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Critiques de Jason Hall (9)
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Star Wars - Icones, tome 8 : Yoda

BD qui retrace en 7 histoires l'incroyable destin du maître Jedi le plus célèbre, Maître Yoda, personnage emblématique de la saga Star Wars.



Différentes histoires qui se passent lorsque Yoda est déjà maître Jedi, sauf la dernière qui montre Yoda jeune sous le nom de Minch.

J'ai beaucoup aimé celle sur L'histoire de Yaddle, une jeune padawan qui a beaucoup souffert avant d'être Jedi.



J'ai trouvé les différentes histoires divertissantes mais assez inégales.



1) Une question d'honneur

2) Jedi : Yoda

3) Machines de guerre

4) Force Fiction

5) Caché

6) L'histoire de Yaddle

7) Le cœur des ténèbres
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Star Wars - Icones, tome 2 : Leia Organa

BD qui retrace en 5 histoires l'incroyable destin de Leia Organa, personnage emblématique de la saga Star Wars.



De son enfance jusqu'à quelques mois avant qu'elle ne prenne la place de son père au Sénat, on découvre cette femme au caractère bien trempé.



J'ai trouvé les différentes histoires divertissantes mais assez inégales.



1) Princesse et guerrière

2) Un petit morceau de chez soi...

3) Une histoire de Saint-Valentin

4) Le journal de la princesse Leia

5) Premières impressions



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Star Wars - Icones, tome 3 : Luke Skywalker

BD qui retrace en 8 histoires l'incroyable destin de Luke Skywalker, personnage emblématique de la saga Star Wars.



Il va croiser entre autres la route de Maître Yoda, d'Anakin, de Dark Vador, d'Obi Wan Kenobi, de Han Solo et de Leia Organa.



J'ai trouvé les différentes histoires divertissantes mais assez inégales.



1) Général Skywalker

2) Pente glissante

3) Menaces fantômes

4) L'effondrement de nouveaux empires

5) Fais-le ou ne le fais pas

6) Tempête de sable

7) La ballade de Luke

8) La main de Luke



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Star Wars - Icones, tome 8 : Yoda

7 histoires qui tournent autour du personnage de Yoda, 7 histoires d'une qualité médiocre pour la plupart, quelques idées et quelques clins d'oeil à la saga permettent de sauver un peu l'album.

La première histoire est peut-être la meilleure quoique trop courte pour qu'elle soit réussie complètement. Un rapport de mission d'un Clone trooper où un politique tente de trahir la République.

La seconde histoire est également bonne même si la réaction du padawan me paraît complètement irréaliste tant Yoda est un maître incontesté et respecté ; comment un padawan peut être aussi impertinent, même Anakin n'est pas aussi irrespectueux.

La troisième histoire, est-ce vraiment une histoire ? On dirait un spot TV pour vanter les mérites des vaisseaux de la République ! À oublier complètement.

Une histoire humoristique suit avec un clin d'oeil à Pulp Fiction. Alors, je suis ouvert à l'humour mais je trouve que ce récit n'a rien à faire dans cet ouvrage, il est trop different des autres.

Le récit suivant est très court et raconte comment Yoda à échapper aux recherches de l'Empire quand il est sur Dagobah. le dessin n'est pas très beau mais surtout il est d'un désintérêt total. Et puis, des recherches qui ne sont pas plus aboutis par les impériaux pour une raison si futile... c'est limite irréaliste encore une fois.

L'histoire de Yaddle raconte une expérience vécue par un personnage de la même espèce que Yoda (aperçu dans les films) lorsqu'elle était padawan. Une histoire intéressante où on découvre comment une Jedi est reconnue par ses pairs. Une histoire réussie, la seule véritablement réussie, même si elle souffre encore un peu de développement dans le récit.

Enfin la dernière permet de voir Yoda jeune. On découvre qu'il s'appelle Minch (Ah moins que finalement cela ne soit pas Yoda ?!?) et qu'il est un jeune Jedi qui ne respecte pas encore bien les règles.

le plus intéressant est plutôt le lieu de l'histoire et le lien qu'elle opère avec l'Episode V.

4 histoires moyennes, 2 navets et 1 hors-propos. J'ai été habitué à de meilleurs ratios pour des comics star wars.



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Beware the Creeper

Il s'agit d'une histoire complète et indépendante de toute autre, initialement parue sous la forme de 5 épisodes en 2003. Le scénario est de Jason Hall, les dessins et l'encrage de Cliff Chiang, et la mise en couleurs de Dave Stewart.



