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Citations de Jackie Collins (144)


Il dévorait le Wall Street Journal, passait au Financial Times et se plongeait ensuite avec un égal enthousiasme dans les feuilles de choux, en se délectant des faits divers juteux. Il aimait savoir tout, même les choses les plus inutiles. Du monde des affaires au monde des échos douteux, il absorbait l'information sous toutes ses formes, comme une éponge.
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Une fois qu'on apprenait à leur mentir, la plupart des hommes étaient des proies faciles.
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Un type n’aime pas se dire qu’il doit payer. Ceux qui sont vraiment malins, ce sont les vedettes de cinéma et les importants hommes d’affaires. Ils savent que c’est le seul moyen.
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A considérer honnêtement les choses, en tout cas, il n'avait rien de l'amoureux transi.A la vérité, il ne l'avait jamais été de sa vie. Il avait trente-neuf ans, l'argent et la gloire. Une brève expérience du mariage l'avait refroidi à jamais. Il avait connu une multitude de femmes. Et, pourtant, il n'avait jamais rencontré ce dont tout le monde parlait.L'amour.Après tout, ça n'existait peut-être pas.
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Dans la vie, il y a toujours un prix à payer pour toute chose. Et je ne veux pas parler ici d'argent. Vous devez réaliser, jeune fille, qu'avec tout votre argent et vos relations, vous ne serez jamais heureuse si vous vous contentez de passer vos jours dans un cocon personnel. Il faut apprendre à partager, lire, se mêler aux autres et donner de vous-même. Ce sont là des expériences enrichissantes. Apprenez à grandir, mademoiselle Stanislopoulos, et votre vie aura peut-être un sens.
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Elle savait bien, instinctivement, que l'énorme, le fabuleux héritage qui allait lui revenir, l'écraserait encore plus de complications nouvelles. L'argent n'avait pas rendu sa propre mère heureuse, loin de là. Pauvre Olympia, découverte un jour dans un hôtel minable de New York, avec une star du rock, au nom prédestiné de « Flash »! Tous les deux drogués à mort. Pauvre destin pour une femme qui, en principe, avait tout pour elle. Mais le principe de l'argent facile l'avait menée à sa perte.
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Elle possédait en effet la meilleure assurance qui fût pour passer inaperçue :
elle avait la peau noire. Pourtant, quand elle pénétra dans le grand magasin,
elle se sentit le point de mire. Noire ou pas, tout le monde la dévisageait.
Elle réalisa alors, mais trop tard, qu'elle détonnait parmi ses semblables.
Elle puait l'argent à plein nez. Elle se morigéna intérieurement. Comment avait-elle pu oublier d'enlever sa bagué en diamant, son clip en diamant et ses boucles d’oreilles en diamant avant de venir?
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Les filles. Toutes les mêmes. Il en avait connu suffisamment pour savoir exactement comment elles étaient. Dans toutes ses pérégrinations, il n’en avait jamais rencontré une seule dont il ait eu envie et qu’il n ait pas pu avoir. C’était difficile de comprendre comment de pauvres imbéciles se donnaient tant de mal pour s’en trouver une, parce que c’était si facile : c’était un peu comme la pêche à la ligne. On lançait l’hameçon. On ramenait doucement le fil. On attrapait le poisson. Et puis on filait. Sans traîner.
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Il se souvint vaguement que l’un de ses amis lui avait dit que faire l’amour, c’était comme l’équitation : on se mettait en selle et hue cocotte!
Personne ne lui avait dit que ce serait un parcours aussi difficile. Et puis ça arriva. La sensation la plus excitante, la plus vibrante, la plus incontrôlable qu’il eût jamais éprouvée. Quelle merveille!

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Les riches doivent être vigilants. Leurs vices leur coûtent toujours beaucoup
plus cher qu'aux autres.
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Il eut quelques aventures avec des Blanches, et ne trouva aucune différence entre elles et ses précédentes conquêtes, qui avaient toujours été des jeunes filles noires. Une chatte était une chatte, de quelque couleur qu'en fût l'emballage.
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Avec de l'argent, on pouvait tout acheter,sauf la véritable amitié.
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Liberty aimait sa cousine, mais elles n’étaient définitivement pas sur la même longueur d’onde. Cindi ne pensait qu’à coucher et s’amuse; Liberty, elle, voulait voir son talent reconnu, et travaillait dur à sa musique. La dernière chose dont elle avait besoin était d’aller faire la fête chez Slick Jimmy.

Plus tard, elle coinça Beverly.

– Tu étais sérieuse quand tu m’as dit que tu pouvais me faire rencontrer un agent de mannequins?

Affairée à emballer ses pinceaux et son maquillage dans un grand sac Fendi, cette drnière répondit:

-Bien sûr. Pourquoi? tu serais d’accord?

-J’aimerais bien, dit-elle d’un ton hésitant. Je veux dire, si tu penses vraiment que j’ai le profil.

-Ne commence pas à me baladr, l’avertit Beverly. si je te présente, tu dois être sérieuse.

-Je le suis, lui assura-t-elle.

-Dans ce cas, allons-y. Je vais téléphoner à une amie et organiser quelque chose.

-Vraiment?

-Marché conclu ma belle. Ils vont t’adorer!
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Le métier de mannequin était dur et la plupart des filles qui réussissaient se donnaient beaucoup de mal pour se maintenir au sommet.
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Vous ne pouvez pas mettre dehors quelqu’un qui a déjà démissionné.
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Les hommes... Qu’est-ce qu’on pouvait attendre d’eux? Ils n’étaient jamais fidèles, jamais sincères.
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La facilité n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux.
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Être jolie, c’était une chose, mais être sage, c’était mieux. Son père était intelligent. Il avait toujours enseigné à sa fille que compter sur son exceptionnelle beauté pour arriver était une erreur. Mieux valait réussir un examen avec mention. Obtenir de bonnes notes.
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Tomber les filles, c’était sa spécialité. À coup sûr, c’était plus drôle que faire ses devoirs. Et c’était certainement mieux que de passer son temps chez lui à regarder son père se soûler pendant que sa mère se tuait à travailler pour fournir en bière son bon à rien de mari.
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...il n’y avait rien de plus important au monde que d’arriver à ses fins.
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