Rien que du vide. Un insondable vide. Le vide du froid et de la mort. Car n’est- ce pas l’aspiration ultime de la bourgeoisie : étendre sur le monde le somptueux linceul de l’immobilité et de la permanence. Que rien ne bouge, que rien ne change. Jamais, nulle part. Que tout soit sous contrôle. Que tout soit mort. Que tout soit tranquille !