Elles ne connurent pas les cours de danse classique, les leçons de tennis ou d'équitation de leurs compagnes et s'en moquèrent : elles avaient la Diguière. Princesses déguenillées couronnées de liseron, elles régnaient sur les orties, changeaient les citrouilles en Rolls-Royces, les chats en princes et la pauvreté en fantaisie.