L'action se déroule en 1925 à Paris, en pleine période du surréalisme. Dans la première scène, un homme de la haute moleste Miette (une prostituée) lors d'une passe. Judith Benoir raconte un rêve à sa sœur, dans lequel elle revit la mort de leurs parents dans une église, puis fait l'amour avec un démon, avant d'avoir la vision du Creeper. Elle est peintre bohème, associée au mouvement du surréalisme. Sa sœur Maddy est une auteure de théâtre qui assume également le rôle de costumière pour essayer de gagner un peu d'argent. L'inspecteur Ric Allain est amoureux de Judith (qui l'ignore) et assigné sur le cas des agressions de prostituées. Mathieu Arbogast est également amoureux de Judith, il appartient à la haute société et essaye désespérément de se faire accepter dans le cercle des surréalistes alors qu'il n'a aucun talent d'artiste. Dans ce contexte, une femme étrangement costumée se faisant appeler le Creeper s'en prend aux possessions de la famille Arbogast et commet des actes de vandalisme relevant d'une provocation artistique vite assimilée au mouvement des surréalistes.



Il est vraisemblable que la réédition de cette histoire en 2013 soit due à la notoriété grandissante de Cliff Chiang, dessinateur principal de la relance réussie de la série Wonder Woman en 2011 dans le cadre de l'opération "New 52", à commencer par Blood. Il s'était déjà fait connaître précédemment pour avoir illustré Tales of the unexpected - Dr. Thirteen de Brian Azzarello (2006). Dès la première scène, le lecteur peut apprécier un trait très élégant, restituant à merveille l'ambiance parisienne, ainsi que l'époque correspondante. Chiang a bien fait son travail de recherches et même un lecteur français aura dû mal à trouver à redire à la représentation des lieux de la capitale. Chiang confère une densité à chaque élément de décors, à chaque façade, grâce à un encrage un peu appuyé, sans tomber dans l'obsession du détail. Il s'agit plutôt de traits un peu gras qui apportent plus de consistance. Le lecteur éprouve la sensation de se déplacer dans Paris (façades et toitures correspondant à l'architecture parisienne, même si chaque bâtiment ne correspond pas forcément à la réalité de l'adresse, le positionnement de la Tour Eiffel est réaliste), de visiter un atelier d'artiste peintre peu aisé (la pièce principale accueillant aussi bien le sofa, que le chevalet, ou encore le mannequin de couture), de pénétrer dans l'intérieur cossu de grands bourgeois (avec service à table réalisé par du personnel de maison), d'assister à la revue de Joséphine Baker dans un grand théâtre parisien, ou encore de prendre un verre au zinc d'un bistro bien de chez nous.



Chaque endroit et chaque scène bénéficie de sa mise en couleurs spécifique, très travaillée par un Dave Stewart au meilleur de sa forme première période, c'est-à-dire avec une palette riche et plus étendue que par la suite (à partir de la fin des années 2000, début des années 2010). Les traits des personnes sont un peu simplifiés, sans qu'ils perdent en personnalité, en spécificité ou en expressivité. Le scénario comprend quelques scènes dénudées et quelques rapports sexuels (tout à fait justifiés) pendant lesquels il est possible d'apercevoir une poitrine nue.



Jason Hall a décidé de situer son récit dans une époque clairement identifiée, et de faire apparaître les personnages historiques de cette période. Il n'y va pas avec le dos de la cuillère puisque défilent André Breton (Manifestes du surréalisme), Kiki de Montparnasse, Ernest Hemingway, Man Ray, Jean Cocteau, Pablo Picasso, Tsugouharu Foujita, Gertrude Stein, Aleister Crowley, et encore une poignée d'autres. Mais alors que Chiang intègre l'action dans l'environnement de Paris, au point que l'histoire en devienne indissociable (elle aurait été différente si elle s'était passée dans un autre endroit), Jason Hall n'effectue pas cette intégration du mouvement surréaliste. Judith et Maddy Benoir n'expriment pas "le fonctionnement réel de la pensée, par automatisme psychique pur, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale" (André Breton).



Jason Hall raconte une histoire policière, mâtinée de vengeance avec des personnages attachants, sans disposer d'une psychologie très fouillée. Il adapte le concept du superhéros peu commun créé par Steve Ditko (The Creeper by Steve Ditko, 1968/1969) en en retenant le rire de dément, l'apparence inquiétante, et en le recréant dans un contexte différent. Son récit dispose de l'habilité nécessaire pour rendre cette femme et ses actions plausibles, sans exiger un niveau de suspension d'incrédulité trop élevé. L'aspect touristique dans ce Paris des années 1920 est des plus divertissants et le ton de la narration est résolument adulte (principalement pour d'autres raisons que les relations sexuelles), avec quelques sous-entendus peu consensuels (en particulier une relation de nature incestueuse). Hall intègre même 2 personnages de l'univers partagé DC, en toute discrétion, repérables uniquement par les lecteurs avertis, indécelables sinon (Shade de la série Starman et Luigi Zatara, un ancêtre de Zatanna).



