Si la recette du bonheur existait, ça se saurait : son bonheur comme son malheur, chacun le tisse à sa façon depuis son premier « oui », son premier « non », sourire ou rage avec. Et, à part l’amour indispensable au bien-être, être bien dans sa peau comme dans son âme, l’amour sous toutes ses formes, convoité par tous, à commencer par ceux qui crient qu’ils en ont soupé, qu’on ne les y prendra plus, chaque tissage est différent.