On lit parfois que quelqu’un avoue un crime quarante ans après l’avoir commis…et les candides, les justiciers et les moralistes croient que cette personne a été vaincue par le remords ou le désir d’expiation ou la torture de la conscience, alors que la seule chose qui l’ait vaincue est la fatigue et le désir d’être d’une seule pièce, l’incapacité à continuer à mentir ou à se taire…