La vie et la mort sont une réalité continue et indivisible.
Craindre la mort en luttant contre la périssabilité de notre corps, combattre notre part sensible qui nous ramène à notre organicité, c'est déjà mourir.
Or les instants de pleine sensibilité au vivant sont des instants dont nous pourrions considérer, avec Goethe ou Bergson, qu'ils ne meurent jamais.