J’ai avalé l’appât, l’hameçon et la ligne. Puis, en remontant le fil, j’ai dévoré le pêcheur. C’est la faim qui nous sauve, disent les hackers, mais ils confondent gourmandise et appétit. Moi, je suis capable d’engloutir le monde.
Et je commence à en avoir envie…