotte. Qu’est-ce que cela signifiait ? Cela signifiait que la Californie n’avait pas été la seule zone de sécheresse, ces dernières années.
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Ne permets jamais à un homme de prendre le pouvoir sur toi, ou il te détruira.
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— Intéressants, ces gars-là.
— On peut dire ça comme ça.
Elle s’assit sur le rebord de la fenêtre.
— Ils sont tous incroyablement séduisants. C’est un critère de recrutement dans ton organisation ? Parce que ça pourrait plaire aux filles de traîner au beau milieu de toute cette testostérone ultra sexy, fit-elle remarquer en s’éventant. Oh là là.
Il s’avança vers elle, retirant sa veste et la posant sur la chaise.
— Même pas en rêve, lança-t-il.
— Rêver de quoi ? demanda-t-elle en battant des cils.
— Toi, avec ces mecs. Ou n’importe quel autre mec, d’ailleurs.
Il s’arrêta net devant elle.
Oh, ce que c’était amusant ! Elle étendit les jambes entre les siennes.
— Tu deviendrais possessif avec moi ?
Mac se pencha vers elle et plaça ses mains de part et d’autre de la jeune femme, sur les bords de la fenêtre.
— Je ne deviens pas possessif. Je sais juste que tu es à moi. Et je n’aime pas partager.
— Oh.
— Ça te pose un problème ?
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- Chérie, tu l'aimes, c'est évident.
- C'est compliqué.
- Ma puce, l'amour, c'est toujours compliqué. Si c'était facile, ce ne serait pas amusant de gagner à la fin.
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« Elle prit une grande inspiration et exhala un soupir théâtral.
— Très bien.
Elle referma l’ordinateur et alla mettre les plats dans l’évier. Gavin s’avachit dans son siège et termina son vin en la regardant reporter sa frustration sur les casseroles.
Elle était mignonne quand elle était contrariée. Il la laissa s’énerver dans la cuisine un moment, puis apporta son assiette et l’aida à finir la vaisselle. Elle ne lui adressa pas un mot ni un regard, ce qui signifiait soit qu’elle était fâchée contre lui, soit qu’elle se préparait à enchainer sur le deuxième round.
— Qu’est-ce que tu fais en dehors de la saison ?
Deuxième round.
— Je viens ici pour pêcher et me reposer. Je vais voir mes parents. J’assiste aux matchs de Mick. Je me détends.
Elle s’essuya les mains sur un torchon à vaisselle.
— Tu cuisines ?
Il esquissa un sourire.
— Oui. Je cuisine.
— Seul ou avec ta mère ?
Il eut un petit rire.
— Je n’ai plus besoin de ma mère pour cuisiner, Elizabeth. Je suis un grand garçon, maintenant, et je suis capable de me servir du four tout seul.
— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. Est-ce que tu essaies de nouvelles recettes en compagnie de ta mère ? Est-ce qu’elle t’aide ou est-ce que tu inventes des plats tout seul ?
— Je passe pas mal de temps tout seul en dehors de la saison. Donc oui, je cuisine pour moi seul. Pourquoi ?
Elle plia le torchon et le suspendit à son support.
— Pour rien.

Pour rien ? Mon cul ! Mais il ne l’interrogea pas d’avantage, car il ne voulait pas l’encourager à poursuivre son idée ridicule de lui, cuisinant et faisant sa promotion par ce biais.»
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- C'est mon boulot de flipper. Je dois m'assurer que je n'élève pas des petits cons. Il y en a déjà beaucoup trop sur cette terre.
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- Dit comme ça, on dirait que c'est facile. Mais l'amour n'est jamais simple. Quand on aime quelqu'un, on ne veut pas s'en séparer.
- Pour ce qui est de l'amour, je n'en sais rien, mais ce que je sais, c'est qu'oublier une partie de soi pour le bonheur d'un autre, ça ne rend pas heureux sur le long terme. Tu n'es pas d'accord ?
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- Je suppose que je ne vais pas beaucoup dormir ce soir, n'est-ce pas ?
- Le sommeil, c'est surfait. Tu dormiras plus tard.
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Elle était sans doute un peu ivre, ce soir, et elle savait qu’il l’était aussi ; tout cela ne se reproduirait probablement pas. Aussi, elle s’efforçait de graver chaque instant dans sa mémoire afin de ne jamais l’oublier. La traction de ses lèvres sur son mamelon tendu, la vue de sa tête sombre contre son sein pâle, son odeur qu’elle aspirait profondément et, tout simplement, ce qu’elle éprouvait : le sentiment de se consumer entièrement pour lui.

