Citations de Jackie Lynn Neely (101)
— ... Un adulte ne fuit pas, il affronte les difficultés, quelles qu’elles soient.
— Tout à fait. Mais, il y a l’exception à la règle. Quand par exemple, on a affaire à des gens plus que bornés, il paraît alors plus que raisonnable de battre en retraite.
Un homme qui avait l’habitude de fréquenter des femmes sophistiquées et d’une classe sociale bien différente de la sienne, ne serait certainement pas attiré par une oie blanche…
Karine était une très belle câpresse, qui était beaucoup plus petite que Jade, mais qui avait également, des courbes bien plus féminines. Et Mark se rendit très vite compte qu’elle était un véritable boute-en-train. Vive, pétillante et sans complexe, elle n’avait pas sa langue dans sa poche, et était d’un abord facile et agréable.
L’amour, le respect, la confiance et la tendresse qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre démultipliaient leurs sensations.
Les instants qui suivirent, ils s’apprivoisèrent à nouveau, se caressèrent tendrement, explorèrent longuement leurs corps devenus impatients, et s’unirent enfin, atteignant une intensité dans le plaisir qu’ils n’avaient encore jamais exploré. Ils avaient l’impression d’être complémentaires, d’être deux parties d’un tout.
Ce qui est à toi, ou pour toi, ne peut pas être emporté par la rivière. Autrement dit, si elle t’est destinée, rien ne changera cela…
Ce n’était qu’une relation sexuelle entre deux adultes qui en avaient eue envie. Tel qu’elle l’avait prévu dès le départ, il n’y aurait pas de suite.
Et c’était là, une condition sine qua non, à sa nouvelle approche de la vie.
La jalousie, tel un poison, diffusa tout à coup ses agents nocifs en elle avec une telle force qu’elle en fut surprise.
Cependant, de nombreux historiens émettraient des doutes sur cette « influence » que la sulfureuse Joséphine aurait eue auprès de l’empereur. En effet, pour eux, Napoléon ne laissait jamais les femmes se « mêler » d’affaires politiques…
Il faut continuer à espérer, à avoir des rêves. Je suis sûre que tu vas finir par rencontrer l’homme de ta vie…
Je veux absolument connaître le fin mot de cette histoire palpitante. Joanna va-t-elle réussir ou non, à oublier… Que dis-je ! À piétiner sa vraie nature, et devenir une redoutable séductrice capable d’attraper dans ses filets non pas un, mais des inconnus, sous le soleil de la Martinique ? Suspense insoutenable !
Je ne veux plus dépendre de personne… Et comme je suis du genre à m’attacher trop facilement, ma première résolution pour ma toute nouvelle vie sera : le sexe c’est du sexe, rien de plus. Je veux oublier l’éducation que j’ai reçue et vivre dans mon siècle. Ce n’est pas parce qu’on couche avec un homme qu’on doit forcément éprouver des sentiments pour lui. D’ailleurs, l’amour n’est qu’une illusion.
Tout n’était pas rose ! Loin de là ! Par exemple, le changement d’horaire en douze heures avait été pénible les premiers mois. Mais on finit par s’habituer à tout…
Ne perdons pas notre temps à regretter. Profitons du temps qu’il nous reste, quel qu’il soit. Je ne veux penser à rien d’autre qu’à ceux que j’aime…
Le regard de Mark posé sur elle, plus hypnotique que jamais, où elle pouvait lire de l’amour et de la tendresse…
Le chant des pipiris perchés plus loin sur les branches de l’amandier-pays…
Le vol stationnaire d’un colibri aux couleurs chatoyantes...
Le bruit des vagues venant doucement s’échouer sur la plage à quelques mètres...
Le doux et envoutant parfum des flé-nowèl…
Le chatoiement de la couleur des fleurs sous la luminosité de l’éclatant soleil de la Caraïbe…
La saveur si particulière du fruit qu’on a soi-même cueilli dans l’arbre…
Tous ses sens étaient exacerbés. Tout lui paraissait intensifié et exalté…
Oui, pour Jade tous ces petits « riens » étaient aussi beaux et précieux que des diamants.
Nous sommes mariés, et pour moi, la fidélité est l’une des constituantes les plus importantes du mariage.
En général, les gens n’apprécient pas beaucoup ce poisson parce qu’il a bien trop d’arêtes. Ce qui est dommage, parce que sa chair est très goûteuse.
Ses relations avec ses proches s’étaient dégradées depuis quelque temps. L’éloignement ne pourrait qu’apaiser les tensions.
Elle passait un maximum de temps auprès des patients, et essayait d’être à leur écoute. À cet âge, c’était surtout d’une oreille attentive, dont la plupart avaient besoin.
Ce véritable apollon, à la haute stature athlétique et à la chevelure d’ébène était aussi froid qu’il était beau, constata-t-elle amèrement