Pour les Rom, la vie était comme un fleuve sans fin, ou un torrent sans lit et sans but, au-delà du bien et du mal, et la place de l'homme dans la vie semblable à un processus d'autoconnaissance interdisant la trop humaine couardise de la faiblesse et du doute. Animé d'un urgent besoin de chercher ce qu'il y avait d'essentiel dans la vie, l'homme était libre de réagir à sa façon à ses défis et d'être ce qu'il ferait de lui-même. Cela, c'était la liberté.