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Critiques de Janet Mills (24)
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La maîtrise de l'amour

Livre de développement personnel du célèbre auteur des Quatre Accords Toltèques, celui-ci, et comme son nom l'indique, a attrait aux relations entre individus et en particulier aux relations amoureuses.



C'est un ouvrage simple et court qui offre une vulgarisation de la psychologie du fonctionnement amoureux. Il donne des clés de fonctionnement avec des exemples clairs et doit permettre à chacun de toujours mieux se comprendre soi-même et être ainsi mieux dans son couple et ses relations aux autres.



C'est un ouvrage dans lequel on peut revenir à plusieurs reprises pour s'inspirer de certains passages.



A lire même sans problème de couples!!!
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La maîtrise de l'amour

Mes impressions sur le livre « La maîtrise de l’Amour » de Don Miguel Ruiz

Premièrement, nous ne maîtrisons pas ce que nous croyons être. Nous ne maitrisons pas non plus chacune de nos actions, chacune de nos réactions. Si cela était le cas notre vie serait tout le temps en parfaite harmonie et on ne connaîtrait pas ni la contrainte ni l’obstacle ni le doute.

Deuxièmement, quand un enfant se met en colère face à un problème avec quelqu’un, cette réaction ne fait pas disparaître le problème. C’est certainement ce que veut l’enfant mais cela ne marche pas car il n’a pas gain de cause et il pleure de plus belle. S’il avait gain de cause il se mettrait en colère et il s’arrêterait aussitôt. Et on sait très bien qu’il aura du mal à s’arrêter justement parce qu’il se sent frustré de ne pas avoir eu gain de cause. Et ce processus se répétera jusqu’à ce que l’enfant comprenne qu’il faut agir autrement. Par exemple, éviter l’affrontement avec l’autre, essayer de négocier avec lui, jouer le petit malin. Mais tant qu’il se mettra en colère le problème persiste pour lui. La colère est juste une réaction spontanée de frustration de celui qui n’a pas encore compris comment résoudre le problème. Pour l’auteur, l’enfant devient un maître de la colère, mais le mot est mal choisi. A mon avis l’enfant devient prisonnier, victime de son manque de connaissance en matière de résolution de problèmes avec autrui.

De la même façon, nous ne devenons pas maîtres de la jalousie, de la tristesse, du rejet de soi. Nous devenons des victimes de nous-mêmes jusqu’à ce qu’on trouve la solution. Si on était maîtres de ces sentiments on ne pourrait jamais s’en débarrasser. Moi, je sais que c’est faux. J’étais triste, mais je ne le suis plus. J’étais jalouse, mais ça c’était avant car j’ai pu changer ; j’ai appris à faire face et je ne ressens plus les choses de la même façon qu’auparavant. Le changement existe. C’est quelque chose de réel. Non ?!

Troisième point avec lequel je suis en désaccord ou alors j’ai mal saisie l’idée. Quand l’auteur dit « pour devenir un maître de l’amour, on doit s’exercer à l’amour »... Foutaises ! Un exercice, l’amour ? Alors pourquoi on n’aime pas quand on le veut mais quand cela arrive sans qu’on s’y attende. Serait-ce différent avec les autres ? Possible. J’essaye de voir la chose autrement...On aime un parent car c’est naturel, c’est une espèce de remerciement de l’amour qu’il nous donne à son tour. On aime un homme, une femme car le cœur s’emballe quand on voit la personne et on n’y peut rien, on se laisse aller... On aime inconditionnellement notre enfant et on ne comprend même pas pourquoi. On sait juste qu’il est une part de nous qu’on ne peut pas perdre et qu’on protègera coute que coute. On l’aime, c’est tout. On aime notre prochain (pour ceux à qui cela arrive) ; on aime les animaux (pour certains plus que des humains).Bizarre mais ça existe.

« S’exercer à l’amour » ou s’exercer à corriger notre conduite vis-à-vis de celui qu’on aime mais qu’on peut blesser malgré nous. On a une conscience donc on peut faire une analyse de soi-même, évaluer notre propre conduite. Est-ce que c’est ça « s’exercer à l’amour » ?

