Là où il n’y a plus de jeu ni de règle, il faut inventer une loi et un affect, un mode d’effusion universel, une forme de salut qui surmonte la division des corps et des âmes, qui mette fin à la haine, à la prédestination, à la discrimination, au destin : tel est notre évangile de la sentimentalité, qui met fin en effet à la séduction comme destin.