Être prise par lui était au cœur de tous ses fantasmes. Elle savait à quel point ce serait bon.
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"N'abandonne jamais. Quoi que tu fasses, n'abandonne jamais tant que tu n'es pas certaine d'avoir tout donné."
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- Rien ne résiste à ceux qui croient en eux-mêmes.
- J'ai peur, Ty. Tu avais raison. J'ai peur de l'échec.
Il s'approcha d'elle, tout près.
- C'est normal d'avoir peur de l'échec. C'est le cas de tout le monde, et ceux qui prétendent le contraire disent des conneries. Mais ce n'est pas parce qu'on a peur qu'on ne doit pas tenter sa chance.
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En se levant du canapé, elle attrapa la télécommande et revint quelques minutes en arrière sur la vidéo, au
moment de son touchdown contre La Nouvelle-Orléans.

— C’est un but décisif. Il change la donne.

Elle repassa l’extrait où Cole fonçait tout droit jusqu’à la zone d’en-but. Une fois le point marqué, toute l’équipe explosa de joie : un moment de jubilation que tous partageaient les uns avec les autres. Quelques-uns lui tapèrent dans la main, mais il n’eut pas droit à une vague de coéquipiers déferlant sur lui les bras en l’air pour le soulever en héros.
Typique.
Elle passa la vidéo en lecture accélérée.


— Regardez là. Lorsque Harrell marque un touchdown en plongeant sur un mètre de distance, toute son équipe vient le féliciter. Même chose pour la fabuleuse passe de Mohan : ils lui tapent dans le dos et cognent leurs casques en signe de victoire. Tandis que vous, vous avez fêté votre touchdown seul à l’autre bout du terrain.
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— Le bar est fermé.

Il contourna le comptoir pour se servir. Elle croisa les bras et le foudroya du regard.

— Tu n’es pas chez toi, ici, tu sais !

Il décapsula sa bouteille et but une longue gorgée avant de pousser un soupir de bonheur.

— Le billard me donne soif, merci. Et je sais que ce n’est pas chez moi mais chez tes parents, et ils m’apprécient.

— Finis ta bière, que je puisse partir !

Il retourna s’asseoir sur son tabouret.

— Qu’est-ce qui te déplaît en moi ?

Elle préféra ne pas répondre et continua à frotter le comptoir.

— Mon physique ?

Oh, certainement pas ! Il était si beau que sa vue suffirait à donner envie à n’importe quelle fille de jeter sa culotte par-dessus les moulins. Non qu’elle ait l’intention de le lui avouer…
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Eddie se débattit avec un défenseur avant de pouvoir refaire passer le disque à Ty. Ce dernier se glissa derrière le filet avant de faire une passe à Victor, qui se tenait prêt, à la droite du gardien, et n’eut plus qu’à l’expédier au fond du filet.

Les lumières du tableau clignotèrent, signalant le changement de score.

La foule bondit sur ses pieds pour les applaudir. Tyler s’approcha d’Eddie et de Victor pour toper vigoureusement. Il était temps de finir la partie. Quand la rencontre prit fin, Tyler était à la fois lessivé et d’humeur à faire la fête.

— Vous avez envie de sortir vous amuser ce soir, les gars ?
demanda-t-il.

Eddie acquiesça. Célibataire, vingt-huit ans, il était toujours d’accord pour aller célébrer une victoire.

— Tu le sais bien. Du moment que tu paies.

Ty secoua la tête.
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- Tu as déjà vu ce film ?
- Non, je ne l'ai jamais vu, mais ce genre de films, c'est prévisible. Un garçon rencontre une fille, ils partagent une histoire romantique en se persuadant de ne pas tomber amoureux, mais à la fin du film ils ne peuvent plus se passer l'un de l'autre et ils se débrouillent pour finir ensemble.
Alicia s'affala à nouveau dans les oreillers et frotta ses pieds contre ceux de Garrett.
- On dirait notre histoire.
Avec un regard de tendresse, il sourit et emmêla ses doigts avec les siens.
- Si la personne que tu aimes en vaut la peine, tu dois déplacer des montagnes pour que ça fonctionne.
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— Oh, je crois qu’il y a mon émission préférée qui passe à la télé, dit AJ en se levant du canapé comme s’il avait le feu aux fesses.
— Moi aussi, fit Rick qui le suivit de près.
— Restez ici, lança Lily. Pas besoin de fuir, les mecs.
— Il y a une dispute qui se prépare. Une dispute homme/femme. On ne veut pas se mêler de ça, indiqua Spencer.
— Et moi qui vous prenais pour des durs, fit Lily en haussant un sourcil.
— Les femmes en colères sont nos pires ennemis, affirma AJ. 
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Je n’ai jamais rien vu de tel jusqu’ici. C’est tellement érotique…
Tu aimes masturber un homme, Déréna ?
Oui… O mon dieu, oui !
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