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La maîtrise de l'amour

J'ai reçu « La maîtrise de l'amour» dans le cadre d'une opération Masse critique. Je tiens à remercier Babelio ainsi que les éditions Jouvence pour cette belle découverte.



Au départ, il est vrai qu’on pourrait se demander ce que cet ouvrage va nous apporter. Et bien pleins de choses. Comme ces autres livres, ce sont de vrais remises en question sur notre quotidien. Miguel Ruiz nous donne de nouveau une belle leçon de vie. Ce livre sur le pardon et l’amour est un livre que tout le monde devrait lire. Apres cette lecture, on se pose évidemment des questions sur soi-même, et c’est comme ça que débute le changement.



Adepte des livres sur le développement personnel et notamment ceux de Miguel Ruiz et son fils, j’ai passé un excellent moment avec La maîtrise de l’amour. Je le recommande vraiment. Pas seulement pour améliorer ses relations mais aussi pour en apprendre plus sur soi et sur les relations en général.



Miguel Ruiz est un auteur que j’admire énormément et ces ouvrages sont tous de vrais merveilles. Et n’oublions pas : avant d’aimer l’autre, il faut déjà par apprendre à s’aimer soi-même.
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La maîtrise de l'amour

Cet ouvrage offre un regard nouveau sur les relations amoureuses. J'avoue que je n'avais jamais envisagé les choses comme décrites dans ce livre. Or, tout ce qui y est décrit me parle énormément. J'ai le sentiment de toucher du doigt une vérité qui, jusqu'ici, m'était inconnue.

L'auteur insiste sur le fait que nous sommes responsables de notre propre bonheur et que nous avons suffisamment d'amour en nous pour nous combler. Je suis amplement d'accord avec ça, même si c'est très dur à intégrer. Avoir besoin de l'autre pour être heureux, c'est s'assurer de souffrir, d'être frustré et d'être malheureux. Nous avons tout ce dont nous avons besoin en nous, dans notre coeur.

Il explique très bien ce qu'est l'amour véritable et je ne peux qu'approuver sa vision des choses.

Ce livre m'a franchement redonné espoir et m'a offert un coup de boost. Le cheminement est encore long avant de parvenir à intégrer toutes ces belles notions. Néanmoins, je sens en moi une certaine transformation suite à cette lecture.
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La maîtrise de l'amour

Que dire sur ce magnifique livre qu'il faut impérativement lire et avoir dans sa bibliothèque. Le pardon, l'amour et surtout la paix intérieur. Tout commence par soi; arrêter de se culpabiliser et la plus belle chose à faire est s'aimer soi. Personnellement ce livre dégage quelque chose de magnifique. Je vous laisse le découvrir une très bonne lecture.
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La maîtrise de l'amour

Imaginez une relation (amicale ou romantique) entre deux grands brûlés qui risquent la souffrance au moindre contact physique. Une simple maladresse peut causer beaucoup de tort, et donc beaucoup de colère. Ou de détresse.

Imaginez que nous soyons tous des grands brûlés, que nous nous côtoyons tous les uns les autres et que, n'ayant pas conscience de nos blessures, nous nous maltraitions sans le savoir. Les personnes blessées, pour se défendre, repoussent le maladroit et le blessent à leur tour – ou bien, à défaut de pouvoir trouver un fautif, déversent leur « poison émotionnel » sur une autre victime. L'injustice que vit celle-ci lui fera accumuler à son tour un poison émotionnel qu'il lui faudra vider sur une autre personne… le cercle peut se refermer.



C'est bien notre monde, c'est bien de nous dont on parle.



Miguel Ruiz est surtout connu pour avoir écrit Les quatre accords toltèques, et l'éditeur le décrit comme un homme qui est revenu aux traditions chamaniques familiales après avoir fait une EMI et qui a estimé que l'humanité était enfin prête à recevoir son enseignement.

