L'on ne pouvait plus faire la différence entre les chômeurs entraînés dans les manifestations, les vagabonds poussés à la révolte, les mendiants errants et les malfaiteurs professionnels (...). Il est certain que cette union des affamés, des bandits et des patriotes, stimulée par des agitateurs et des démagogues, allait dans les mois et les années à venir nourrir les insurrections parisiennes.