Luchini le Montmartrois n'aime guère les voyages. Obsessionnel avec les textes, il l'est aussi avec les lieux. Il a besoin de reparcourir sans cesse les chemins empruntés à la recherche d'un détail inaperçu qui donnerait une signification nouvelle au paysage. Une quête du nouveau, davantage liée à l'approfondissement du déjà connu qu'à la découverte d'un ailleurs.