Je suis quelqu'un de pragmatique et j'ai tendance à me méfier des nouvelles spiritualités. Ma philosophie pourrait se résumer ainsi : prends-en un peu si tu veux essayer et que ça te fait du bien, mais n'en abuse pas au risque de perdre contact avec la réalité.

Donc, cette description (ainsi que l'introduction), m'ont rendue un peu méfiante : encore un gourou qui vient généreusement apporter sa lumière sur le monde - sans aucune prétention commerciale, bien sûr…

Mais c'est un livre qu'on m'a prêté, alors j'ai dépassé ces mauvais à priori pour entamer le premier chapitre.



Je dois admettre que les pages se sont tournées très vite et que je suis arrivée à la conclusion plus tôt que prévu.

Mais sans surprise, j'ai eu du mal avec certains termes. L'auteur parle de Juge et de Victime pour désigner nos parts intérieures, et affirme même que nous ne vivons pas dans la réalité, mais dans un rêve collectif rempli d'impératifs, de fausses croyances et de suppositions : le Rêve de la Planète. Celui-ci se transmet de parents à enfants, mais aussi de frères à soeurs, de voisins en voisins, avec des petites mutations propres à chacun… D'interaction en interaction, le rêve devient mondial et prémâche nos croyances, notre morale, nos certitudes.

En bref : nous vivons en lui, mais lui vit si bien en nous qu'il façonne nos pensées les plus secrètes.

Ces croyances et ces impératifs entrent souvent en contradiction avec notre nature profonde et nos besoins, ce qui tend à nous rendre malheureux. Sortir de ce Rêve toxique est impératif, mais pour cela il faut se reconnecter à soi et déconstruire toutes nos convictions.



L'idée est bien, le concept est intéressant. Mais le terme de « rêve » ne me paraît pas approprié. Nous vivons dans la réalité matérielle, en plus de s'imaginer des obligations. J'ai buté sur ce mot à de nombreuses reprises, ayant l'impression de lire les fantasmagories d'un maître spirituel.



D'ailleurs, l'auteur affirme que nous sommes tous des maîtres. Pas seulement lui, mais vous et moi aussi. Mais à défaut d'être maître de nos vies, de nos pensées ou de nos désirs, nous devenons maîtres de la souffrance, la jalousie, la solitude, la colère… Toutes ces émotions que nous choisissons d'invoquer en réponse aux problèmes.

Là encore, ce terme m'a dérangée - comme d'autres babélionautes avant moi, visiblement. Être maître d'une émotion, pour moi, c'est être capable de la gérer, et pas se laisser dévorer par elle. Or, il me semble que pour la plupart d'entre nous, ce sont nos émotions qui dominent, et non l'inverse. Si on pouvait apprendre à ne plus éprouver de jalousie, de tristesse ou de colère, je suis sûre que nous serions nombreux à être intéressés. Par ailleurs, le terme de « maître », renvoie à la notion d'effort, de travail et de persévérance et de CHOIX. Or, il semble que nos émotions négatives sont une réaction de détresse plus qu'une réponse réfléchie… Personnellement, je me sens plus victime que maîtresse.



Autre notion qui m'a posé problème : « Si vous conservez une relation négative, c'est parce que vous acceptez cette négativité, que vous croyez la mériter. Il y a une limite à la quantité de mauvais traitement que vous acceptez, mais personne au monde ne vous maltraite autant que vous-même. La limite que vous mettez à vos mauvais traitements envers vous-même est exactement celle que vous tolérez de la part d'autrui. » Je ne suis pas tout à fait d'accord avec cette affirmation parce que j'ai l'impression que l'auteur sous-entend que la limite est fixe et/ou ne dépend que de nous. Alors que pour moi, elle dépend de l'image qu'on a de nous-mêmes, qui est fluctuante en fonction de ce qu'on vit. Pour m'être beaucoup intéressée aux témoignages de femmes battues, j'en suis venue à la conclusion que n'importe quel mauvais traitement, même s'il est tolérable sur notre propre échelle, même si c'est juste une remarque négligente, même si c'est quelque chose de pas forcément blessant mais qui nous atteint quand même, fait baisser notre estime de nous. Justement parce qu'on l'accepte, parce qu'on se fait de moins en moins confiance pour défendre nos propres intérêts. Une aubaine pour les manipulateurs, qui détruisent l'égo de leurs victimes à petit feu...



