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Critiques de Jacques-Bénigne Bossuet (21)
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Oeuvres

Oui, je sais… Vous vous dites : « Pas possible ! Elle a tourné catho, Nastasia ?! » Eh bien, soucieuse de lever rapidement tout suspense sur cette question, je m'empresse de répondre non, définitivement non. Mais Bossuet, par contre, m'a mis une sacrée claque, mes aïeux, quelle claque !



S'il s'était agi de tout autre chose que de religion, ce n'est pas 4, ni 5, ni mille que je lui en aurai donné, d'étoiles : c'est toute la Voie lactée ! Quel style ! Que c'est beau, mais que c'est beau, nom de dieu ! Quel dommage de mettre un si grand talent littéraire au service d'une si piètre cause.



Sur le fond, cette collection de sermons, d'oraisons funèbres et de panégyriques n'a vraiment aucun intérêt à mes yeux. En revanche, sur la forme, l'excellence de la langue produite, la cadence absolument magnifique des phrases, des paragraphes ; la somptuosité de la ponctuation, en un mot, la magie de ce style, si raffiné, si épuré, si cristallin m'ont vraiment coupé le souffle et ravi les oreilles.



J'ai eu cent fois raison de passer outre mes a priori religieux, dieu me pardonne, pour aller goûter de ce nectar-là. Alors c'est vrai, pour nous autres athées jusqu'au trognon, la constance des références au seigneur, aux évangiles ou aux pères de l'église ont un côté rasoir très affirmé, mais juste pour le plaisir d'entendre sonner la langue, juste pour se rendre compte de ce que l'on peut faire de beau avec cette application pour smartphone qu'on nomme langue française, à l'heure où tout se logge, où tout se dispatche, où tout se keep in touch, où tout se bitlite et se heroicfantasyte, ça fait du bien de lire du vrai français qui sonne, qui vibre comme un diapason à nos oreilles engourdies.



Paul Valéry disait de lui qu'il était probablement le plus grand poète français de tous les temps et « qu'il écrivait ce qu'il voulait ». Je peux désormais comprendre une telle affirmation, aussi surprenante puisse-t-elle paraître. En fait, pour bien me rendre compte, j'aimerais ne pas comprendre le français : ainsi pourrais-je jouir uniquement de la musique (tant mélodie que rythme) qu'a composé Bossuet. C'est quelque chose d'incroyable, qui est clairement et indubitablement de la prose, et qui pourtant est cadencé, musical et sonnant comme de la poésie. Un formidable entre deux, unique selon moi dans la littérature française.



Alors, tant pis pour Jésus, avant que le franglais n'ait grignoté tout l'espace, je me suis fait un petit shoot aux good vibes de Bossuet. Et, entre nous soit dit, les Foenkinos, les De Vigan, les de Kerangal, vous aurez beau suer, vous n'êtes pas près de tutoyer l'altocumulus avec Bossuet, c'est moi qui vous le dit. Croyez-moi, écrivains d'aujourd'hui, de demain, il y a des choses à prendre chez ce grand maître ès-prose qu'était Jacques Bénigne (pas si bénigne que ça d'ailleurs) Bossuet. Ceci étant, ce n'est ni un sermon ni un panégyrique, mais juste mon minuscule avis, autant dire, pas grand-chose.
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Oraisons funèbres

Une merveille qui accompagne la mort, bien que ce soit la mort des grand hommes mais la mort reste la mort...en fait par la beauté et la profondeur des mots, on n'oublie par moment qu'il s'agit bien de la mort...
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Méditation sur la brièveté de la vie/ Panégyriques/..

Sacré Bonhomme, ce Jacques-Bénigne ! Et merci Nastasia pour ta belle critique sur cet homme à la plume exceptionnelle.... critique qui m'a incité à lire ce petit livre contenant 3 oeuvres. Une "méditation sur la brièveté de la vie" ( 1648 ), où il nous expose que la vie n'est qu'un amas de clous attachés à une longue muraille ; un "sermon sur la Providence" (1656 ), où il soulève le paradoxe entre la possible belle vie sur Terre des impies et celle plus terne des justes ; un "sermon sur la mort" (1662 ) où il répond superbement au paradoxe précédent. 



La qualité d'écriture, quasi contemporaine, à 4 siècles d'intervalle, m'a stupéfait. Je n'ai pas mis 5 étoiles, car certaines références catholiques nécessaires font dévier JBB des propos qu'il veut démontrer. 

