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3.3/5 (sur 47 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Jason Feifer est un journaliste et auteur.

Il est rédacteur en chef du magazine "Entrepreneur". Ancien rédacteur de "Men's Health", "Maxim", "Fast Company" et "Boston", il a écrit aussi pour le "New York Times", le "Washington Post", le "Slate" etc. Il est hôte de trois podcasts: Problem Solvers, Pessimists Archive et Hush Money.

Il est coauteur, avec sa femme Jennifer Miller, d'un roman intitulé "Mr. Nice Guy" (2018).

Jennifer Miller et Jason Feifer vivent à Brooklyn.

son site : https://www.jasonfeifer.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/jasonfeifer
Twitter : https://twitter.com/heyfeifer?lang=fr
Instagram : https://www.instagram.com/heyfeifer/?hl=fr
chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCR_e8au0K712OQojGwSZvQA

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Mr. Nice Guy - meet the authors


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J’intimide les hommes. C’est le prix à payer quand on fait mon métier. Ce qui veut dire que les hommes qui montrent assez de courage pour m’aborder sont ceux qui ont de gros bureaux, des ego en conséquence, et d’encore plus gros comptes en banque. Mesdames, je vous entends d’ici : ils doivent avoir quelque chose à compenser. Et alors ?! Coucher avec moi n’est jamais acquis, même si on vient de m’emmener à Las Vegas en jet privé pour assister à un combat de free fight à l’Octagon. (J’y ai au moins appris quelques clés de bras.)Récemment, les restos chics et les voyages ont commencé à me paraître de plus en plus fades. Alors j’ai décidé d’essayer quelque chose de nouveau : les gentils garçons. C’est-à-dire un mec sympa, incapable de s’offrir un trois-étoiles (ne parlons même pas du jet) et qui serait probablement éperdu de reconnaissance de pouvoir rentrer avec moi.Il y a quelques semaines, je suis donc allée dans un petit bar du Village. Le genre d’endroit pas du tout chic où on ne paie que huit dollars son verre de pinot. Il était près de minuit et j’étais assise au comptoir, attendant de voir qui ou quoi allait se présenter.
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En fait, il ne s’était même jamais réveillé à côté d’une autre femme. Il était, comme un ami lui avait récemment dit, un « puceau du sexe ». Pas comme un vrai puceau mais dans le sens où il avait beau ne plus être vierge, il n’avait pas beaucoup couché non plus. Cet état de fait le rendait assez anxieux. Mel et lui n’avaient aucune expérience lorsqu’ils s’étaient rencontrés en première année de fac, et ils avaient été ravis de se débarrasser enfin de leur pucelage. Lucas avait donc beaucoup couché, mais avec une seule personne – il y avait eu du sexe et encore du sexe, et puis de moins en moins, comme c’est souvent le cas.
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Personne n’arrivait à lui en vouloir. Il était trop charmeur pour ça, trop chaleureux et aussi vraiment trop bruyant, mais d’une façon plus attachante qu’agaçante. Peu importait ce qu’il écrivait ou qui il se mettait à dos, tout le monde avait l’impression d’être son meilleur ami. C’était exactement pour ça qu’il avait été débauché par Noser, un site basé à New York qui se spécialisait dans les révélations, surtout celles qui concernaient la sphère des médias. C’étaient des commérages corrosifs et bien écrits qui s’adressaient à ceux qui ne voulaient pas être pris en flagrant délit de lecture d’un tabloïd bas de gamme.
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était plus ronde que les filles qui lui plaisaient d’habitude. Étant lui-même assez maigrichon, il se sentait parfois intimidé par les filles très musclées ou celles dont le tour de taille faisait le double du sien. Mais il avait craqué pour ses lunettes vintage et ses lèvres pleines et boudeuses. Le contact était bien passé, ils avaient discuté et il l’avait fait rire. Pendant que les autres invités dansaient dans le salon, ils s’étaient réfugiés dans la chambre et avaient terminé sur le lit, sur une pile de sacs à main. C’est presque trop facile, s’était-il dit.
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Cette fille innocente était toujours choquée, incrédule ou horrifiée quand débarquait le type. Mais quand ses vêtements finissaient par voler, elle était nue dessous. Et elle avait un tatouage vulgaire. Ou un ticket de métro. Et cette invraisemblance narrative ruinait toujours tout. Mais voilà que Carmen elle-même arborait une invraisemblance narrative. Ce matin-là, elle s’était habillée en prévision du moment où elle se ferait déshabiller.
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Elle devait avoir la trentaine. Quoique c’était peut-être un avantage, puisque apparemment les femmes mûres aimaient les hommes jeunes. Empire avait récemment publié un article sur la question. Carmen sourit et rejeta ses cheveux derrière son épaule. Malgré les vapeurs de bière, un parfum fleuri et capiteux flotta jusqu’à lui.
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Toutes ces filles, il pouvait coucher avec elles. Si Carmen avait bien voulu de lui, alors il pouvait coucher avec toutes les autres femmes. Cette découverte lui avait fait forte impression.
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Les bars étaient bondés, des créatures aux jambes interminables le dépassaient à grands pas, bras dessus bras dessous avec leurs congénères, des hordes venues du New Jersey passaient devant lui, les hommes bien gominés, les femmes saucissonnées dans des robes trop serrées. Mais Lucas n’avait pas de groupe, de congénère ou de horde. Pourtant il aurait tant aimé faire partie de la nuit, lui aussi. Il se décida sur un coup de tête. Il allait rentrer dans un bar. Et aborder une inconnue.
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« Parfois, nous devons nous tailler notre propre route en ce bas monde. Nous devons réécrire nos origines. C’est ce que tu essaies de faire et je respecte totalement ce choix. Mais dans ta lettre, cette phrase dans laquelle tu dis vouloir te réinventer, “à l’image de la Nouvelle-Amsterdam”. C’était peut-être un peu too much, Luke. »
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Elle devait avoir la trentaine. Quoique c’était peut-être un avantage, puisque apparemment les femmes mûres aimaient les hommes jeunes.
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