Dernier défaut et non des moindres : l'écriture est simple, voire simpliste. Les phrases sont courtes, percutantes, destinées à parler au plus grand nombre. Lorsqu'il amène une nouvelle idée, l'auteur a la fâcheuse manie de la reformuler, phrase après phrase : c'est un texte fort redondant qui m'a agacée à plusieurs reprises et qui m'a donnée la sensation d'être infantilisée.



Bon, et l'amour dans tout ça ?

En soi, c'est un beau discours que nous a concocté Miguel Ruiz. Je n'ai rien appris de nouveau, mais cela fait du bien d'avoir une piqûre de rappel.





En bref : c'est une lecture en demi-teinte, avec des forces et des faiblesses. Des idées intéressantes, mais des termes imparfaits et une écriture qui m'a rebutée. À vous de voir si cette lecture vous conviendra !
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La maîtrise de l'amour

L'auteur, entre autres, des Quatre accords toltèques, un des livres cultes du développement personnel posant les bases d'un mieux-être relationnel, revient cette année avec une nouvelle édition de cet ouvrage pour maîtriser l'art des relations, et plus particulièrement l'art de l'amour, le premier art parmi tous, qui nous permet de vivre dans la plénitude.



Partant de la racine de la vie, donc de la naissance et des ancêtres, il postule que l'enfant est, avant tout système éducatif, innocent dans sa façon d'aimer. Il s'aime lui-même profondément, après avoir découvert qu'il existe, et il aime également inconditionnellement ses parents. Il ne juge personne. Mais chacun des êtres humains ayant vécu sur cette Terre ayant connu des malheurs et des blessures émotionnelles, la conscience collective a engendré ce que les toltèques appellent : le Rêve de l'enfer. Pour eux, la planète est une immense asile psychiatrique où chaque homme est psychiquement malade, rongé par le mal et couvert de plaies émotionnelles que l'on gratte en permanence.



La peur est le principal poison émotionnel, dont découlent tous les autres. Elle est comme un parasite qui se nourrit de tout sentiment qu'elle engendre et devient ainsi le juge ultime de tous les actes relationnels, mais aussi de toute perception personnelle. La peur des autres provient la plupart du temps de ce que l'on ne s'aime ni se respecte soi-même, car on a appris à ne pas le faire, à se comparer en permanence avec des modèles, à partir en quête de la perfection ultime. La peur provient du manque de reconnaissance qui est un des "besoins" les plus ancrés, qu'on recherche chez autrui alors même que l'on est souvent incapable de se l'accorder à soi-même. Si l'on n'a pas appliqué l'un des quatre accords toltèques qui est de ne pas faire de suppositions, nous sommes donc prisonniers d'un système de croyance qui est mal géré et sûrement en notre défaveur.



Le premier pas à faire serait donc de se recentrer sur soi-même et de guetter ses propres réactions, ses croyances, ses blessures, ses mécanismes, et de se donner autant d'amour que l'on en attend d'autrui - voire plus encore. C'est en retrouvant le pouvoir d'aimer, de créer une réalité qui n'est pas basée sur la peur, en sortant des schémas et en se donnant tout le crédit que l'on mérite, que les choses commencent à changer et que l'on peut se défaire des relations toxiques. C'est en se respectant soi-même que l'on construit des relations basées sur le respect. Si l'on a une mauvaise image de soi, c'est cette image qui sera reflétée en permanence.



