Le désir geint et lancine dans mon ventre, nourri par la pourriture de la chambre, l’odeur de sexe crasseux, de bois piqué, de fruit talé, d’urine rance, de sueur tropicale. J’éprouve le besoin de me vautrer dans cette souillure, d’en jouir impunément. Je ferai alors de moi un homme libre et dévasté.