Mais je suis bien en phase avec l'auteur, bien que n'étant plus catholique mais déiste. Il a vraiment bien posé la question du paradoxe quand il écrit : 



"Avouons, à la honte du genre humain, que les crimes les plus hardis ont été ordinairement plus heureux que les vertus les plus renommées. Et la raison en est évidente : c'est sans doute que la licence est plus entreprenante que la retenue. La fortune veut être prise par la force, les affaires veulent être emportées par la violence ; il faut que les passions se remuent, il faut prendre des desseins extrêmes. Que fera ici la vertu avec sa faible et impuissante médiocrité ? ... 

SERMON SUR LA PROVIDENCE. 



Puis sa réponse est nette et sans bavure 8 ans plus tard : 



"Entassez dans cet espace qui parait immense, honneurs, richesses, plaisirs : que vous profitera cet amas, puisque le dernier souffle de la mort, tout faible, tout languissant, abattra tout à coup cette vaine pompe avec la même facilité qu'un château de cartes, vain amusement des enfants ? 

SERMON SUR LA MORT. 



Parfait ! Rien à ajouter, sinon que moi aussi, j'aime L'Ecclésiaste et les Psaumes.
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Oraisons funèbres

Il en va des grands Requiem comme des Oraisons funèbres, ils célèbrent la Mort , ne la cachent pas.

Depuis l'Antiquité, nul n'a aussi éloquemment parlé de la Mort que Bossuet.

Il faut vraiment lire,relire, ou découvrir ces textes écrits lors des funérailles des Grands du royaume sous le règne de Louis XIV par l'évêque de Meaux. Du grand art.
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Sermon sur la mort et brièveté de la vie

Dans ce sermon, Bossuet s'attache à tenter de démontrer que les hommes ne sont pas grand-chose, voire rien. Son argument pour le prouver ? La mort attend tous les hommes !

Hélas, je ne suis pas convaincu… Dans ce sermon, marqué par toute une culture chrétienne, Jacques Bénigne Bossuet semble bien bigot… Et je n'ai pas toujours compris ce qu'on trouvait à son style, qui n'a rien de particulière…

Bref, c'est sans intérêt, à mes yeux, en tout cas… Décidément, je n'aime pas Jacques Bénigne Bossuet…
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Oraisons funèbres

Les oraisons funebres ont ete ecrites et prononcees par Bossuet a la cour du roi Louis xiv lors des funerailles des grands.Ce sont de veritables chefs-d'oeuvre d'eloquence qui sont sans modele depuis l'antiquite

Bosssuet y traite de l'evocation de la mort,dont il faut tirer un enseignement,et de la tristesse qui l'accompagne

C'est la l'oeuvre d'un grand predicateur,d'un fervent defenseur de la foi
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Sermon sur la passion

Le "Sermon sur la Passion" est un texte de Bossuet, dont le sujet est la Passion du Christ.

Je dois admettre ne l'avoir pas dut tout apprécié ; je l'ai trouvé moraliste, assez vide, et en tout ca bien peu intéressant.

Les idées de théologie développées ici par Bossuet me semble être des débats de peu de sens, qui n'ont ni portée philosophique, ni portée théologique de bien grande ampleur ; c'est une sorte de dissertation savante, sur des points anecdotiques, sans nulle conséquence.

Qui plus est, le style de Bossuet, dont j'avais entendu beaucoup de bien, m'a déçu : ce n'est pas un style désagréable, mais je ne vois là rien d'exceptionnel.

Bref, un sermon pour le moins décevant.
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Oraisons funèbres

La prose classique en sa plus grande beauté.

Une philosophie ferme - des traces de courtisanerie, mais ramenées à l'appui de sa thèse, qui est bien entendu chrétienne, et surtout morale.

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Sermons, Carême du Louvre

Lire ou relire les sermons,c'est sans doute faire l'experience d'une langue classique qui atteint un point d'equilibre absolu,qui dit exactement,a la lettre pres,ce qu'elle veut dire.

Bossuet,devant un public de courtisans frivoles et de libertins cultives a qui on ne la fait pas,mene le combat spirituel,ses sermons reveillent les vivants trio frenetiques et s'engage dans un mouvement de conversion

A tout curieux,cet ouvrage est bon a prendre
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Sermon sur la Mort et autres Sermons

La langue de Bossuet me sidère par sa beauté et sa modernité ! Est-il vrai que ces sermons ont été écrits dans la seconde partie du XVIIe siècle, et appréciés par la cour de Louis XIV ? A quelques détails lexicaux près, on les croirait du XIXe, voire du XXe siècle. En l'occurrence, je ne peux que m'incliner devant une telle grandeur, laquelle abolit la distance temporelle et stimule la méditation.
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Oraisons funèbres

La langue classique dans toute sa beauté;ce livre à du inspirer Malraux dans son oraison funèbre aux funérailles de Jean Moulin.
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Oeuvres

L’encenseur magnifique.

