Les forêts au-delà du Fleuve Noir étaient aussi épaisses qu’un immense mur vert, et impénétrables sauf pour les bêtes sauvages dont c’était le territoire. Mais aux dires des colons aquiloniens qui habitent de l’autre côté du fleuve, aucun de ses animaux n’étaient aussi féroce que certains bipèdes.