Jason Hall, Cliff Chiang et Dave Stewart reprennent le nom du Creeper, réinventent le personnage et racontent une enquête ou un mystère dans le Paris des années 1920. Le récit est savoureux, avec une reconstitution des plus fidèles et des plus séduisantes. Le lecteur pourra juste regretter que les personnages ne soient pas des créations surréalistes.
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Star Wars - Icones, tome 2 : Leia Organa

Cinq mini-récits qui tiennent la distance et reflètent l'univers grandiloquent de George Lucas. Une pièce indispensable à tout amateur de la série-culte.
Lien : http://www.actuabd.com/Star-..
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Star Wars - Icones, tome 2 : Leia Organa

Voilà un album très intéressant sur la Princesse Leia Organa. 5 récits qui permettent de découvrir 5 facettes du personnages.

Le premier récit nous montre une Princesse en proie à son désir d’agir pour la cause rebelle mais qui refuse de mettre en danger ses hommes et ses amis. Malheureusement elle découvrira que la lutte et la guerre impose des sacrifices… premier récit et déjà une bonne histoire.

Le second récit voit Leia essayer de dégotter une planète de repli pour l’Alliance Rebelle auprès d’une ancienne connaissance (ancien flirt plus précisément). Je ne rentre pas dans les détails, mais là aussi il y aura les notions de sacrifice, de courage qui seront mis en avant mais surtout encore de la souffrance pour Leia.

Le troisième récit est consacré aux relations tendus entre la Princesse et Han juste avant l’installation de la base rebelle sur Hoth. J’ai trouvé l’histoire très réussie pour bien montrer cette relation spéciale qu’ont les deux héros de la Rébellion : une histoire qui montre pourquoi, malgré les disputes, Leia ressent de plus en plus d’amour pour le contrebandier. Je n’aime pas les histoires d’amour un peu nian-nian mais ici il y a de l’émotion, sans oublier une magnifique histoire d’amitié. On trouve ici tout ce qui lie Han, Leia et sans oublier, Chewbacca. Encore une belle histoire.

Les 2 autres récits sont un peu liés car ils racontent la jeunesse de Leia et son ascension comme sénatrice. On découvre une Leia espiègle (comme dans la série Obiwan) mais déjà rebelle et anti impériaux. Bail Organa tente tant bien que mal de raisonner un peu sa fille mais la rencontre entre Leia et l’Empereur va être un électrochoc pour elle. À noter dans cette scène, un magnifique clin d’œil ! Mais je ne vous en dit pas plus.

On est pas loin d’un album parfait pour cet ouvrage en 5 histoires sur Leia.
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Star Wars - Icones, tome 3 : Luke Skywalker

Voici un album qui réunit pas moins de 8 récits autour de Luke Skywalker. De nombreux récits courts, du bon, du moins bon, autant au niveau des scénarios que des dessins.

Le premier récit est le plus intéressant et celui qui aurait mérité d’être plus développé. Je ne gâcherai pas la surprise en disant juste que nous allons retrouver une vieille connaissance ; une idée vraiment intéressante qui, je le répète, aurait beaucoup gagné à être plus longue.

La seconde histoire est un court récit lors de l’entraînement de Luke sur Dagobah, franchement un récit qui n’a aucun intérêt !

La troisième est aussi mauvaise malgré une idée originale de faire « revivre » Dark Maul pour croiser le chemin de Luke… mais malheureusement l’idée est un peu galvaudée ; l’idée était bonne (d’ailleurs Dark Maul sera bien ressuscité dans le récit Legends et Canon) mais elle est totalement mal exploitée : trop court, trop étrange, trop… mauvais tout simplement.

Quatrième récit et histoire tirant encore plus dans l’étrange. Que ce soit au niveau des dessins ou du scénario c’est vraiment moyen ; il y avait encore une idée intéressante mais je n’ai pas aimé la manière dont elle est développée.

L’histoire suivante est un très court récit mais totalement inutile ; il y a tout simplement RIEN dans ce récit. C’est d’un niais le plus complet surtout avec ce clin d’œil de Yoda complément… laid.

Les deux récits suivants se déroulent pendant la jeunesse de Luke où, dans une sorte de rêve, Luke va croiser le chemin de Anakin sans qu’il sache qui il est. C’est plutôt sympa, un rêve ou une facétie de la Force, difficile à dire. Quant au second récit, c’est une histoire de sauvetage de Luke par Obi-Wan qui va encore mettre du grain un moudre dans l’hostilité d’Owen pour Ben Kenobi.

Enfin le dernier récit est une histoire du soir de Han pour son fils Anakin où il s’amuse à raconter l’histoire de la main de Luke tombé dans les bas fonds de la Cité des Nuages lors du combat de Luke contre Vador. C’est plutôt mignon comme toute histoire pour enfant.

Bref, un album que je trouve très moyen ; il présente quelques idées intéressantes mais pas abouties et quelques histoires complètement délirantes de désintérêt.
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Star Wars - Icones, tome 3 : Luke Skywalker

Une excellente introduction à l’univers de George Lucas, un cadeau de fin d’année qui saura séduire tous les fans et quelques autres.
Lien : http://www.actuabd.com/Star-..
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