L'auteur fait une analogie intéressante qui est la suivante : Supposez que vous n'ayez rien à manger chez vous, que vous n'ayez pas les moyens de vous sustenter, et que quelqu'un arrive avec de quoi vous nourrir, mais cherche à en tirer profit et vous soumet à se volonté. Afin d'éviter la famine, vous coopérez. Supposez maintenant que vous ayez dans votre cuisine toute la nourriture nécessaire pour vous alimenter vous-même et même nourrir chacun de ceux qui viennent à vous, tant vous possédez de ressources. Si cette même personne vient et vous propose le même marché, vous le refuseriez. Vous pourriez même lui proposer de le nourrir sans rien en échange, par compassion. Si l'on remplace maintenant la nourriture avec l'amour et le respect, l'analogie montre à quel point les relations peuvent être biaisées si l'on n'arrive pas à se sentir complet et aimé soi-même, sans être dépendant des autres pour nous donner ce sentiment.



Comme pour les Quatre accords toltèques, il s'agit ici de vérités fondamentales et bienveillantes, qui ont l'air si simples que la réalité des choses finisse par devenir incompréhensible. Un manuel pratique et un recueil de paroles qui tombent sous le bon sens à mettre entre les mains de tous ceux qui ont besoin de se sortir des cercles vicieux relationnels. Il permet aussi de se responsabiliser par rapport à ses propres comportements tout en ne se culpabilisant pas pour ce qui n'est pas de notre ressort - soit : faites de votre mieux. J'ai passé un bon moment à lire ce livre car il n'est pas donneur de leçon et qu'il reflète l'amour dont il fait sujet. Enfin, il termine par deux prières qui seront comme des mantras à se répéter pour ne pas oublier de prendre conscience et de commencer par s'aimer soi-même.



Merci à Babelio et aux éditions Jouvence pour cette découverte !
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
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La maîtrise de l'amour

Après la lecture des Quatre accords Toltèque du même auteur, j'ai voulu continuer l'aventure, avec La Maîtrise de l'Amour.

Un livre qui pourrait paraître naïf, mais qui par sa simplicité interpelle dans nos relations à l'autre.

Des petites pointes d'humour, sont parsemées au cours des pages, comme pour mieux assimiler les quelques leçons de vie que nous donne Don Miguel Ruiz.

Un livre qui fait du bien, à lire, à relire selon l'humeur, à feuilleter de temps en temps en piqûre de rappel.
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La maîtrise de l'amour

Ce livre met en lumière les croyances et suppositions fondées sur la peur, qui sapent notre capacité à aimer, créant des conflits et des souffrances dans nos relations.



Ce livre nous guide sur comment guérir nos blessures émotionnelles, comment recouvrer la liberté et la joie qui sont nos droits de naissance, ainsi que l’esprit du jeu, indispensable pour établir des relations d’amour.



Ce livre offre des perspectives uniques et des outils pratiques pour naviguer dans les défis de l’amour et des relations, avec l’objectif ultime de maîtriser l’art de l’amour.



Ce livre est un guide précieux pour tous ceux qui cherchent à améliorer leurs relations et à vivre avec plus d’amour et de joie. C’est un livre qui peut changer la vie de ceux qui le lisent et le mettent en pratique.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La maîtrise de l'amour

L'auteur met en lumière dans ce livre tout ce qui abîme les relations sociales avec les gens que l'on aime, parce qu'on ne les accepte pas tel qu'ils sont, parce qu'on croit les connaître par cœur, parce qu'on se fait des idées sur eux qui sont en fait des clichés nocifs, parce qu'on veut les changer. La peur et le jugement gangrènent les relations parce qu'on cherche la perfection et que nous avons des attentes irréalistes envers ses proches. L'autre, pour se protéger, montre uniquement ce que l'on a envie de voir de lui puisqu'on est trop exigeant. Envers soi, l'auteur nous invite à nous aimer tel que nous sommes et pas tel que nous voudrions être. Mais également à ne pas se juger, ni juger ses pensées donc les laisser passer. Un livre à la fois très accessible et émouvant.
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La maîtrise de l'amour

Si comme moi, vous avez adoré la lecture des quatre accords Toltèques, vous adorerez ce nouvel opus qui s'inscrit comme une suite logique.



