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3.4/5 (sur 237 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Bisbee, Arizona , le 29/04/1908
Mort(e) à : Portales, New Mexico , le 10/11/2006
Biographie :

Jack Williamson était un écrivain de science-fiction américain.

Jack Williamson passe les premières années de sa vie dans une famille de fermiers qui émigre en 1915 au Nouveau-Mexique à la recherche de nouveaux pâturages. Par la suite, sa famille s'occupera d'élevage de chevaux à la place de la culture céréalière.

Il publie son premier texte, "The Metal Man", en 1928; il ne cessera plus d'écrire. Dans les années 1930, déjà reconnu comme l'un des grands de la science-fiction, il fait le bonheur d'un jeune adolescent appelé Isaac Asimov en lui envoyant un carte de félicitations pour sa première publication.

Par la suite, une partie de l'argent gagné avec ses premières publications lui permettra de voyager et de rencontrer de nombreux auteurs. Il se liera en particulier avec Edmond Hamilton et cosignera certains de ses travaux avec, entre autres, Frederik Pohl.

Comme beaucoup d'auteurs de cette période, il commence par écrire du Space opera, mais, par la suite, il étoffe son registre en écrivant par exemple des romans de fantasy ("The golden blood"), ou sur les robots ("Les Humanoïdes"). L'une de ses séries les plus connues, La "Légion de l'espace", reprend clairement le thème des Trois mousquetaires; la suite de cette série ("La légion du temps") inspirera des années plus tard le film "Terminator".

Pendant sa carrière de plus de soixante ans, il publie plus de 50 romans, certains sous le pseudonyme de Will Stewart. Il obtient de nombreux prix littéraires dont, en 1975 le Grand Master Award de la Science Fiction and Fantasy Writers of America dont il est le président de 1978 à 1980.
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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Les hommes tendent eux-mêmes les pièges où ils se font prendre.
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Giles Habibula : Quelque chose vient de prendre un échantillon de ma personne.

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Qu'il est faible, celui qui ne connaît que sa propre force.
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Le temps était devenu un ennemi lui aussi, un ennemi furtif, fugitif, s'échappant heure par heure, minute par minute.
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N'oubliez pas qu'Espace et Temps ne sont pas deux réalités, mais deux aspects d'une même réalité.
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La liberté?
Fixez votre prix. Quelque part, un homme la désirera au point de tout donner pour l'obtenir...
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Les petits choix s'empilent les uns sur les autres jusqu'à ce qu'une grande décision devienne nécessaire.
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Il essayait, tout en parlant, de se souvenir du nom d’une certaine créature mythologique, fascinante, aussi charmante qu’April Bell, sûrement. Dans la Fable, elle avait eu la désagréable habitude de métamorphoser les hommes en bêtes malpropres. Mais comment s’appelait-elle… Circé ?
Barbee avait réussi à ne pas prononcer son nom à haute et intelligible voix, il en était sûr. Un mot amusé échappé des lèvres vermeilles de la jeune fille, une lueur de malice amusée dans son regard, ne lui en avaient pas moins donné l’impression fugitive qu’il l’avait bel et bien prononcé, alors qu’il ne savait pas même au juste ce qui lui avait pris de songer à cette magicienne mythologique.
Oui, il essayait de s’y retrouver. Il avait lu un peu de Freud, un peu de Menninger, feuilleté le Rameau d’Or de Frazer. Le symbolisme de ce genre de récits folkloriques, il le savait, exprimait les craintes et les espérances de l’homme primitif, et cette notion qui venait de surgir dans son esprit devait correspondre à une préoccupation de son inconscient.
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Le sergent du corps de garde, celui dont les traits paraissaient taillés dans du granit, la découvrit debout devant la haute grille d'acier, levant vers lui des yeux timides et implorants. Une petit épave crasseuse en robe jaune bon marché. Ses pieds nus et brunis traînassaient, mal à l'aise, sur l'asphalte brûlant, et il pensa d'abord qu'elle était venue mendier quelque pitance.
"S'il vous plaît, monsieur, c'est ici l'Observatoire Starmont ?"
Elle semblait essoufflée et effrayée.
"Puis-je voir le directeur, s'il vous plaît ? Le docteur Clay Forester ?"
Ses yeux mouillés brillèrent.
"S'il vous plaît, monsieur ! C'est très, très important !"
Indécis, le sergent la regarda en fronçant le sourcil et se demanda comment elle était parvenue jusque-là. Elle a dans les neuf ans, songea-t-il, et la tête trop grosse. Elle avait les traits creusés, burinés par la famine. Ses cheveux noirs et roides étaient coupés courts et soigneusement peignés.
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The entire industrial machine was owned by the state, from mines and factories to stations where the products were distributed to the consumer. Every citizen was permitted to work as much or as little as he desired, at whatever task he performed most efficiently, being paid proportionately to the value of his services and the time he worked, in tokens of exchange. The entire production of industry was thus returned to the workers, physical and mental, except such a part as was necessary to maintain the equipment, to provide the necessities of life to all, and to pay government expenses such as that for maintaining the climate-control stations.

Laws were few and crimes fewer, he learned. Education took the place of policemen. Since the necessities of life were free to all men, and its luxuries might be had abundantly for a little work, men were not driven to crime by unemployment and resulting need, as they are in our day.

[TRADUCTION]
L’ensemble de la machine industrielle appartenait à l’État, des mines et des usines aux stations où les produits étaient distribués au consommateur. Chaque citoyen était autorisé à travailler autant ou aussi peu qu’il le souhaitait, quelle que soit la tâche qu’il accomplissait le plus efficacement, en étant payé proportionnellement à la valeur de ses services et au temps qu’il travaillait, en jetons d’échange. Toute la production de l’industrie a ainsi été rendue aux travailleurs, physiques et mentaux, à l’exception de la partie nécessaire à l’entretien de l’équipement, à la fourniture des nécessités de la vie à tous et au paiement des dépenses gouvernementales telles que celle pour l’entretien des stations de contrôle climatique.

Les lois étaient peu nombreuses et les crimes moins nombreux, a-t-il appris. L’éducation a pris la place des policiers. Puisque les nécessités de la vie étaient gratuites pour tous les hommes, et que son luxe pouvait être abondamment pour un peu de travail, les hommes n’étaient pas poussés au crime par le chômage et les besoins qui en résultaient, comme ils le sont de nos jours.
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