Vidéo de Jacqueline Monsigny
Comme chaque soir à la même heure, la Pieuvre Noire faisait retentir un long sifflement. C'était une sorte d'appel lancinant, impératif, presque amoureux pour les mâles des environs. trois fois par jour, le même cri sortait des entrailles du monstre.
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Depuis trente-sept ans, Mike travaillait à l'intérieur de la "Pieuvre Noire", la fonderie de Pontiac. Lieu mythique ainsi nommé par les hommes en raison de sa forme: une énorme masse sombre, dont les gigantesques tuyaux d'aération partaient du cœur du bâtiment , comme les bras d'un poulpe géant.
Dans les studios, les spécialistes savent qu'il faut créer des stars. Seules celles-ci remplissent les salles. Les productions lancent des slogans. MGM annonce "More stars than there are in heaven" - plus d'étoiles qu'il y en a au ciel.
Paramount crie : "Famous players in famous plays."
Ce roman à tendance "terroir" se déroule dans ma région à 15 km de chez moi plus précisément donc comment ne pas trouver d'attrait à cette histoire.
Au 18e siècle - Noémie est une maitresse femme, pleine d'ambition et de réussite, malgré les embuches qu'elle rencontre elle fait son bonhomme de chemin et quel chemin.
Un espoir pour les femmes, une révolution ... J'ai relu ce titre avec plaisir, la suite au prochain tome
Sans avoir la moindre idée de l'accord diabolique venant d'être conclu, Harald r et Zelma embarquent un beau matin de ce superbe misseri d'été sur le Long Serpent.
"Yul! Yul! Yul!"
Sur les quais, le peuple crie son enthousiasme. Le roi de mer repart. Il reviendra les caisses pleines de victuailles et de trésor.
A la poupe du Knörr, Zelma, ses longs cheveux blonds au vent, s'appuie contre la crinière noire de Sigürör. De ses yeux turquoises rendus plus verts par les reflets de la mer, elle regarde la côte ciselée du fjord s'éloigner.
Ressentant soudain un pincement au cœur, Zelma, les larmes aux yeux, a la brusque impression qu'elle ne reviendra jamais dans son pays viking.
On n’a pas le droit de juger les gens sans les connaître vraiment !
Maladie de l'âme ! C'est pire que les blessures du corps, la signora Valentina peut seule se guérir, il faut qu'elle le décide, mais si elle ne le veut pas, la science est impuissante ! ....
Don Ramon répugnait à la mission que lui avait confiée son maître ; pourtant, en serviteur fidèle, il sonna la cloche du couvent des clarisses peu après le lever du soleil.
– Je dois voir la señora Trinita Orlando !
– Impossible, Señor, vous êtes devant un couvent de saintes dames et notre règle très stricte vous empêche...
Don Ramon interrompit le discours de la tourière.
– Sur ordre de Sa Majesté le roi, vous m'ouvrez, ma sœur, ou je fais défoncer la porte par la garde.
- Et puis quoi encore ? Pour le coup, j'aurais l'air d'un Yankee. Pas question, petiote ! Mon pilon et moi on va très bien ensemble. Non mais, en v'là-t'y des idées, un Yankee ! C'étions tous des sauvages là-bas. Tes biaux invités y m'prendront tel que j'suis ou pas du tout !
Il n'y avait plus un objet d'art, pas une seule toile. Les Boudin, Monet, Manet, Sisley, Courbet, Jongkind que les allemands n'avaient jamais trouvés s'étaient tous consumés sous la paille.
Je ne connaissais pas du tout ce personnage, qui a pourtant bien existé. J'ai été ravie de le suivre tout au long de sa passionnante vie.
Au gré des rencontres, Lorenzo forge son caractère. Entre les hauts et les bas, sa vie est une mine d'or en matière d'information historique. Et puis quel plaisir de lire Jacqueline Monsigny. Elle arrive à nous emmener avec elle dans l'histoire.
C'est vraiment un excellent roman historique qui donne envie de se plonger dans les oeuvres de Mozart !!!