C'est qu'il en fallait de la viande humaine pour rassasier les appétits insatiables de nos maîtres !
C'est qu'il en fallait de la viande, pour nourrir les hommes qui allaient mourir, les boyaux à l'air, encore remplis de la bidoche chaude et puante des bêtes !
C'est qu'il en fallait, c'était fatal, de la viande, puisqu'on avait fait de nous des moutons d'abattoir !