(Critique des Oraisons Funèbres)

Le risque principal des oraisons funèbres consiste à vouloir ne conserver pour la postérité que les qualités, les hauts faits du défunt et passer sous silence ce que l’orateur considère comme des petitesses, des mesquineries ou des erreurs. Dans cette perspective, la mort embellit ceux qu’elle touche et nous en apprend autant sur le disparu que sur l’orateur. Bossuet en réalité n’échappe pas totalement à cette tendance de fond. Ses oraisons, prononcées lors de messes de commémoration devant un parterre formé de la très haute société française du 17ème siècle et parfois en présence du roi lui-même, ont remporté un tel succès qu’elles ont été éditées à partir des brouillons de l’auteur qui ne les a que rarement retouchés. Mais en quoi se démarquent-elles des nombreuses autres, à l’époque où elles formaient un genre à part entière ?

D’abord, ce qui retient l’attention, c’est leur nationalisme, leur patriotisme qui se décline en gallicanisme en matière de religion. On retrouve chez Bossuet un constant respect des puissants, des nobles, des « bien en cour » qui influe sur ses réflexions historiques et politiques comme, par exemple, le soutien inconditionnel à la révocation de l’Edit de Nantes. L’orateur apparaît lui-même comme un notable du régime en retraçant la vie du défunt dans une perspective historique qu’il refaçonne en vue de laisser une certaine image à la postérité. Ce récit vaut surtout par les anecdotes et la vivacité propres à ceux qui ont vécu de près les événements qu’ils décrivent.

Ensuite, l’évêque de Meaux considère chaque oraison comme une réflexion sur la mort et surtout comme l’occasion d’un enseignement religieux (ici catholique), moral et philosophique. Il considère qu’il se doit à la fois d’édifier son auditoire et de lui faire ressentir et partager les nécessités religieuses que la mort d’un être cher a rendues plus frappantes. Il n’hésite pas à faire appel à de nombreuses références tirées, soit de l’Ancien ou du Nouveau Testament, soit d’auteurs profanes grecs ou romains de l’Antiquité en gardant le plus souvent la langue d’origine! Il trace la voie d’une foi exigeante qui renie toute hérésie ou déviance. C’est un peu la voix idéale de l’élite de la société française du 17ème siècle.

Enfin, probablement à son corps défendant, Bossuet fait montre des qualités d’un écrivain hors pair qui se hisse à la hauteur des plus accomplis que la langue française ait connus. Son expression s’avère le plus souvent magnifique, éblouissante, inventive, colorée, percutante. Alliant la formule à la métaphore, elle transcende la pensée de l’orateur. Justement, l’orateur : quand on pense que chacun de ces textes a été déclamé (ce qui devait prendre un certains temps !), on reste pantois devant le travail de conception de l’oraison et le fait que cet écrit devait subir le passage à l’oral au cours d’une messe. Il fallait captiver « en direct » l’intérêt et l’approbation d’un public trié sur le volet ! Peut-être est-ce d’ailleurs une des clés de la réussite de ces discours ?

Comme beaucoup d’auteurs, Bossuet reste à la postérité pour des raisons qu’il n’aurait pas particulièrement chéries : sa langue, son style et sa recherche d’une certaine pureté d’expression, davantage que pour son contenu, son enseignement et sa visée morale. Néanmoins, ces oraisons demeurent remarquables par ce qu’elles incitent à la réflexion sur la mort, sur la religion, sur l’histoire, sur l’humanité, sur l’évolution des mœurs et des sociétés.

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Oraisons funèbres

Longtemps, je me suis demandé : pourquoi tant aimer ces oraisons ? Etant athéiste de mon état, je ne pouvais y trouver, à priori, que bien peu d’intérêt. En bonne logique j'aurais même du les exécrer. Mais non, et la raison en est simple : en dehors de leur côté religieux, ces oraisons sont avant tout des textes universels. Elles le sont, tout d'abord par leur grande beauté, et ensuite parce que leur auteur dresse un tableau de la vie. Dans une prose magnifique, il nous donne à contempler les figures des grands, mais aussi leurs exploits ou leurs malheurs. Ainsi de la guerre civile anglaise ( Oraison d'Henriette ), ou encore de la bataille de Rocroi ( Oraison de Condé ). Il nous peint également le portrait de la vie, et qui vaut non seulement pour les grands mais pour tous : le rapport au temps, comment supporter la mort, la vanité d'une grande partie de nos occupations, l'orgueil que nous mettons dans notre propre contemplation. A recommander, peu importe votre foi; ou, comme moi, votre absence totale de foi.
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Apocalypse traduite et expliquée

