Dans les voyages, c'est quand on n'est pas du tout maître de sa destination, même si on le désire très fort, qu'on apprend le mieux. Alde Manuce, le père de Paolo, avait dû se sentir aussi inutile et abandonné, pensa Maria, quand il était arrivé à Venise à bord d'un bateau. (p. 39)