Dans cet ouvrage court mais efficace, Don Miguel Ruiz nous apprend, avec des exercices et des allégories très simples, comment guérir nos blessures émotionnelles pour maîtriser la relation la plus importante : la relation à soi. Car oui, l'amour le plus important est l'amour que l'on se porte à soi. Et sans s'aimer soi-même, il est impossible d'aimer l'autre.

Don Miguel Ruiz nous donne également des clés très précieuses pour apprécier nos relations avec les autres sous un regard nouveau. Il nous explique notamment que nous sommes responsables de notre propre bonheur et que nous ne pouvons attendre des autres qu'ils viennent combler un vide que nous sommes censés remplir nous-mêmes.



Et une fois que vous trouverez au fond de vous votre propre bonheur, vous serez à même d'apprécier le partenaire idéal. "Quel est l'homme parfait ou la femme parfaite pour vous ? Celui ou celle qui a envie d'aller dans la même direction que vous, qui est compatible avec vos valeurs et vos opinions sur les plans émotionnel, physique, économique et spirituel."

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La maîtrise de l'amour

Après avoir écouté en audio "Les 4 accords toltèques", j'ai réitéré en audio pour celui-ci.

Don Miguel Ruiz nous partage sa vision quant aux relations humaines. J'ai trouvé cela intéressant et il nous donne une fois encore matière à réfléchir sur nos relations au quotidien.
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La maîtrise de l'amour

Belle approche,pour tenter de maîtriser (si vraiment on peut y parvenir) nos relations.
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La maîtrise de l'amour

Voilà un livre qui a traîné un bon moment sur mon étagère avant que je ne me décide à le lire.

Il m'a été conseillée par un ami à une période de ma vie où j'ai été très déçue par autrui (tant en amour qu'en amitié) et où pour moi l'amour n'était qu'un mot fourre-tout vide de sens.

J'y croyais pas mais aujourd'hui je peux dire qu'il a contribué à changer mon regard sur l'amour et les relations avec moi-même et autrui.

Pas évident cependant de s'approprier son enseignement tant celui-ci va à contre-sens de ce que la société véhicule.
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La maîtrise de l'amour

Assez décevant après la lecture des 4 accords toltèques
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La maîtrise de l'amour

L'amour, on entend ce mot partout. "Aimez-vous", mais qu'est ce que cela signifie vraiment ?

Don Miguel Ruiz nous propose de voir l'amour autrement, de le voir d'abord pour soi.

A travers diverses métaphores, histoires et anecdotes, une réflexion différente s'offre à nous.

Un changement intéressant pour revoir nos relations.
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La maîtrise de l'amour

Un livre qui me parle beaucoup et sont les mots résonnent. C’est une sacrée belle base dont on devrait avoir conscience pour l’ensemble de nos relations.

Pas besoin d’avoir lu les 4 accords toltèques avant de débuter cet ouvrage.

Il fera désormais parti de mes indispensables !
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La maîtrise de l'amour

Il en va souvent des meilleurs livres de développement personnel, surtout américains. D'abord un auteur arrive avec une idée vraiment fraîche et novatrice et puis son livre devient un best-seller et c'est là que les choses de se gâtent. Il en fait un, deux, trois, utilise ses idées et les essorent jusqu'à la dernière goutte à toutes les sauce, surtout celle du marketing, et on en arrive à un livre insipide mais du grand gourou himself !

Les quatres accords toltèques étaient un vrai bijou. L'auteur (et du coup son fils puisque toute la famille s'y met maintenant) aurait dû en rester là. La maîtrise de l'amour n'est rien d'autre qu'une énième version de ce qu'il a dit dans le premier et ne présente donc aucun intérêt. Dommage.
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La maîtrise de l'amour

ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un livre aussi intéressant. A lire, et à relire certainement. On ne peut que refermer ce livre qu'avec des yeux nouveaux.

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La maîtrise de l'amour

Très bon livre, facile à livre, et que j'aime beaucoup. Venant de la part de l'écrivain des "4 accords Toltèques", je m’attendais à quelque chose d'encore plus puissant. Mais il y a énormément à apprendre de ce livre. Je le recommande si vous chercher à mieux comprendre les relations dans leur globalité.
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