Depuis qu'avaient commencé sur ces rebords de monts d'Auvergne les chevauchées militaires du roi Henri II d'Angleterre, duc d'Aquitaine par sa femme Aliénor, des bandes de mercenaires se répandaient dans les campagnes, brigands autant que soldats, pillant les biens, les troupeaux, les récoltes, brûlant les maisons, harcelant les bourgs, rançonnant les abbayes, ici un jour, là le lendemain. Ils s'abattaient soudain sur vous comme une grêle qui dévaste une vigne et épargne l'autre. Sait-on pourquoi?
La nuit tombait quand finirent les vêpres solennelles dites en l'abbaye pour la fête de Saint-Martin. Le champ de foire s'était à nouveau vidé au profit de l'église, car à la piété se joignait le désir de ne pas manquer la beauté du spectacle.
Les ors brillaient sur les chasubles et sur les encensoirs, à la lueur de cent cierges de cire fine, et la châsse où reposait en relique un morceau du manteau du saint éblouissait du feu des pierreries.
Le chef de la vicomté de Pleaux était un bel homme jeune, brun, monté sur un alezan magnifique. Il portait avec élégance un manteau de drap vert brodé de petit-gris et orné de franges de soie. Un fermail en émaux cloisonnés le tenait attaché à l'épaule droite, laissant voir, par la fente de côté, un surcot en soie écarlate. Sur sa tête, un chapel galonné d'orfroi, orné d'une plume de paon.
Elle avait, sous l'étroit bandeau de lin bleu encadrant son visage, des traits d'une grande pureté et des yeux à l'expression grave. Son corps mince disparaissait dans les plis d'un manteau de velours écarlate. L'encolure de sa robe de brocart bordée d'hermine accentuait la finesse de son cou. Elle portait de lourds bracelets d'or et, à l'index droit, une bague ornée d'une pierre verte.
Un jour que le roi Arthur chassait dans la forêt avec son neveu Gauvain, Keu le sénéchal et plusieurs autres chevaliers, ils virent s’avancer vers eux un étrange cortège.
Les montures des cavaliers qui le composaient, leurs armures, leurs vêtements, tout était d’un blanc brillant de neige. Ils escortaient un jeune homme et une dame, également vêtus de blanc, et tous deux d’une grande beauté.
La dame, en voyant le roi, s’avança vers lui et le salua. Le roi répondit courtoisement à son salut et lui demanda qui elle était.
Elle dit avec un sourire mystérieux :
— On me nomme la Dame du Lac. Vous m’avez connue sous un autre nom, mais là n’est pas la question. Je vous amène ce jeune homme pour que vous le fassiez chevalier quand il le demandera. Il a déjà ses armes.
Le roi était à la fois étonné de la demande et curieux de savoir qui pouvait être la Dame du Lac.
C'est l'histoire de trois chevalier de la table ronde : Arthur ; Perceval et Lancelot.
L'histoire commence par la naissance du roi Arthur. Quand Arthur était encore jeune enfant une épée tombe dans un rochet ,tous les nobles essayer mais il n'y arrivait pas ,alors Arthur demanda d’essayer,il lui accorde. Arthur prend l'épée d'une seul main et la retire comme une épée dans du beurre. Et l'épée s’appelle Excalibur.
Où est le travail promis? Partout, la dépression, la crise, les ateliers ferment, les faillites se multiplient, le chômage est général! Et tout ce que nous avons trouvé à faire, c'est d'ouvrir des ateliers nationaux! Une aumône déguisée, un pêle-mêle de tous les métiers, maçons, tisserands, ébénistes, bijoutiers, imprimeurs! Et tu sais qui ils invectivent? Pas les bourgeois, non! La république!
J'ai bien aimé ce livre car il y a de l'aventure.En revanche je n'ai pas trop aimé les deux premiers chapitres car ils sont ennuyants.L'action qui m'a le plus marqué est dans le chapitre XIII qui s'appelle les gorges NAHR EL KELB quand ils se font attaquer. Guillaume le héros est le plus attachant des personnages.
Dans les misérables logements bordant les deux cours le calme, en revanche, régnait, ponctué des habituels cris, coups et injures qui orchestraient ici, tristement, la vie.
— Nous, les pêcheurs de Provence, on a la passion de la mer, c'est entendu, mais on ne navigue ni quand il y a du mistral parce que c'est dangereux, ni quand il pleut — parce qu'on se sent triste — et ça c'est pire encore.
— Alors vous n'allez en mer que quand il fait beau ? demanda le diable furieux.
Le pêcheur le regarda avec pitié :
— Vous ne comprenez vraiment rien à rien ! Travailler quand la nature est en fête ? Ah, Vaï, quel péché ce serait ! Ces jours-là, nous faisons dimanche du matin au soir.