Cette peur-là, de n’être pas à la hauteur, c’est un sale virus attrapé à l’âge tendre, le genre à ne jamais vous lâcher tout à fait, à se réveiller aux pires moments pour vous les saboter, c’est-à-dire aux radieux, ces moments où l’on croit toucher le bonheur – mais ça ne saurait durer, il y a erreur sur la personne.