– Tu sais … quand on s’amusait à donner des formes au nuage ?
Je me contente de hocher la tête.
– Eh bien, ce que je ressens pour toi, ça flotte avec eux…
On est au-dessus de tout et c’est ce qui fait que c’est aussi beau. Je ne pourrai jamais te dire que je t’aime parce que ça ne serait pas assez fort. Ces trois mots ne représentent absolument pas ce que nous sommes. Sans toi, j’ai l’impression que je ne pourrais plus respirer. En fait, je ne t’aime pas, Sacha Bourgeois : je te respire.