Philippe Roy est un bon gars, mais il ne peut s'empêcher de se laisser aller à l'anglicisation à l'excès à la mode en ce moment.C'est vachement in , comme truc. On se fixe des boards, on se malaxe les neurones lors des brainstormings, on se donne le go pour que le team ait l'impression de participer à un process qui va changer le monde. C'est le fun, quoi. Et God save la Queen.
Je le laisse partir sans relever, ça m'agace plus que ça ne devrait.Je ne vais pas en faire un plat. C'est peut-être le signe que je suis has been, que je dois faire un break. Avant de sombrer dans un méchant burn-out...