La belle traduction de l'Apocalypse est centrale mais occupe finalement assez peu de place par rapport à tout ce qu'amène Bossuet : un résumé en manière de préface indiquant quel sens doit être donné à la lecture – une exégèse érudite après chaque chapitre qui peut se faire prêche, ou leçon d'histoire, machine de guerre contre les hérésies, (et controverse qui se veut victorieuse avec la lecture que font les protestants, cette nouvelle hérésie). Leçon reprise ensuite en une relation de la chute de Rome et des débuts du christianisme, suivie des instructions d'un directeur de conscience mâtiné d 'un polémiste sur les bienfaits que l'on doit tirer de la lecture du texte de Jean et sur le sens qu'il propose de donner aux différentes images, tout en spécifiant (ce qui justifie les différences entre les pères de l'Eglise et entre lui et eux) qu'il n'y a pas lieu de borner sa réflexion à ce qui a été dit. Que l'on adhère ou non, le plaisir est grand de cette langue et du spectacle de Bossuet pensant et cherchant à persuader.
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Oeuvres oratoires

Recueil contenant les plus grands discours et sermons de Bossuet, celui qui est le mieux resté dans ma mémoire est celui qui concerne Henriette d'Angleterre, cette princesse de France mariée à un Stuart et morte très jeune. le style est parfois un peu compliqué, à la manière de l'époque, mais on sent toute la puissance de l'un des grands maîtres de l'art du discours.
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Apocalypse de Jean, 3ème édition

L'Apocalypse selon Saint Jean tient une place à part dans le corpus biblique - son déchaînement de visions souvent cryptiques vient clore le grand livre saint du christianisme, et ses images puissantes ont sans aucun doute singulièrement irrigué les arts et la littérature occidentale.

Cette édition a justement le mérite de placer au côté du texte l'exceptionnelle série de bois gravés de Dürer, dont la virtuosité résonne face aux foisonnements, aux flamboyances du texte de Jean de Patmos, traduit du latin par Bossuet.

La lecture est surprenamment agréable, quoique pouvant s'avérer indigeste si l'on tente d'ingurgiter tout le livre d'un coup (à la manière de Jean). Au delà de leur caractère presque surréaliste, les scènes qui se succèdent sont très poétiques, et la lenteur grave, répétitive, de la prose religieuse, pleine de nombres, de couleurs, de pierres et matériaux précieux, dessine une fresque terrible, où résonnent les trompes des anges et où se succèdent toutes sortes de bêtes et de monstres.
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Oraisons funèbres

La philosophie, la puissance du souffle, la dévotion à son Ordre... Voilà tout Bossuet ou je me trompe. Chacun tirera profit à savourer la verve, la délicatesse et la grandeur d'une langue qui parait aujourd'hui perdue. Ces oraisons sont aussi une oeuvre réconfortante qui nous permet de prendre de la hauteur sur la brièveté de la vie, sa vanité ; sur notre besoin de de gloire...



Pour vous partager ce qui m'a particulièrement touché dans cet ouvrage, je vous invite à consulter mon site.



En espérant recueillir quelques-uns de vos avis...


Lien : https://journalheretique.blo..
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Oraisons funèbres

Splendide ouvrage qui pour moi n'a pas pris une ride en passant les siecles;: toujours la meme force et le style inimitable il faut decouvrir Bossuet un peu tombé dans l'oubli mais neanmoins inegalable !
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Méditations sur la brièveté de la vie et autres s..

Je vous retrouve avec un petit classique littéraire très court. J'ai bien aimé la méditation de l'auteur sur la brièveté de la vie, un peu moins les deux autres. C'est intéressant mais heureusement que c'est court ! Après, dans l'ensemble la plume de Bossuet est assez simple à lire. Par contre j'adore la couverture que je trouve super jolie. *-*
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Élévations sur les mystères

Après l'excellente édition parue chez Vrin il y a fort longtemps, Bouquins met à disposition une nouvelle édition des Elévations sur les Mystères agrémentée des Méditations, du Carême du Louvre, de nombreuses poésies, autant des textes qui font voir l'étendue du style de Bossuet - trop souvent réduit à la seule question de la période et de l'usage de l'hyperbole - mais aussi de sa puissance théologique. Pourtant, Valéry avait sans doute raison de noter que Bossuet était, idéologiquement parlant, dépassé, déjà de son temps et si le style autant que la pensée continue d'éblouir, il n'est pas sûr qu'il s'adresse à la raison ; tout semble ici sentimental, et il bouleverse ou terrorise plus qu'il ne convainc.
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