Miro, qui connaissait très certainement le fameux conseil de Léonard de Vinci de prendre les irrégularités d'un mur, le dessin du marbre, les nuages ou les ombres comme point de départ d'un tableau, commença à prêter plus attention à ces formes fortuites. A ce moment-là d'ailleurs, de telles sources d'inspiration étaient l'objet de discussions dans les milieux artistiques que fréquentait Miro.