Avec finesse, Comte-Sponville souligne que croyants et incroyants ne sont ici séparés que par ce que nous ignorons. Bien sûr, cela n'annule pas nos désaccords, mais en relativise la portée. Selon lui, on peut se passer de religion, mais pas de communion, ni de fidélité, ni d'amour. Paix à tous, croyants et incroyants !